Lisez l'extrait du blog d'Angelina. Soyez attentifs, parce qu’après la lecture vous allez faire les exercices sur son contenu. Aujourd'hui c'est jeudi. Hier, pas de lycée, quelle bonne journée! J'ai mangé au restaurant avec ma mère. À 14 h, je suis allée au cinéma. Taxi c'est vraiment super! Après, nous avons fait des courses. Ma mère a acheté un livre et le CD de Goldman. Moi, j'ai acheté le CD de Corneille. À 18 h, nous sommes rentrées. J'ai téléphoné à Max, j'ai raconté le film, mais pas toute l'histoire. Maintenant je fais mes devoirs. Demain, c'est histoire & géo, maths, éd.civique & sport, anglais, espagnol, latin. Enfin, j'ai fait mon petit travail, je suis baby-sitter. Un jeudi sur deux, je garde un enfant de 5 ans ... Mais c'est décembre. Le Noël approche! ... Oh! Il faut acheter les BD pour mon petit frère ... Il les adore ... Quand Angelina a écrit cette information?

Mettez dans l'ordre.

Lisez le récit et dites quelle est la matière préférée de Jérôme. Прочитайте рассказ и скажите, какой любимый предмет у Жерома. Au collège nous avons beaucoup de matières. J’aime beaucoup le français. C’est ma matière préférée. C’est intéressant pour moi d’apprendre quelque chose de nouveau à la leçon de français. J’aime lire les récits et les nouvelles des écrivains français. Pour avoir de bonnes notes il faut être attentif et faire les devoirs. Je fais des efforts et je ne manque pas les classes. C’est pourquoi j’ai de bonnes notes en français.

Установите соответствие между текстами A–G и заголовками 1–8. Занесите свои ответы в таблицу. Используйте каждую цифру только один раз. В задании один заголовок лишний. 1.Ces jeunes qui aident les autres 2.Ils réussissent mieux l’école 3.Apprendre en protégeant la plante 4.Ils rencontrent ce cinéaste célèbre 5.Ces élèves qui font du cinéma ensemble 6.On apprend mieux en compétition 7.Un film sur la Journée de nettoyage 8.Un enfant extrêmement intelligent A. Au collège Vauban, il n’y a pas de magie. Mais il existe des «maisons», comme dans la saga sur Harry Potter ! Ce système fonctionne depuis 1 an. Il y a 8 maisons de 50-60 élèves chacune. Toute l’année, les maisons proposent des projets : concours sportifs, actions écologiques. Et la concurrence est très forte ! Quand une maison termine un projet, elle gagne 100 points. Les professeurs du collège donnent des points aux adolescents qui réalisent de bonnes actions. Toutes les 6 semaines, on affiche le total des points de chaque maison. B. Le monde du 7e art n’a plus de secrets pour eux ! Depuis 6 mois, une trentaine d’écoliers de 10 ans environ réalisent un film court avec leur école, à Paris. Écriture, maquillage, costumes... ils ont tout fait, du début à la fin, avec l’aide d’une réalisatrice. Avant de commencer leur projet, les enfants ont découvert des métiers différents (acteur, réalisateur...). Puis, ils ont écrit le scénario de leur film et ont commencé sa réalisation. Leur court-métrage sera projeté dans leur école et dans des salles. C. Est-ce possible de donner un coup de main aux autres même quand on est un enfant ? «Oui !», ont répondu les élèves de l’école Jeanne-d’Arc, à Paris. Ils ont participé au projet de l’École de l’amitié. «On a choisi le thème de la santé, explique un élève. On a rencontré une association qui soutient les enfants en difficulté. On a organisé une collecte de vêtements et de jouets dans l’école, puis on les a donnés à l’association». Un autre élève ajoute : «Je me suis senti utile». L’an dernier, 2 000 classes ont participé au projet. D. Comment expliquer les bonnes notes des enfants de professeurs ? Il y a plusieurs raisons. Tout d’abord, les parents professeurs rapportent beaucoup de travail à la maison (copies corriger, cours préparer). Voir ses parents travailler motive un enfant à travailler lui-même. Les parents professeurs ne disent pas simplement «fais tes devoirs». Ils montrent l’exemple. Les parents professeurs ne divisent pas le temps en 2 : le temps scolaire pour étudier et le temps pour se divertir. Selon eux, il est possible de s’amuser à l’école et de continuer d'apprendre à la maison. E. Plus de 300 écoles participent à la Journée de grand nettoyage. C’est l’occasion de ramasser les poubelles qui se trouvent à côté des écoles. Antoine, professeur d’une école primaire à Pau, va le faire avec ses élèves. Il explique : «On a appris à identifier les différents déchets. Les élèves travaillent par petites équipes. Ils collectent les déchets dans un sac plastique. On tente de définir quel type d’ordures nous avons le plus ramassées. Ensuite, on fait un travail d’écriture. On crée des affiches pour rendre les habitants de la ville attentifs à l’environnement». F. Beaucoup de personnes disent que Laurent Simon, 9 ans, est un «génie». Dans 2 mois, ce jeune Belge va obtenir un diplôme d’ingénieur à l’université ! Jusqu’à présent, le record du monde était détenu par un Américain. Il a eu son diplôme de l’université à l’âge de 10 ans. Laurent étudie à l’université technologique aux Pays-Bas, depuis qu’il a eu l’année dernière son baccalauréat. Laurent a une mémoire exceptionnelle, selon ses professeurs. Son père dit qu’il faut trouver un équilibre entre son enfance et ses talents. G. L’école d’Allouis a choisi de s’appeler Nicolas Vanier. C’est le nom de l’auteur du film «Donne-moi des ailes». À cette occasion, l’explorateur et réalisateur est venu dans ce village de 1 100 habitants. Dès son arrivée, les enfants, impatients, se sont installés par terre devant lui. Ils le regardaient avec respect et admiration. Le maire a pris la parole : «Votre vie est un bel exemple pour eux. Comme vous l’écrivez, “il vaut mieux vivre ses rêves que rêver sa vie”». Pendant plus de 30 ans, Nicolas Vanier a voyagé dans le Nord, malgré le froid. Et maintenant, il fait des films !

Прочитайте текст и заполните пропуски A–F частями предложений, обозначенными цифрами 1–7. Одна из частей в списке 1–7 лишняя. Занесите цифры, обозначающие соответствующие части предложений, в таблицу. Comment se souhaite-t-on la bonne année dans le monde ? Bonne année! Bonne santé! À minuit, c’est du champagne et des embrassades sous le gui. Au cours du réveillon du 31 décembre, les convives mangent, chantent, dansent. C’est une façon de dire «adieu» à l’année passée et «bonjour» à la nouvelle A__________ joyeuse. Ça, c’est en France. Et dans les autres pays, c’est pareil? Les Brésiliens, habillés en blanc, font la fête sur une plage B__________. Au passage d’année, ils font un bain de minuit sous les feux d’artifice. Les New-yorkais mettent des lunettes extravagantes aux chiffres de la nouvelle année et s’embrassent sous une pluie de confettis. En Italie du Sud, c’est une pluie de vaisselle qui remplit les rues… Les vieux objets C__________ symbolisent la mort de l’année passée. Tout aussi bruyants, les Danois frappent avec force aux portes des voisins pour annoncer la nouvelle année. Les Belges, plus calmes, se souhaitent de la prospérité et de la richesse en plaçant une pièce de monnaie sous leur assiette. Le Nouvel An en Russie est une fête familiale, D__________ qui réunit les proches et les amis intimes. Les Russes installent dans la maison un sapin E__________, de boules et d’autres décorations. De nombreuses fêtes sont organisées pour les enfants. À la fin d’un spectacle festif, F__________, les enfants repartent avec un cadeau (généralement un assortiment de bonbons) et de beaux souvenirs. 1. qu’on jette par les fenêtres 2. illuminée de milliers de bougies 3. célébrée autour de la table 4. qui célèbrent la fête 5. décoré de guirlandes 6. animé par Ded Moroz 7. que l’on se souhaite

Установите соответствие между текстами A–G и заголовками 1–8. Занесите свои ответы в таблицу. Используйте каждую цифру только один раз. В задании один заголовок лишний. 1.Ces jeunes qui aident les autres 2.Ils réussissent mieux l’école 3.Apprendre en protégeant la plante 4.Ils rencontrent ce cinéaste célèbre 5.Ces élèves qui font du cinéma ensemble 6.On apprend mieux en compétition 7.Un film sur la Journée de nettoyage 8.Un enfant extrêmement intelligent A. Au collège Vauban, il n’y a pas de magie. Mais il existe des «maisons», comme dans la saga sur Harry Potter ! Ce système fonctionne depuis 1 an. Il y a 8 maisons de 50-60 élèves chacune. Toute l’année, les maisons proposent des projets : concours sportifs, actions écologiques. Et la concurrence est très forte ! Quand une maison termine un projet, elle gagne 100 points. Les professeurs du collège donnent des points aux adolescents qui réalisent de bonnes actions. Toutes les 6 semaines, on affiche le total des points de chaque maison. B. Le monde du 7e art n’a plus de secrets pour eux ! Depuis 6 mois, une trentaine d’écoliers de 10 ans environ réalisent un film court avec leur école, à Paris. Écriture, maquillage, costumes... ils ont tout fait, du début à la fin, avec l’aide d’une réalisatrice. Avant de commencer leur projet, les enfants ont découvert des métiers différents (acteur, réalisateur...). Puis, ils ont écrit le scénario de leur film et ont commencé sa réalisation. Leur court-métrage sera projeté dans leur école et dans des salles. C. Est-ce possible de donner un coup de main aux autres même quand on est un enfant ? «Oui !», ont répondu les élèves de l’école Jeanne-d’Arc, à Paris. Ils ont participé au projet de l’École de l’amitié. «On a choisi le thème de la santé, explique un élève. On a rencontré une association qui soutient les enfants en difficulté. On a organisé une collecte de vêtements et de jouets dans l’école, puis on les a donnés à l’association». Un autre élève ajoute: «Je me suis senti utile». L’an dernier, 2 000 classes ont participé au projet. D. Comment expliquer les bonnes notes des enfants de professeurs ? Il y a plusieurs raisons. Tout d’abord, les parents professeurs rapportent beaucoup de travail la maison (copies corriger, cours préparer). Voir ses parents travailler motive un enfant à travailler lui-même. Les parents professeurs ne disent pas simplement «fais tes devoirs». Ils montrent l’exemple. Les parents professeurs ne divisent pas le temps en 2 : le temps scolaire pour étudier, et le temps pour se divertir. Selon eux, il est possible de s’amuser à l’école et de continuer d'apprendre à la maison. E. Plus de 300 écoles participent à la Journée de grand nettoyage. C’est l’occasion de ramasser les poubelles qui se trouvent à côté des écoles. Antoine, professeur d’une école primaire à Pau, va le faire avec ses élèves. Il explique : «On a appris à identifier les différents déchets. Les élèves travaillent par petites équipes. Ils collectent les déchets dans un sac plastique. On tente de définir quel type d’ordures nous avons le plus ramassées. Ensuite, on fait un travail d’écriture. On crée des affiches pour rendre les habitants de la ville attentifs à l’environnement». F. Beaucoup de personnes disent que Laurent Simon, 9 ans, est un «génie». Dans 2 mois, ce jeune Belge va obtenir un diplôme d’ingénieur à l’université ! Jusqu’à présent, le record du monde était détenu par un Américain. Il a eu son diplôme de l’université à l’âge de 10 ans. Laurent étudie à l’université technologique aux Pays-Bas, depuis qu’il a eu l’année dernière son baccalauréat. Laurent a une mémoire exceptionnelle, selon ses professeurs. Son père dit qu’il faut trouver un équilibre entre son enfance et ses talents. G. L’école d’Allouis a choisi de s’appeler Nicolas Vanier. C’est le nom de l’auteur du film «Donne-moi des ailes». À cette occasion, l’explorateur et réalisateur est venu dans ce village de 1 100 habitants. Dès son arrivée, les enfants, impatients, se sont installés par terre devant lui. Ils le regardaient avec respect et admiration. Le maire a pris la parole : «Votre vie est un bel exemple pour eux. Comme vous l’écrivez, “il vaut mieux vivre ses rêves que rêver sa vie”». Pendant plus de 30 ans, Nicolas Vanier a voyagé dans le Nord, malgré le froid. Et maintenant, il fait des films !

Прочитайте текст и выполните задания 12 - 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mon Professeur de Danses Je me souviens de mon premier cours de danse. Papa en avait choisi un, dans le quartier, rue de Maubeuge. Notre professeur, Madame Galina Dismaïlova, s'est dirigée vers moi: - Il faudra que tu danses sans lunettes. Au début, j'enviais mes camarades qui ne portaient pas de lunettes. Tout était simple pour elles. Mais à la réflexion, je me suis dit que j'avais un avantage: vivre dans deux mondes différents, selon que je portais ou non mes lunettes. Et le monde de la danse n'était pas la vie réelle. Oui, un monde de rêve comme celui, flou et tendre, que je voyais sans mes lunettes. À la sortie de ce premier cours, j'ai dit à papa: - Ça ne me dérange pas du tout de danser sans mes lunettes. - Tu as raison, a dit papa. Ce sera comme moi quand j'étais jeune... Les autres te trouveront dans le regard, quand tu ne porteras pas tes lunettes, une sorte de douceur... Cela s'appelle le charme... Les cours avaient lieu chaque jeudi soir et papa m'y accompagnait. La grande fenêtre du studio de danse donnait sur la gare du Nord. Les mères des élèves étaient assises sur une longue banquette rouge. Papa, le seul homme parmi toutes ces femmes, se tenait au bout de la banquette, à distance des autres, et regardait de temps en temps, par la baie vitrée derrière lui, la gare du Nord, les lumières des quais, les trains qui s'en allaient pour de lointaines destinations -jusqu'en Russie, m'avait-il dit- la Russie qui était la patrie de notre professeur, Madame Dismaïlova. Elle avait conservé un très fort accent russe. Elle m’appelait «Catherrrine». Un jour, papa m'a dit: - Catherine, c'est drôle... J'ai connu dans le temps ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle ne me reconnaît pas car je ne suis plus le jeune homme que j'étais alors... Elle aussi a bien changé. En ce temps-là, Catherine, j'étais un jeune homme assez bien de sa personne, et pour gagner un peu d'argent de poche, j'avais voulu faire de la figuration au Casino de Paris... Un soir, on m'a demandé de remplacer l'un des porteurs... Les porteurs sont ceux qui doivent porter les danseuses de la revue... Et la danseuse que je devais porter, c'était ta maman... Je l'ai prise dans mes bras de la façon que l'on m'a indiquée... Je suis entré en scène avec elle en titubant, sans mes lunettes... Et patatras!... Nous sommes tombés tous les deux par terre... Ta maman avait une crise de fou rire... Il a fallu baisser le rideau... Elle m'a trouvé très sympathique... C'est au Casino de Paris que j'ai connu aussi ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle faisait partie de la revue... Et papa, comme s'il avait peur que quelqu'un nous suive et entende notre conversation, a ralenti le pas et s'est penché vers moi. - Eh bien, ma petite Catherine, a-t-il dit d'une voix très basse, presque un chuchotement, elle ne s'appelait pas Galina Dismaïlova à cette époque-là, mais tout simplement Odette Marchal... Et elle n'était pas russe mais originaire de Saint-Mandé où ses parents tenaient un petit café-restaurant... Elle nous y invitait souvent ta maman et moi. C'était une bonne camarade... Elle n'avait pas du tout l'accent russe, mais pas du tout... Le cours de danse s'est achevé vers sept heures du soir. Madame Dismaïlova nous a dit: - Au rrrevoir... et à jeudi prrrochain, les enfants... Dans l'escalier, j'ai chuchoté: - Tu aurais dû lui parler et l'appeler par son vrai nom... Papa a éclaté de rire. - Tu crois que j'aurais dû lui dire: Bonjour, Odette... Comment vont les amis de Saint-Mandé? Il est resté un moment silencieux. Et puis il a ajouté: - Mais non... Je ne pouvais pas lui faire ça... Il faut la laisser rêver, elle et ses clients... D’après Sempé et Patrick Modiano «Catherine Certitude» 12. Le studio de danse se trouvait près de la gare… 1)  du Nord. 2)  de l’Est. 3)  Montparnasse. 4)  de Lyon.

Прочитайте текст и выполните задания 12 - 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mon Professeur de Danses Je me souviens de mon premier cours de danse. Papa en avait choisi un, dans le quartier, rue de Maubeuge. Notre professeur, Madame Galina Dismaïlova, s'est dirigée vers moi: - Il faudra que tu danses sans lunettes. Au début, j'enviais mes camarades qui ne portaient pas de lunettes. Tout était simple pour elles. Mais à la réflexion, je me suis dit que j'avais un avantage: vivre dans deux mondes différents, selon que je portais ou non mes lunettes. Et le monde de la danse n'était pas la vie réelle. Oui, un monde de rêve comme celui, flou et tendre, que je voyais sans mes lunettes. À la sortie de ce premier cours, j'ai dit à papa: - Ça ne me dérange pas du tout de danser sans mes lunettes. - Tu as raison, a dit papa. Ce sera comme moi quand j'étais jeune... Les autres te trouveront dans le regard, quand tu ne porteras pas tes lunettes, une sorte de douceur... Cela s'appelle le charme... Les cours avaient lieu chaque jeudi soir et papa m'y accompagnait. La grande fenêtre du studio de danse donnait sur la gare du Nord. Les mères des élèves étaient assises sur une longue banquette rouge. Papa, le seul homme parmi toutes ces femmes, se tenait au bout de la banquette, à distance des autres, et regardait de temps en temps, par la baie vitrée derrière lui, la gare du Nord, les lumières des quais, les trains qui s'en allaient pour de lointaines destinations -jusqu'en Russie, m'avait-il dit- la Russie qui était la patrie de notre professeur, Madame Dismaïlova. Elle avait conservé un très fort accent russe. Elle m’appelait «Catherrrine». Un jour, papa m'a dit: - Catherine, c'est drôle... J'ai connu dans le temps ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle ne me reconnaît pas car je ne suis plus le jeune homme que j'étais alors... Elle aussi a bien changé. En ce temps-là, Catherine, j'étais un jeune homme assez bien de sa personne, et pour gagner un peu d'argent de poche, j'avais voulu faire de la figuration au Casino de Paris... Un soir, on m'a demandé de remplacer l'un des porteurs... Les porteurs sont ceux qui doivent porter les danseuses de la revue... Et la danseuse que je devais porter, c'était ta maman... Je l'ai prise dans mes bras de la façon que l'on m'a indiquée... Je suis entré en scène avec elle en titubant, sans mes lunettes... Et patatras!... Nous sommes tombés tous les deux par terre... Ta maman avait une crise de fou rire... Il a fallu baisser le rideau... Elle m'a trouvé très sympathique... C'est au Casino de Paris que j'ai connu aussi ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle faisait partie de la revue... Et papa, comme s'il avait peur que quelqu'un nous suive et entende notre conversation, a ralenti le pas et s'est penché vers moi. - Eh bien, ma petite Catherine, a-t-il dit d'une voix très basse, presque un chuchotement, elle ne s'appelait pas Galina Dismaïlova à cette époque-là, mais tout simplement Odette Marchal... Et elle n'était pas russe mais originaire de Saint-Mandé où ses parents tenaient un petit café-restaurant... Elle nous y invitait souvent ta maman et moi. C'était une bonne camarade... Elle n'avait pas du tout l'accent russe, mais pas du tout... Le cours de danse s'est achevé vers sept heures du soir. Madame Dismaïlova nous a dit: - Au rrrevoir... et à jeudi prrrochain, les enfants... Dans l'escalier, j'ai chuchoté: - Tu aurais dû lui parler et l'appeler par son vrai nom... Papa a éclaté de rire. - Tu crois que j'aurais dû lui dire: Bonjour, Odette... Comment vont les amis de Saint-Mandé? Il est resté un moment silencieux. Et puis il a ajouté: - Mais non... Je ne pouvais pas lui faire ça... Il faut la laisser rêver, elle et ses clients... D’après Sempé et Patrick Modiano «Catherine Certitude» 13. Catherine, pourquoi était-elle contente de danser sans ses lunettes? 1)  Elle n’aimait pas ses lunettes. 2)  Elle pensait que c’était plus beau. 3)  Elle pensait que le monde de la danse ressemblait au monde qu’elle voyait sans lunettes. 4)  Elle pensait que c’était dangereux de danser avec des lunettes.

Прочитайте текст и выполните задания 12 - 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mon Professeur de Danses Je me souviens de mon premier cours de danse. Papa en avait choisi un, dans le quartier, rue de Maubeuge. Notre professeur, Madame Galina Dismaïlova, s'est dirigée vers moi: - Il faudra que tu danses sans lunettes. Au début, j'enviais mes camarades qui ne portaient pas de lunettes. Tout était simple pour elles. Mais à la réflexion, je me suis dit que j'avais un avantage: vivre dans deux mondes différents, selon que je portais ou non mes lunettes. Et le monde de la danse n'était pas la vie réelle. Oui, un monde de rêve comme celui, flou et tendre, que je voyais sans mes lunettes. À la sortie de ce premier cours, j'ai dit à papa: - Ça ne me dérange pas du tout de danser sans mes lunettes. - Tu as raison, a dit papa. Ce sera comme moi quand j'étais jeune... Les autres te trouveront dans le regard, quand tu ne porteras pas tes lunettes, une sorte de douceur... Cela s'appelle le charme... Les cours avaient lieu chaque jeudi soir et papa m'y accompagnait. La grande fenêtre du studio de danse donnait sur la gare du Nord. Les mères des élèves étaient assises sur une longue banquette rouge. Papa, le seul homme parmi toutes ces femmes, se tenait au bout de la banquette, à distance des autres, et regardait de temps en temps, par la baie vitrée derrière lui, la gare du Nord, les lumières des quais, les trains qui s'en allaient pour de lointaines destinations -jusqu'en Russie, m'avait-il dit- la Russie qui était la patrie de notre professeur, Madame Dismaïlova. Elle avait conservé un très fort accent russe. Elle m’appelait «Catherrrine». Un jour, papa m'a dit: - Catherine, c'est drôle... J'ai connu dans le temps ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle ne me reconnaît pas car je ne suis plus le jeune homme que j'étais alors... Elle aussi a bien changé. En ce temps-là, Catherine, j'étais un jeune homme assez bien de sa personne, et pour gagner un peu d'argent de poche, j'avais voulu faire de la figuration au Casino de Paris... Un soir, on m'a demandé de remplacer l'un des porteurs... Les porteurs sont ceux qui doivent porter les danseuses de la revue... Et la danseuse que je devais porter, c'était ta maman... Je l'ai prise dans mes bras de la façon que l'on m'a indiquée... Je suis entré en scène avec elle en titubant, sans mes lunettes... Et patatras!... Nous sommes tombés tous les deux par terre... Ta maman avait une crise de fou rire... Il a fallu baisser le rideau... Elle m'a trouvé très sympathique... C'est au Casino de Paris que j'ai connu aussi ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle faisait partie de la revue... Et papa, comme s'il avait peur que quelqu'un nous suive et entende notre conversation, a ralenti le pas et s'est penché vers moi. - Eh bien, ma petite Catherine, a-t-il dit d'une voix très basse, presque un chuchotement, elle ne s'appelait pas Galina Dismaïlova à cette époque-là, mais tout simplement Odette Marchal... Et elle n'était pas russe mais originaire de Saint-Mandé où ses parents tenaient un petit café-restaurant... Elle nous y invitait souvent ta maman et moi. C'était une bonne camarade... Elle n'avait pas du tout l'accent russe, mais pas du tout... Le cours de danse s'est achevé vers sept heures du soir. Madame Dismaïlova nous a dit: - Au rrrevoir... et à jeudi prrrochain, les enfants... Dans l'escalier, j'ai chuchoté: - Tu aurais dû lui parler et l'appeler par son vrai nom... Papa a éclaté de rire. - Tu crois que j'aurais dû lui dire: Bonjour, Odette... Comment vont les amis de Saint-Mandé? Il est resté un moment silencieux. Et puis il a ajouté: - Mais non... Je ne pouvais pas lui faire ça... Il faut la laisser rêver, elle et ses clients... D’après Sempé et Patrick Modiano «Catherine Certitude» 14. Selon le père de Catherine, les gens qui ôtent leurs lunettes ont dans le regard… 1)  de la faiblesse. 2)  de la tendresse. 3)  du charme. 4)  de la simplicité.

Прочитайте текст и выполните задания 12 - 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mon Professeur de Danses Je me souviens de mon premier cours de danse. Papa en avait choisi un, dans le quartier, rue de Maubeuge. Notre professeur, Madame Galina Dismaïlova, s'est dirigée vers moi: - Il faudra que tu danses sans lunettes. Au début, j'enviais mes camarades qui ne portaient pas de lunettes. Tout était simple pour elles. Mais à la réflexion, je me suis dit que j'avais un avantage: vivre dans deux mondes différents, selon que je portais ou non mes lunettes. Et le monde de la danse n'était pas la vie réelle. Oui, un monde de rêve comme celui, flou et tendre, que je voyais sans mes lunettes. À la sortie de ce premier cours, j'ai dit à papa: - Ça ne me dérange pas du tout de danser sans mes lunettes. - Tu as raison, a dit papa. Ce sera comme moi quand j'étais jeune... Les autres te trouveront dans le regard, quand tu ne porteras pas tes lunettes, une sorte de douceur... Cela s'appelle le charme... Les cours avaient lieu chaque jeudi soir et papa m'y accompagnait. La grande fenêtre du studio de danse donnait sur la gare du Nord. Les mères des élèves étaient assises sur une longue banquette rouge. Papa, le seul homme parmi toutes ces femmes, se tenait au bout de la banquette, à distance des autres, et regardait de temps en temps, par la baie vitrée derrière lui, la gare du Nord, les lumières des quais, les trains qui s'en allaient pour de lointaines destinations -jusqu'en Russie, m'avait-il dit- la Russie qui était la patrie de notre professeur, Madame Dismaïlova. Elle avait conservé un très fort accent russe. Elle m’appelait «Catherrrine». Un jour, papa m'a dit: - Catherine, c'est drôle... J'ai connu dans le temps ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle ne me reconnaît pas car je ne suis plus le jeune homme que j'étais alors... Elle aussi a bien changé. En ce temps-là, Catherine, j'étais un jeune homme assez bien de sa personne, et pour gagner un peu d'argent de poche, j'avais voulu faire de la figuration au Casino de Paris... Un soir, on m'a demandé de remplacer l'un des porteurs... Les porteurs sont ceux qui doivent porter les danseuses de la revue... Et la danseuse que je devais porter, c'était ta maman... Je l'ai prise dans mes bras de la façon que l'on m'a indiquée... Je suis entré en scène avec elle en titubant, sans mes lunettes... Et patatras!... Nous sommes tombés tous les deux par terre... Ta maman avait une crise de fou rire... Il a fallu baisser le rideau... Elle m'a trouvé très sympathique... C'est au Casino de Paris que j'ai connu aussi ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle faisait partie de la revue... Et papa, comme s'il avait peur que quelqu'un nous suive et entende notre conversation, a ralenti le pas et s'est penché vers moi. - Eh bien, ma petite Catherine, a-t-il dit d'une voix très basse, presque un chuchotement, elle ne s'appelait pas Galina Dismaïlova à cette époque-là, mais tout simplement Odette Marchal... Et elle n'était pas russe mais originaire de Saint-Mandé où ses parents tenaient un petit café-restaurant... Elle nous y invitait souvent ta maman et moi. C'était une bonne camarade... Elle n'avait pas du tout l'accent russe, mais pas du tout... Le cours de danse s'est achevé vers sept heures du soir. Madame Dismaïlova nous a dit: - Au rrrevoir... et à jeudi prrrochain, les enfants... Dans l'escalier, j'ai chuchoté: - Tu aurais dû lui parler et l'appeler par son vrai nom... Papa a éclaté de rire. - Tu crois que j'aurais dû lui dire: Bonjour, Odette... Comment vont les amis de Saint-Mandé? Il est resté un moment silencieux. Et puis il a ajouté: - Mais non... Je ne pouvais pas lui faire ça... Il faut la laisser rêver, elle et ses clients... D’après Sempé et Patrick Modiano «Catherine Certitude» 15. Le professeur de danses parlait avec un accent… 1)  français. 2)  russe. 3)  anglais. 4)  allemand.

Прочитайте текст и выполните задания 12 - 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mon Professeur de Danses Je me souviens de mon premier cours de danse. Papa en avait choisi un, dans le quartier, rue de Maubeuge. Notre professeur, Madame Galina Dismaïlova, s'est dirigée vers moi: - Il faudra que tu danses sans lunettes. Au début, j'enviais mes camarades qui ne portaient pas de lunettes. Tout était simple pour elles. Mais à la réflexion, je me suis dit que j'avais un avantage: vivre dans deux mondes différents, selon que je portais ou non mes lunettes. Et le monde de la danse n'était pas la vie réelle. Oui, un monde de rêve comme celui, flou et tendre, que je voyais sans mes lunettes. À la sortie de ce premier cours, j'ai dit à papa: - Ça ne me dérange pas du tout de danser sans mes lunettes. - Tu as raison, a dit papa. Ce sera comme moi quand j'étais jeune... Les autres te trouveront dans le regard, quand tu ne porteras pas tes lunettes, une sorte de douceur... Cela s'appelle le charme... Les cours avaient lieu chaque jeudi soir et papa m'y accompagnait. La grande fenêtre du studio de danse donnait sur la gare du Nord. Les mères des élèves étaient assises sur une longue banquette rouge. Papa, le seul homme parmi toutes ces femmes, se tenait au bout de la banquette, à distance des autres, et regardait de temps en temps, par la baie vitrée derrière lui, la gare du Nord, les lumières des quais, les trains qui s'en allaient pour de lointaines destinations -jusqu'en Russie, m'avait-il dit- la Russie qui était la patrie de notre professeur, Madame Dismaïlova. Elle avait conservé un très fort accent russe. Elle m’appelait «Catherrrine». Un jour, papa m'a dit: - Catherine, c'est drôle... J'ai connu dans le temps ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle ne me reconnaît pas car je ne suis plus le jeune homme que j'étais alors... Elle aussi a bien changé. En ce temps-là, Catherine, j'étais un jeune homme assez bien de sa personne, et pour gagner un peu d'argent de poche, j'avais voulu faire de la figuration au Casino de Paris... Un soir, on m'a demandé de remplacer l'un des porteurs... Les porteurs sont ceux qui doivent porter les danseuses de la revue... Et la danseuse que je devais porter, c'était ta maman... Je l'ai prise dans mes bras de la façon que l'on m'a indiquée... Je suis entré en scène avec elle en titubant, sans mes lunettes... Et patatras!... Nous sommes tombés tous les deux par terre... Ta maman avait une crise de fou rire... Il a fallu baisser le rideau... Elle m'a trouvé très sympathique... C'est au Casino de Paris que j'ai connu aussi ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle faisait partie de la revue... Et papa, comme s'il avait peur que quelqu'un nous suive et entende notre conversation, a ralenti le pas et s'est penché vers moi. - Eh bien, ma petite Catherine, a-t-il dit d'une voix très basse, presque un chuchotement, elle ne s'appelait pas Galina Dismaïlova à cette époque-là, mais tout simplement Odette Marchal... Et elle n'était pas russe mais originaire de Saint-Mandé où ses parents tenaient un petit café-restaurant... Elle nous y invitait souvent ta maman et moi. C'était une bonne camarade... Elle n'avait pas du tout l'accent russe, mais pas du tout... Le cours de danse s'est achevé vers sept heures du soir. Madame Dismaïlova nous a dit: - Au rrrevoir... et à jeudi prrrochain, les enfants... Dans l'escalier, j'ai chuchoté: - Tu aurais dû lui parler et l'appeler par son vrai nom... Papa a éclaté de rire. - Tu crois que j'aurais dû lui dire: Bonjour, Odette... Comment vont les amis de Saint-Mandé? Il est resté un moment silencieux. Et puis il a ajouté: - Mais non... Je ne pouvais pas lui faire ça... Il faut la laisser rêver, elle et ses clients... D’après Sempé et Patrick Modiano «Catherine Certitude» 16. Le père de Catherine, pourquoi travaillait-il au Casino de Paris quand il était jeune? 1)  Parce qu’il était danseur. 2)  Parce qu’il aimait la mère de Catherine. 3)  Parce qu’il voulait devenir acteur. 4)  Parce qu’il voulait gagner un peu d’argent de poche.

Прочитайте текст и выполните задания 12 - 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mon Professeur de Danses Je me souviens de mon premier cours de danse. Papa en avait choisi un, dans le quartier, rue de Maubeuge. Notre professeur, Madame Galina Dismaïlova, s'est dirigée vers moi: - Il faudra que tu danses sans lunettes. Au début, j'enviais mes camarades qui ne portaient pas de lunettes. Tout était simple pour elles. Mais à la réflexion, je me suis dit que j'avais un avantage: vivre dans deux mondes différents, selon que je portais ou non mes lunettes. Et le monde de la danse n'était pas la vie réelle. Oui, un monde de rêve comme celui, flou et tendre, que je voyais sans mes lunettes. À la sortie de ce premier cours, j'ai dit à papa: - Ça ne me dérange pas du tout de danser sans mes lunettes. - Tu as raison, a dit papa. Ce sera comme moi quand j'étais jeune... Les autres te trouveront dans le regard, quand tu ne porteras pas tes lunettes, une sorte de douceur... Cela s'appelle le charme... Les cours avaient lieu chaque jeudi soir et papa m'y accompagnait. La grande fenêtre du studio de danse donnait sur la gare du Nord. Les mères des élèves étaient assises sur une longue banquette rouge. Papa, le seul homme parmi toutes ces femmes, se tenait au bout de la banquette, à distance des autres, et regardait de temps en temps, par la baie vitrée derrière lui, la gare du Nord, les lumières des quais, les trains qui s'en allaient pour de lointaines destinations -jusqu'en Russie, m'avait-il dit- la Russie qui était la patrie de notre professeur, Madame Dismaïlova. Elle avait conservé un très fort accent russe. Elle m’appelait «Catherrrine». Un jour, papa m'a dit: - Catherine, c'est drôle... J'ai connu dans le temps ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle ne me reconnaît pas car je ne suis plus le jeune homme que j'étais alors... Elle aussi a bien changé. En ce temps-là, Catherine, j'étais un jeune homme assez bien de sa personne, et pour gagner un peu d'argent de poche, j'avais voulu faire de la figuration au Casino de Paris... Un soir, on m'a demandé de remplacer l'un des porteurs... Les porteurs sont ceux qui doivent porter les danseuses de la revue... Et la danseuse que je devais porter, c'était ta maman... Je l'ai prise dans mes bras de la façon que l'on m'a indiquée... Je suis entré en scène avec elle en titubant, sans mes lunettes... Et patatras!... Nous sommes tombés tous les deux par terre... Ta maman avait une crise de fou rire... Il a fallu baisser le rideau... Elle m'a trouvé très sympathique... C'est au Casino de Paris que j'ai connu aussi ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle faisait partie de la revue... Et papa, comme s'il avait peur que quelqu'un nous suive et entende notre conversation, a ralenti le pas et s'est penché vers moi. - Eh bien, ma petite Catherine, a-t-il dit d'une voix très basse, presque un chuchotement, elle ne s'appelait pas Galina Dismaïlova à cette époque-là, mais tout simplement Odette Marchal... Et elle n'était pas russe mais originaire de Saint-Mandé où ses parents tenaient un petit café-restaurant... Elle nous y invitait souvent ta maman et moi. C'était une bonne camarade... Elle n'avait pas du tout l'accent russe, mais pas du tout... Le cours de danse s'est achevé vers sept heures du soir. Madame Dismaïlova nous a dit: - Au rrrevoir... et à jeudi prrrochain, les enfants... Dans l'escalier, j'ai chuchoté: - Tu aurais dû lui parler et l'appeler par son vrai nom... Papa a éclaté de rire. - Tu crois que j'aurais dû lui dire: Bonjour, Odette... Comment vont les amis de Saint-Mandé? Il est resté un moment silencieux. Et puis il a ajouté: - Mais non... Je ne pouvais pas lui faire ça... Il faut la laisser rêver, elle et ses clients... D’après Sempé et Patrick Modiano «Catherine Certitude» 17. Qui sont les porteurs au Casino de Paris? C’est ceux qui doivent porter… 1)  des valises de clients. 2)  des danseuses pendant la revue. 3)  de l’argent. 4)  des fleurs aux danseuses.

Прочитайте текст и выполните задания 12 - 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mon Professeur de Danses Je me souviens de mon premier cours de danse. Papa en avait choisi un, dans le quartier, rue de Maubeuge. Notre professeur, Madame Galina Dismaïlova, s'est dirigée vers moi: - Il faudra que tu danses sans lunettes. Au début, j'enviais mes camarades qui ne portaient pas de lunettes. Tout était simple pour elles. Mais à la réflexion, je me suis dit que j'avais un avantage: vivre dans deux mondes différents, selon que je portais ou non mes lunettes. Et le monde de la danse n'était pas la vie réelle. Oui, un monde de rêve comme celui, flou et tendre, que je voyais sans mes lunettes. À la sortie de ce premier cours, j'ai dit à papa: - Ça ne me dérange pas du tout de danser sans mes lunettes. - Tu as raison, a dit papa. Ce sera comme moi quand j'étais jeune... Les autres te trouveront dans le regard, quand tu ne porteras pas tes lunettes, une sorte de douceur... Cela s'appelle le charme... Les cours avaient lieu chaque jeudi soir et papa m'y accompagnait. La grande fenêtre du studio de danse donnait sur la gare du Nord. Les mères des élèves étaient assises sur une longue banquette rouge. Papa, le seul homme parmi toutes ces femmes, se tenait au bout de la banquette, à distance des autres, et regardait de temps en temps, par la baie vitrée derrière lui, la gare du Nord, les lumières des quais, les trains qui s'en allaient pour de lointaines destinations -jusqu'en Russie, m'avait-il dit- la Russie qui était la patrie de notre professeur, Madame Dismaïlova. Elle avait conservé un très fort accent russe. Elle m’appelait «Catherrrine». Un jour, papa m'a dit: - Catherine, c'est drôle... J'ai connu dans le temps ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle ne me reconnaît pas car je ne suis plus le jeune homme que j'étais alors... Elle aussi a bien changé. En ce temps-là, Catherine, j'étais un jeune homme assez bien de sa personne, et pour gagner un peu d'argent de poche, j'avais voulu faire de la figuration au Casino de Paris... Un soir, on m'a demandé de remplacer l'un des porteurs... Les porteurs sont ceux qui doivent porter les danseuses de la revue... Et la danseuse que je devais porter, c'était ta maman... Je l'ai prise dans mes bras de la façon que l'on m'a indiquée... Je suis entré en scène avec elle en titubant, sans mes lunettes... Et patatras!... Nous sommes tombés tous les deux par terre... Ta maman avait une crise de fou rire... Il a fallu baisser le rideau... Elle m'a trouvé très sympathique... C'est au Casino de Paris que j'ai connu aussi ton professeur, Madame Dismaïlova... Elle faisait partie de la revue... Et papa, comme s'il avait peur que quelqu'un nous suive et entende notre conversation, a ralenti le pas et s'est penché vers moi. - Eh bien, ma petite Catherine, a-t-il dit d'une voix très basse, presque un chuchotement, elle ne s'appelait pas Galina Dismaïlova à cette époque-là, mais tout simplement Odette Marchal... Et elle n'était pas russe mais originaire de Saint-Mandé où ses parents tenaient un petit café-restaurant... Elle nous y invitait souvent ta maman et moi. C'était une bonne camarade... Elle n'avait pas du tout l'accent russe, mais pas du tout... Le cours de danse s'est achevé vers sept heures du soir. Madame Dismaïlova nous a dit: - Au rrrevoir... et à jeudi prrrochain, les enfants... Dans l'escalier, j'ai chuchoté: - Tu aurais dû lui parler et l'appeler par son vrai nom... Papa a éclaté de rire. - Tu crois que j'aurais dû lui dire: Bonjour, Odette... Comment vont les amis de Saint-Mandé? Il est resté un moment silencieux. Et puis il a ajouté: - Mais non... Je ne pouvais pas lui faire ça... Il faut la laisser rêver, elle et ses clients... D’après Sempé et Patrick Modiano «Catherine Certitude» 18. Quelle phrase n’appartient pas au texte? 1)  Nous sommes tombés tous les deux par terre. 2)  Et elle n'était pas russe mais originaire de Saint-Mandé où ses parents tenaient un petit café-restaurant. 3)  Il faut la laisser rêver, elle et ses clients. 4)  Papa a dit au professeur de danses: Bonjour, Odette... Comment vont les amis de Saint-Mandé?

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une très courte histoire Par une soirée brûlante, à Padoue, on le transporta sur le toit d’où il pouvait découvrir toute la ville. Des oiseaux rayaient le ciel. La nuit tomba et les projecteurs s’allumèrent. Lucie et lui les entendaient en dessous, sur le balcon. Lucie s’assit sur le lit. Lucie avait pris les fonctions de sage-femme dans l’hôpital pour rester avec lui. Quand on l’opéra, elle lui fit sa toilette pour la table d’opération. Ils plaisantèrent. Quand on l’endormit, il se concentra pour ne rien dire au moment ridicule où on raconte des histoires. Quand il put marcher avec des béquilles, il commença à prendre lui-même les températures pour éviter à Lucie de se lever. Il n’y avait que quelques malades; tous étaient au courant de leur amour et tous aimaient bien Lucie. Avant son retour au front, ils allèrent prier au Duomo. Dans l’église sombre et paisible, d’autres personnes étaient agenouillées. Ils voulaient se marier, mais ni l’un ni l’autre n’avaient d’extrait de naissance. Ils se considéraient eux-mêmes comme mariés, mais ils voulaient que tout le monde le sache, pour être plus sûrs de ne pas se perdre. Lucie lui écrivit beaucoup de lettres qu’il ne reçut qu’après l’armistice. Quinze arrivèrent en paquet au front; il les classa d’après les dates et les lut à la file. Elles parlaient toutes de l’hôpital, disaient combien elle l’aimait, comme c’était impossible de vivre sans lui et comme il lui manquait affreusement. Après l’armistice, ils décidèrent qu’il devait rentrer en Amérique et trouver du travail pour qu’ils puissent se marier. Lucie ne le rejoindrait que lorsqu’il aurait une bonne situation et pourrait venir la chercher. Il était entendu qu’il ne boirait pas et ne verrait ni ses amis ni personne aux États-Unis. Trouver une situation et se marier. Rien d’autre. Dans le train, de Padoue à Milan, ils se chamaillèrent parce qu’elle était sur le point de partir pour l’Amérique sans attendre. Au moment de se séparer à la gare de Milan, ils s’embrassèrent mais leur querelle n’était pas éteinte. Il était malade de la quitter comme ça. Il embarqua pour l’Amérique à Gênes. Lucie retourna à Padoue où allait s’ouvrir un hôpital. C’était un endroit isolé et pluvieux. Un bataillon s’y trouvait cantonné. L’hiver, dans la petite ville bourbeuse et humide, un major fit la cour à Lucie; elle n’avait encore jamais connu d’Italiens. Finalement, elle écrivit aux États-Unis que leur liaison n’avait été qu’une aventure de gamins. Elle était désolée, elle savait qu’il ne comprendrait probablement pas, mais peut-être un jour lui pardonnerait-il et lui serait-il reconnaissant... Contre toute attente, elle allait se marier au printemps. Elle l’aimait toujours, mais elle s’était rendu compte que ça n’avait été qu’une amourette. Elle espérait qu’il ferait une brillante carrière et lui faisait entière confiance. Elle savait que c’était très bien ainsi. Le major ne l’épousa ni au printemps ni à aucune autre saison. Lucie ne reçut jamais de réponse de Chicago. Elle revint en Amérique mais ne put jamais retrouver son ancien ami. Elle le chercha jusqu'à la trentaine, puis se maria avec un autre. 16. La querelle dans le train s’est produite parce que Lucie... 1)  ne voulait pas quitter son travail. 2)  ne voulait pas revenir en Amérique. 3)  voulait partir tout de suite avec son ami. 4)  n’était pas d’accord sur l’organisation du mariage.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une très courte histoire Par une soirée brûlante, à Padoue, on le transporta sur le toit d’où il pouvait découvrir toute la ville. Des oiseaux rayaient le ciel. La nuit tomba et les projecteurs s’allumèrent. Lucie et lui les entendaient en dessous, sur le balcon. Lucie s’assit sur le lit. Lucie avait pris les fonctions de sage-femme dans l’hôpital pour rester avec lui. Quand on l’opéra, elle lui fit sa toilette pour la table d’opération. Ils plaisantèrent. Quand on l’endormit, il se concentra pour ne rien dire au moment ridicule où on raconte des histoires. Quand il put marcher avec des béquilles, il commença à prendre lui-même les températures pour éviter à Lucie de se lever. Il n’y avait que quelques malades; tous étaient au courant de leur amour et tous aimaient bien Lucie. Avant son retour au front, ils allèrent prier au Duomo. Dans l’église sombre et paisible, d’autres personnes étaient agenouillées. Ils voulaient se marier, mais ni l’un ni l’autre n’avaient d’extrait de naissance. Ils se considéraient eux-mêmes comme mariés, mais ils voulaient que tout le monde le sache, pour être plus sûrs de ne pas se perdre. Lucie lui écrivit beaucoup de lettres qu’il ne reçut qu’après l’armistice. Quinze arrivèrent en paquet au front; il les classa d’après les dates et les lut à la file. Elles parlaient toutes de l’hôpital, disaient combien elle l’aimait, comme c’était impossible de vivre sans lui et comme il lui manquait affreusement. Après l’armistice, ils décidèrent qu’il devait rentrer en Amérique et trouver du travail pour qu’ils puissent se marier. Lucie ne le rejoindrait que lorsqu’il aurait une bonne situation et pourrait venir la chercher. Il était entendu qu’il ne boirait pas et ne verrait ni ses amis ni personne aux États-Unis. Trouver une situation et se marier. Rien d’autre. Dans le train, de Padoue à Milan, ils se chamaillèrent parce qu’elle était sur le point de partir pour l’Amérique sans attendre. Au moment de se séparer à la gare de Milan, ils s’embrassèrent mais leur querelle n’était pas éteinte. Il était malade de la quitter comme ça. Il embarqua pour l’Amérique à Gênes. Lucie retourna à Padoue où allait s’ouvrir un hôpital. C’était un endroit isolé et pluvieux. Un bataillon s’y trouvait cantonné. L’hiver, dans la petite ville bourbeuse et humide, un major fit la cour à Lucie; elle n’avait encore jamais connu d’Italiens. Finalement, elle écrivit aux États-Unis que leur liaison n’avait été qu’une aventure de gamins. Elle était désolée, elle savait qu’il ne comprendrait probablement pas, mais peut-être un jour lui pardonnerait-il et lui serait-il reconnaissant... Contre toute attente, elle allait se marier au printemps. Elle l’aimait toujours, mais elle s’était rendu compte que ça n’avait été qu’une amourette. Elle espérait qu’il ferait une brillante carrière et lui faisait entière confiance. Elle savait que c’était très bien ainsi. Le major ne l’épousa ni au printemps ni à aucune autre saison. Lucie ne reçut jamais de réponse de Chicago. Elle revint en Amérique mais ne put jamais retrouver son ancien ami. Elle le chercha jusqu'à la trentaine, puis se maria avec un autre. 18. Finalement, Lucie... 1)  a épousé un Italien. 2)  a épousé son ancien ami. 3)  a épousé un autre homme en Amérique. 4)  ne s’est jamais mariée.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. La chatte Missoui et les enfants Avec les enfants, la chatte Missoui savait tout d’instinct: qu’il ne faut pas sortir les griffes sur la peau, et même à travers les vêtements, qu’il faut tout supporter des bébés et ne pas dormir sur leur tête. Et je vis Missoui se laisser habiller d’une robe de poupée, puis d’un manteau par-dessus, le tout boutonné du bas jusqu’en haut, le col bien serré autour du cou, avec par-dessus le marché un bonnet. Je revois encore son regard si doux et résigné sous le bord en tricot du bonnet, au ras de ses sourcils – «Tu vois ce qu’il me fait?». Supporter cela, pour un chat, c’est déjà beaucoup. Mon fils, ensuite, l’asseyait dans une petite poussette pour poupée appartenant à sa soeur – donc tout à fait de la taille d’un chat – et il se lançait à fond de train dans l’appartement, passant au ras des tables, exécutant un virage au fond du salon, puis un slalom entre les chaises, avant d’atteindre la vitesse maximum dans la ligne droite du couloir, tout en faisant avec sa bouche le bruit des voitures de course. Avant de voir réapparaître la course folle, je supposais toujours que la chatte avait sauté en marche. Pas du tout. L’ensemble de l’équipage réapparaissait, y compris la chatte, toujours assise avec son bonnet sur la tête et son beau regard me prenait à témoin au passage, ou au beau milieu d’un virage où elle manquait verser. Elle tournait un peu la tête vers moi, gênée par son col trop serré, l’air de dire encore: «Tu vois ce qu’il me fait?» Mais je laissais faire, car on voyait très bien qu’elle était heureuse. Mon fils organisait les incroyables scènes de bataille, où la chatte était tour à tour ennemi, compagnon de combat, barricade à franchir. Il sautait à pieds joints au-dessus d’elle, retombait de tout son poids à dix centimètres de son corps en faisant vibrer tout l’étage. Je tremblais qu’un jour il ne lui écrase une patte. Elle, ne frémissait pas d’un poil et le regardait faire, tranquille et ravie. Et, la crise de guerre terminée, s’ensuivait un gros câlin à deux où Missoui, la truffe contre son nez, lui apprenait la douceur et l’intimité. Dans mes souvenirs, une petite scène me revient, qui nous avait beaucoup frappées, ma fille et moi. Elle avait environ sept ou huit ans et était en proie un soir à l’un de ces chagrins d’enfant accompagné de sanglots déchirants, et dont on oublie la raison à peine quelques jours après. Elle pleurait depuis un bon moment déjà, faisant beaucoup de bruit, réfugiée dans l’angle d’un grand canapé. La chatte, couchée sur un fauteuil un peu plus loin, de l’autre côté d’une table basse, la regardait attentivement. Je dus dire un mot qui déclencha chez ma fille un sanglot particulièrement fort et désespéré. La chatte ne fit qu’un bond et se précipita sur elle. Comme un éclair, elle sauta la table, parcourut toute la longueur du canapé sur le bord du dossier, avec la soudaineté et la violence d’une attaque… pour se blottir dans son cou, la tête enfouie sous son oreille. Ma fille, complètement surprise par ce qui venait d’arriver, restait figée, tout sanglot suspendu, bouche ouverte, n’osant bouger avec la chatte immobile sur son épaule, son mufle appuyé sur son cou. Au bout d’un moment, toujours sans oser remuer, elle balbutia, la voix mouillée de larmes: «Tu as vu ce qu’elle a fait?» Au bout d’un moment, ma fille la serra contre elle. Ni elle ni moi n’osions vraiment nous rendre à l’évidence: Missoui avait sans doute bondi pour la consoler. En tout cas, de chagrin il ne fut plus question et nous en avons instantanément oublié la raison. Mais nous parlons encore de ce merveilleux et surprenant moment vécu grâce à Missoui. D’après Anny Duperey «Les Chats de Hasard» 16. Qu’est-ce qui est arrivé un soir à la fille de l’auteure, pourquoi pleurait-elle? 1)  Elle avait l’un de ces chagrins d’enfant accompagné de sanglots déchirants dont on oublie rapidement la cause. 2)  Elle faisait ses devoirs dans sa chambre et ne pouvait pas résoudre un problème de mathématiques. 3)  Elle était malade et avait de la fièvre. 4)  Elle regardait un film à la télé et le sujet l’a touchée.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre la détention d’un nouvel animal de compagnie (NAC)? Qu’est-ce qu’un NAC? On pense immédiatement à des animaux exotiques, comme reptiles, mais cette appellation correspond en fait à tous les animaux autres que les chiens et les chats, détenus par une personne pour son agrément. Cela peut donc aller du hamster nain au python, en passant par le poisson-zèbre, l’araignée ou le furet. Le propriétaire d’un animal est responsable aux yeux de la loi en cas de piqure, morsure ou toute autre atteinte physique ou détérioration. Détenir certains animaux non domestiques nécessite aussi d’obtenir au préalable une autorisation. Le détenteur doit en outre fournir un certificat de cession prouvant qu’il n’a pas acquis l’animal illégalement. L’arrêté du 11 août 2006 fixe la liste des animaux domestiques. On compte parmi eux les chiens et les chats bien sûr, mais aussi le dromadaire, le yack, la souris, le faisan, ou encore la grenouille rieuse ou le ver à soie. Tout animal ne figurant pas sur cette liste est considéré comme non domestique. L’arrêté du 8 octobre 2018 pose, lui, les règles de détention d’un animal non domestique. L’article 1 impose, par exemple, à tout détenteur d’un animal non domestique de «disposer d'un lieu d'hébergement, d'installations et d'équipements conçus pour garantir le bien-être des animaux hébergés» et de «détenir les compétences requises et adaptées à l'espèce et au nombre d'animaux afin que ceux-ci soient maintenus en bon état de santé et d'entretien». Pour certains animaux, même s’il ne faut pas d’autorisation préalable pour en avoir un, certaines obligations sont à respecter, notamment de vaccination ou d’identification. La détention d’un furet par exemple nécessite qu'il soit tatoué ou qu'une puce électronique lui soit implantée pour permettre son identification. Il doit également être vacciné contre la rage si on souhaite quitter le territoire avec lui. Ces normes s'imposent d'ailleurs aussi lorsque l'on a un chat. Afin de protéger les animaux, il a été proposé par l’Assemblée nationale de ne permettre la vente en ligne d’animaux de compagnie que par des refuges, éleveurs ou établissements spécialisés et d’interdire la vente d’animaux de compagnie aux adolescents de moins de 16 ans, sans accord de leurs parents. S’occuper d’un NAC n’est pas toujours si simple. Il arrive que les NAC s’enfuient ou soient abandonnés dans la nature. Leur présence dans un environnement qui n’est pas le leur peut être nuisible pour la faune et la flore locales, s’ils n’ont pas de prédateur notamment. La tortue de Floride, par exemple, a été énormément vendue en France dans les animaleries à la fin du XXe siècle. Nombre de propriétaires de ces tortues les ont ensuite abandonnées dans la nature parce qu’ils ne parvenaient pas à s’occuper de leur tortue devenue adulte. Elle s’est ainsi installée, acclimatée et est devenue une espèce invasive. Elle a progressivement pris la place de la tortue qui vivait là initialement, la cistude. Et il faut bien avoir conscience de ce que devient l’animal en grandissant: sa taille, son poids, etc. Le cochon nain ou cochon vietnamien par exemple peut atteindre 35 à 60 kg à l’âge adulte. En outre, la présence de l’animal n’est pas toujours source de détente et de bien-être. On peut vouloir un animal et se rendre compte que s’en occuper n’est pas toujours une sinécure: détérioration des canapés et rideaux, voire agressivité de l’animal envers son propriétaire ou toute personne venue en visite ou habitant dans le foyer. De plus, la réaction d’un animal au retour à la maison de son maître varie. Un iguane ne vous sautera par exemple jamais au cou pour vous faire la fête comme le ferait un chien. 12. Il est interdit selon la loi française de... 1) faire reproduire les animaux en captivité. 2) détenir un animal d’une espèce menacée. 3) abandonner son animal de compagnie. 4) causer des dégâts aux autres personnes.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre la détention d’un nouvel animal de compagnie (NAC)? Qu’est-ce qu’un NAC? On pense immédiatement à des animaux exotiques, comme reptiles, mais cette appellation correspond en fait à tous les animaux autres que les chiens et les chats, détenus par une personne pour son agrément. Cela peut donc aller du hamster nain au python, en passant par le poisson-zèbre, l’araignée ou le furet. Le propriétaire d’un animal est responsable aux yeux de la loi en cas de piqure, morsure ou toute autre atteinte physique ou détérioration. Détenir certains animaux non domestiques nécessite aussi d’obtenir au préalable une autorisation. Le détenteur doit en outre fournir un certificat de cession prouvant qu’il n’a pas acquis l’animal illégalement. L’arrêté du 11 août 2006 fixe la liste des animaux domestiques. On compte parmi eux les chiens et les chats bien sûr, mais aussi le dromadaire, le yack, la souris, le faisan, ou encore la grenouille rieuse ou le ver à soie. Tout animal ne figurant pas sur cette liste est considéré comme non domestique. L’arrêté du 8 octobre 2018 pose, lui, les règles de détention d’un animal non domestique. L’article 1 impose, par exemple, à tout détenteur d’un animal non domestique de «disposer d'un lieu d'hébergement, d'installations et d'équipements conçus pour garantir le bien-être des animaux hébergés» et de «détenir les compétences requises et adaptées à l'espèce et au nombre d'animaux afin que ceux-ci soient maintenus en bon état de santé et d'entretien». Pour certains animaux, même s’il ne faut pas d’autorisation préalable pour en avoir un, certaines obligations sont à respecter, notamment de vaccination ou d’identification. La détention d’un furet par exemple nécessite qu'il soit tatoué ou qu'une puce électronique lui soit implantée pour permettre son identification. Il doit également être vacciné contre la rage si on souhaite quitter le territoire avec lui. Ces normes s'imposent d'ailleurs aussi lorsque l'on a un chat. Afin de protéger les animaux, il a été proposé par l’Assemblée nationale de ne permettre la vente en ligne d’animaux de compagnie que par des refuges, éleveurs ou établissements spécialisés et d’interdire la vente d’animaux de compagnie aux adolescents de moins de 16 ans, sans accord de leurs parents. S’occuper d’un NAC n’est pas toujours si simple. Il arrive que les NAC s’enfuient ou soient abandonnés dans la nature. Leur présence dans un environnement qui n’est pas le leur peut être nuisible pour la faune et la flore locales, s’ils n’ont pas de prédateur notamment. La tortue de Floride, par exemple, a été énormément vendue en France dans les animaleries à la fin du XXe siècle. Nombre de propriétaires de ces tortues les ont ensuite abandonnées dans la nature parce qu’ils ne parvenaient pas à s’occuper de leur tortue devenue adulte. Elle s’est ainsi installée, acclimatée et est devenue une espèce invasive. Elle a progressivement pris la place de la tortue qui vivait là initialement, la cistude. Et il faut bien avoir conscience de ce que devient l’animal en grandissant: sa taille, son poids, etc. Le cochon nain ou cochon vietnamien par exemple peut atteindre 35 à 60 kg à l’âge adulte. En outre, la présence de l’animal n’est pas toujours source de détente et de bien-être. On peut vouloir un animal et se rendre compte que s’en occuper n’est pas toujours une sinécure: détérioration des canapés et rideaux, voire agressivité de l’animal envers son propriétaire ou toute personne venue en visite ou habitant dans le foyer. De plus, la réaction d’un animal au retour à la maison de son maître varie. Un iguane ne vous sautera par exemple jamais au cou pour vous faire la fête comme le ferait un chien. 13. Une attestation de cession confirme que l’animal… 1) a vécu dans de bonnes conditions. 2) a été inclus sur la liste des animaux. 3) a été adopté selon les règles officielles. 4) a été acquis dans un pays étranger.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre la détention d’un nouvel animal de compagnie (NAC)? Qu’est-ce qu’un NAC? On pense immédiatement à des animaux exotiques, comme reptiles, mais cette appellation correspond en fait à tous les animaux autres que les chiens et les chats, détenus par une personne pour son agrément. Cela peut donc aller du hamster nain au python, en passant par le poisson-zèbre, l’araignée ou le furet. Le propriétaire d’un animal est responsable aux yeux de la loi en cas de piqure, morsure ou toute autre atteinte physique ou détérioration. Détenir certains animaux non domestiques nécessite aussi d’obtenir au préalable une autorisation. Le détenteur doit en outre fournir un certificat de cession prouvant qu’il n’a pas acquis l’animal illégalement. L’arrêté du 11 août 2006 fixe la liste des animaux domestiques. On compte parmi eux les chiens et les chats bien sûr, mais aussi le dromadaire, le yack, la souris, le faisan, ou encore la grenouille rieuse ou le ver à soie. Tout animal ne figurant pas sur cette liste est considéré comme non domestique. L’arrêté du 8 octobre 2018 pose, lui, les règles de détention d’un animal non domestique. L’article 1 impose, par exemple, à tout détenteur d’un animal non domestique de «disposer d'un lieu d'hébergement, d'installations et d'équipements conçus pour garantir le bien-être des animaux hébergés» et de «détenir les compétences requises et adaptées à l'espèce et au nombre d'animaux afin que ceux-ci soient maintenus en bon état de santé et d'entretien». Pour certains animaux, même s’il ne faut pas d’autorisation préalable pour en avoir un, certaines obligations sont à respecter, notamment de vaccination ou d’identification. La détention d’un furet par exemple nécessite qu'il soit tatoué ou qu'une puce électronique lui soit implantée pour permettre son identification. Il doit également être vacciné contre la rage si on souhaite quitter le territoire avec lui. Ces normes s'imposent d'ailleurs aussi lorsque l'on a un chat. Afin de protéger les animaux, il a été proposé par l’Assemblée nationale de ne permettre la vente en ligne d’animaux de compagnie que par des refuges, éleveurs ou établissements spécialisés et d’interdire la vente d’animaux de compagnie aux adolescents de moins de 16 ans, sans accord de leurs parents. S’occuper d’un NAC n’est pas toujours si simple. Il arrive que les NAC s’enfuient ou soient abandonnés dans la nature. Leur présence dans un environnement qui n’est pas le leur peut être nuisible pour la faune et la flore locales, s’ils n’ont pas de prédateur notamment. La tortue de Floride, par exemple, a été énormément vendue en France dans les animaleries à la fin du XXe siècle. Nombre de propriétaires de ces tortues les ont ensuite abandonnées dans la nature parce qu’ils ne parvenaient pas à s’occuper de leur tortue devenue adulte. Elle s’est ainsi installée, acclimatée et est devenue une espèce invasive. Elle a progressivement pris la place de la tortue qui vivait là initialement, la cistude. Et il faut bien avoir conscience de ce que devient l’animal en grandissant: sa taille, son poids, etc. Le cochon nain ou cochon vietnamien par exemple peut atteindre 35 à 60 kg à l’âge adulte. En outre, la présence de l’animal n’est pas toujours source de détente et de bien-être. On peut vouloir un animal et se rendre compte que s’en occuper n’est pas toujours une sinécure: détérioration des canapés et rideaux, voire agressivité de l’animal envers son propriétaire ou toute personne venue en visite ou habitant dans le foyer. De plus, la réaction d’un animal au retour à la maison de son maître varie. Un iguane ne vous sautera par exemple jamais au cou pour vous faire la fête comme le ferait un chien. 14. Pour détenir un NAC, le propriétaire devrait… 1) avoir des connaissances sur l’animal adopté. 2) se faire vacciner contre des infections graves. 3) trouver un vétérinaire à côté de chez lui. 4) payer une amende en cas de maltraitance.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre la détention d’un nouvel animal de compagnie (NAC)? Qu’est-ce qu’un NAC? On pense immédiatement à des animaux exotiques, comme reptiles, mais cette appellation correspond en fait à tous les animaux autres que les chiens et les chats, détenus par une personne pour son agrément. Cela peut donc aller du hamster nain au python, en passant par le poisson-zèbre, l’araignée ou le furet. Le propriétaire d’un animal est responsable aux yeux de la loi en cas de piqure, morsure ou toute autre atteinte physique ou détérioration. Détenir certains animaux non domestiques nécessite aussi d’obtenir au préalable une autorisation. Le détenteur doit en outre fournir un certificat de cession prouvant qu’il n’a pas acquis l’animal illégalement. L’arrêté du 11 août 2006 fixe la liste des animaux domestiques. On compte parmi eux les chiens et les chats bien sûr, mais aussi le dromadaire, le yack, la souris, le faisan, ou encore la grenouille rieuse ou le ver à soie. Tout animal ne figurant pas sur cette liste est considéré comme non domestique. L’arrêté du 8 octobre 2018 pose, lui, les règles de détention d’un animal non domestique. L’article 1 impose, par exemple, à tout détenteur d’un animal non domestique de «disposer d'un lieu d'hébergement, d'installations et d'équipements conçus pour garantir le bien-être des animaux hébergés» et de «détenir les compétences requises et adaptées à l'espèce et au nombre d'animaux afin que ceux-ci soient maintenus en bon état de santé et d'entretien». Pour certains animaux, même s’il ne faut pas d’autorisation préalable pour en avoir un, certaines obligations sont à respecter, notamment de vaccination ou d’identification. La détention d’un furet par exemple nécessite qu'il soit tatoué ou qu'une puce électronique lui soit implantée pour permettre son identification. Il doit également être vacciné contre la rage si on souhaite quitter le territoire avec lui. Ces normes s'imposent d'ailleurs aussi lorsque l'on a un chat. Afin de protéger les animaux, il a été proposé par l’Assemblée nationale de ne permettre la vente en ligne d’animaux de compagnie que par des refuges, éleveurs ou établissements spécialisés et d’interdire la vente d’animaux de compagnie aux adolescents de moins de 16 ans, sans accord de leurs parents. S’occuper d’un NAC n’est pas toujours si simple. Il arrive que les NAC s’enfuient ou soient abandonnés dans la nature. Leur présence dans un environnement qui n’est pas le leur peut être nuisible pour la faune et la flore locales, s’ils n’ont pas de prédateur notamment. La tortue de Floride, par exemple, a été énormément vendue en France dans les animaleries à la fin du XXe siècle. Nombre de propriétaires de ces tortues les ont ensuite abandonnées dans la nature parce qu’ils ne parvenaient pas à s’occuper de leur tortue devenue adulte. Elle s’est ainsi installée, acclimatée et est devenue une espèce invasive. Elle a progressivement pris la place de la tortue qui vivait là initialement, la cistude. Et il faut bien avoir conscience de ce que devient l’animal en grandissant: sa taille, son poids, etc. Le cochon nain ou cochon vietnamien par exemple peut atteindre 35 à 60 kg à l’âge adulte. En outre, la présence de l’animal n’est pas toujours source de détente et de bien-être. On peut vouloir un animal et se rendre compte que s’en occuper n’est pas toujours une sinécure: détérioration des canapés et rideaux, voire agressivité de l’animal envers son propriétaire ou toute personne venue en visite ou habitant dans le foyer. De plus, la réaction d’un animal au retour à la maison de son maître varie. Un iguane ne vous sautera par exemple jamais au cou pour vous faire la fête comme le ferait un chien. 15. Pour identifier un animal de compagnie on… 1) lui met un collier avec l’adresse du propriétaire. 2) fournit une carte d’identité électronique. 3) fait une description détaillée de l’animal. 4) installe un petit appareil sous sa peau.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre la détention d’un nouvel animal de compagnie (NAC)? Qu’est-ce qu’un NAC? On pense immédiatement à des animaux exotiques, comme reptiles, mais cette appellation correspond en fait à tous les animaux autres que les chiens et les chats, détenus par une personne pour son agrément. Cela peut donc aller du hamster nain au python, en passant par le poisson-zèbre, l’araignée ou le furet. Le propriétaire d’un animal est responsable aux yeux de la loi en cas de piqure, morsure ou toute autre atteinte physique ou détérioration. Détenir certains animaux non domestiques nécessite aussi d’obtenir au préalable une autorisation. Le détenteur doit en outre fournir un certificat de cession prouvant qu’il n’a pas acquis l’animal illégalement. L’arrêté du 11 août 2006 fixe la liste des animaux domestiques. On compte parmi eux les chiens et les chats bien sûr, mais aussi le dromadaire, le yack, la souris, le faisan, ou encore la grenouille rieuse ou le ver à soie. Tout animal ne figurant pas sur cette liste est considéré comme non domestique. L’arrêté du 8 octobre 2018 pose, lui, les règles de détention d’un animal non domestique. L’article 1 impose, par exemple, à tout détenteur d’un animal non domestique de «disposer d'un lieu d'hébergement, d'installations et d'équipements conçus pour garantir le bien-être des animaux hébergés» et de «détenir les compétences requises et adaptées à l'espèce et au nombre d'animaux afin que ceux-ci soient maintenus en bon état de santé et d'entretien». Pour certains animaux, même s’il ne faut pas d’autorisation préalable pour en avoir un, certaines obligations sont à respecter, notamment de vaccination ou d’identification. La détention d’un furet par exemple nécessite qu'il soit tatoué ou qu'une puce électronique lui soit implantée pour permettre son identification. Il doit également être vacciné contre la rage si on souhaite quitter le territoire avec lui. Ces normes s'imposent d'ailleurs aussi lorsque l'on a un chat. Afin de protéger les animaux, il a été proposé par l’Assemblée nationale de ne permettre la vente en ligne d’animaux de compagnie que par des refuges, éleveurs ou établissements spécialisés et d’interdire la vente d’animaux de compagnie aux adolescents de moins de 16 ans, sans accord de leurs parents. S’occuper d’un NAC n’est pas toujours si simple. Il arrive que les NAC s’enfuient ou soient abandonnés dans la nature. Leur présence dans un environnement qui n’est pas le leur peut être nuisible pour la faune et la flore locales, s’ils n’ont pas de prédateur notamment. La tortue de Floride, par exemple, a été énormément vendue en France dans les animaleries à la fin du XXe siècle. Nombre de propriétaires de ces tortues les ont ensuite abandonnées dans la nature parce qu’ils ne parvenaient pas à s’occuper de leur tortue devenue adulte. Elle s’est ainsi installée, acclimatée et est devenue une espèce invasive. Elle a progressivement pris la place de la tortue qui vivait là initialement, la cistude. Et il faut bien avoir conscience de ce que devient l’animal en grandissant: sa taille, son poids, etc. Le cochon nain ou cochon vietnamien par exemple peut atteindre 35 à 60 kg à l’âge adulte. En outre, la présence de l’animal n’est pas toujours source de détente et de bien-être. On peut vouloir un animal et se rendre compte que s’en occuper n’est pas toujours une sinécure: détérioration des canapés et rideaux, voire agressivité de l’animal envers son propriétaire ou toute personne venue en visite ou habitant dans le foyer. De plus, la réaction d’un animal au retour à la maison de son maître varie. Un iguane ne vous sautera par exemple jamais au cou pour vous faire la fête comme le ferait un chien. 16. Quelle est la proposition de l’Assemblée nationale? 1) Vendre les animaux seulement aux spécialistes. 2) Interdire la vente des animaux sur Internet. 3) Vendre les animaux par des professionnels. 4) Vendre les animaux aux personnes majeures.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre la détention d’un nouvel animal de compagnie (NAC)? Qu’est-ce qu’un NAC? On pense immédiatement à des animaux exotiques, comme reptiles, mais cette appellation correspond en fait à tous les animaux autres que les chiens et les chats, détenus par une personne pour son agrément. Cela peut donc aller du hamster nain au python, en passant par le poisson-zèbre, l’araignée ou le furet. Le propriétaire d’un animal est responsable aux yeux de la loi en cas de piqure, morsure ou toute autre atteinte physique ou détérioration. Détenir certains animaux non domestiques nécessite aussi d’obtenir au préalable une autorisation. Le détenteur doit en outre fournir un certificat de cession prouvant qu’il n’a pas acquis l’animal illégalement. L’arrêté du 11 août 2006 fixe la liste des animaux domestiques. On compte parmi eux les chiens et les chats bien sûr, mais aussi le dromadaire, le yack, la souris, le faisan, ou encore la grenouille rieuse ou le ver à soie. Tout animal ne figurant pas sur cette liste est considéré comme non domestique. L’arrêté du 8 octobre 2018 pose, lui, les règles de détention d’un animal non domestique. L’article 1 impose, par exemple, à tout détenteur d’un animal non domestique de «disposer d'un lieu d'hébergement, d'installations et d'équipements conçus pour garantir le bien-être des animaux hébergés» et de «détenir les compétences requises et adaptées à l'espèce et au nombre d'animaux afin que ceux-ci soient maintenus en bon état de santé et d'entretien». Pour certains animaux, même s’il ne faut pas d’autorisation préalable pour en avoir un, certaines obligations sont à respecter, notamment de vaccination ou d’identification. La détention d’un furet par exemple nécessite qu'il soit tatoué ou qu'une puce électronique lui soit implantée pour permettre son identification. Il doit également être vacciné contre la rage si on souhaite quitter le territoire avec lui. Ces normes s'imposent d'ailleurs aussi lorsque l'on a un chat. Afin de protéger les animaux, il a été proposé par l’Assemblée nationale de ne permettre la vente en ligne d’animaux de compagnie que par des refuges, éleveurs ou établissements spécialisés et d’interdire la vente d’animaux de compagnie aux adolescents de moins de 16 ans, sans accord de leurs parents. S’occuper d’un NAC n’est pas toujours si simple. Il arrive que les NAC s’enfuient ou soient abandonnés dans la nature. Leur présence dans un environnement qui n’est pas le leur peut être nuisible pour la faune et la flore locales, s’ils n’ont pas de prédateur notamment. La tortue de Floride, par exemple, a été énormément vendue en France dans les animaleries à la fin du XXe siècle. Nombre de propriétaires de ces tortues les ont ensuite abandonnées dans la nature parce qu’ils ne parvenaient pas à s’occuper de leur tortue devenue adulte. Elle s’est ainsi installée, acclimatée et est devenue une espèce invasive. Elle a progressivement pris la place de la tortue qui vivait là initialement, la cistude. Et il faut bien avoir conscience de ce que devient l’animal en grandissant: sa taille, son poids, etc. Le cochon nain ou cochon vietnamien par exemple peut atteindre 35 à 60 kg à l’âge adulte. En outre, la présence de l’animal n’est pas toujours source de détente et de bien-être. On peut vouloir un animal et se rendre compte que s’en occuper n’est pas toujours une sinécure: détérioration des canapés et rideaux, voire agressivité de l’animal envers son propriétaire ou toute personne venue en visite ou habitant dans le foyer. De plus, la réaction d’un animal au retour à la maison de son maître varie. Un iguane ne vous sautera par exemple jamais au cou pour vous faire la fête comme le ferait un chien. 17. Abandonné dans la nature, un animal… 1) a du mal à vivre jusqu’à l’âge adulte. 2) est dangereux pour d’autres espèces. 3) souffre des conditions climatiques. 4) manque de sa nourriture habituelle.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre la détention d’un nouvel animal de compagnie (NAC)? Qu’est-ce qu’un NAC? On pense immédiatement à des animaux exotiques, comme reptiles, mais cette appellation correspond en fait à tous les animaux autres que les chiens et les chats, détenus par une personne pour son agrément. Cela peut donc aller du hamster nain au python, en passant par le poisson-zèbre, l’araignée ou le furet. Le propriétaire d’un animal est responsable aux yeux de la loi en cas de piqure, morsure ou toute autre atteinte physique ou détérioration. Détenir certains animaux non domestiques nécessite aussi d’obtenir au préalable une autorisation. Le détenteur doit en outre fournir un certificat de cession prouvant qu’il n’a pas acquis l’animal illégalement. L’arrêté du 11 août 2006 fixe la liste des animaux domestiques. On compte parmi eux les chiens et les chats bien sûr, mais aussi le dromadaire, le yack, la souris, le faisan, ou encore la grenouille rieuse ou le ver à soie. Tout animal ne figurant pas sur cette liste est considéré comme non domestique. L’arrêté du 8 octobre 2018 pose, lui, les règles de détention d’un animal non domestique. L’article 1 impose, par exemple, à tout détenteur d’un animal non domestique de «disposer d'un lieu d'hébergement, d'installations et d'équipements conçus pour garantir le bien-être des animaux hébergés» et de «détenir les compétences requises et adaptées à l'espèce et au nombre d'animaux afin que ceux-ci soient maintenus en bon état de santé et d'entretien». Pour certains animaux, même s’il ne faut pas d’autorisation préalable pour en avoir un, certaines obligations sont à respecter, notamment de vaccination ou d’identification. La détention d’un furet par exemple nécessite qu'il soit tatoué ou qu'une puce électronique lui soit implantée pour permettre son identification. Il doit également être vacciné contre la rage si on souhaite quitter le territoire avec lui. Ces normes s'imposent d'ailleurs aussi lorsque l'on a un chat. Afin de protéger les animaux, il a été proposé par l’Assemblée nationale de ne permettre la vente en ligne d’animaux de compagnie que par des refuges, éleveurs ou établissements spécialisés et d’interdire la vente d’animaux de compagnie aux adolescents de moins de 16 ans, sans accord de leurs parents. S’occuper d’un NAC n’est pas toujours si simple. Il arrive que les NAC s’enfuient ou soient abandonnés dans la nature. Leur présence dans un environnement qui n’est pas le leur peut être nuisible pour la faune et la flore locales, s’ils n’ont pas de prédateur notamment. La tortue de Floride, par exemple, a été énormément vendue en France dans les animaleries à la fin du XXe siècle. Nombre de propriétaires de ces tortues les ont ensuite abandonnées dans la nature parce qu’ils ne parvenaient pas à s’occuper de leur tortue devenue adulte. Elle s’est ainsi installée, acclimatée et est devenue une espèce invasive. Elle a progressivement pris la place de la tortue qui vivait là initialement, la cistude. Et il faut bien avoir conscience de ce que devient l’animal en grandissant: sa taille, son poids, etc. Le cochon nain ou cochon vietnamien par exemple peut atteindre 35 à 60 kg à l’âge adulte. En outre, la présence de l’animal n’est pas toujours source de détente et de bien-être. On peut vouloir un animal et se rendre compte que s’en occuper n’est pas toujours une sinécure: détérioration des canapés et rideaux, voire agressivité de l’animal envers son propriétaire ou toute personne venue en visite ou habitant dans le foyer. De plus, la réaction d’un animal au retour à la maison de son maître varie. Un iguane ne vous sautera par exemple jamais au cou pour vous faire la fête comme le ferait un chien. 18. Il faut réfléchir avant l’adoption, car un animal peut… 1) avoir besoin de vivre en groupe. 2) avoir besoin d’une température précise. 3) avoir un comportement imprévisible. 4) chasser sa nourriture pendant la nuit.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les notes à l’école? D'où viennent-elles ces fameuses notes? Les jésuites au XVIe siècle ont imaginé un système de classement des élèves. Leur objectif était alors de sélectionner des élites. Et dans les établissements scolaires français, les notes ont vu le jour suite à un arrêté du 5 juillet 1890 dont l’article 21 indique: «chaque copie aura sa note chiffrée de 0 à 20». Les notes servent à situer l’élève, à savoir ce qui a été compris et ce qui ne l’a pas été. Toutefois, nombre de spécialistes de l’éducation soulignent que la note est subjective. Elle dépend du correcteur et de ce que l’on appelle les «biais sociaux de correction». L’enseignant peut en effet être influencé par le statut de l’élève, son origine sociale. Des études ont aussi montré que l’ordre dans lequel un enseignant corrige ses copies a son importance: celui-ci aura tendance à juger plus sévèrement une copie après avoir corrigé une très bonne copie et inversement. En outre, les notes sélectionnent plus qu’elles n’enseignent. Elles ont d’ailleurs été instaurées au départ pour sélectionner une élite. Or aujourd’hui, cela n’est plus le propos de l’école, celle-ci étant obligatoire pour tous jusqu’à 16 ans. L’objectif est de permettre à tous les élèves de sortir de l’école avec une base de connaissances la plus solide possible pour leur permettre d’être acteurs de la société. Beaucoup estiment enfin que le système de notes est majoritairement défendu dans l’espace public notamment parce que les décideurs (la fameuse «élite») en ont bénéficié, ce sont souvent d’anciens bons élèves attachés aux notes. Et pour être utile à l’élève, une note doit être bien expliquée par l’enseignant. En revanche, une note non expliquée peut décourager les élèves et les mener à un rejet ou une peur de l’école. Toutes les études en psychologie concluent que les mauvaises notes ont pour conséquence de créer chez l’élève un sentiment d’incompétence et nuisent ainsi à l’apprentissage. Plus on est persuadé de ne pas pouvoir y arriver, et moins l’on arrive à apprendre. Si on demande par exemple à un élève de réaliser une figure géométrique en maths alors qu’il a l’étiquette du «nul en maths», il échoue le plus souvent; alors que si l’exercice lui est présenté sous la forme d’une figure à reproduire en dessin, il a plus de chances de réussir l’exercice. En Finlande, les notes existent, mais elles interviennent seulement après 13 ans et l’évaluation ne descend pas en dessous de 4 sur 10. 4 indique que l'élève ne sait pas encore, 6 qu'il sait mais peut encore se perfectionner, et de 7 à 10 que les connaissances sont parfaitement acquises. Le but est de ne pas démoraliser les élèves et de pointer davantage leurs acquis que leurs difficultés. Il peut aussi s’agir d’évaluer plusieurs aspects du travail plutôt que mettre une note globale, cela afin d’encourager les progrès et de souligner les qualités de chacun des élèves. Certaines écoles expérimentent le remplacement de la notation par l’entraide entre les élèves dans la réalisation des exercices et la correction. La validation progressive d’unités de valeur a aussi été proposée, notamment par Philippe Meirieu, chercheur spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie. Selon ce système, un niveau serait acquis dès lors que l’élève aurait produit un nombre suffisant de bons travaux. Cela permettrait ainsi de prendre en compte le rythme d’apprentissage de chacun et d’assurer une base d’acquis dans tous les domaines à tous les élèves, contrairement à ce qui existe aujourd’hui. En effet, dans ce système, une très bonne note en histoire-géographie ne pourrait pas compenser par exemple un mauvais résultat en maths. 12. Parfois lors des corrections, le professeur… 1) met la meilleure note à son élève préféré. 2) retire des points à cause de la fatigue. 3) fait une comparaison de plusieurs copies. 4) met une note de façon automatique.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les notes à l’école? D'où viennent-elles ces fameuses notes? Les jésuites au XVIe siècle ont imaginé un système de classement des élèves. Leur objectif était alors de sélectionner des élites. Et dans les établissements scolaires français, les notes ont vu le jour suite à un arrêté du 5 juillet 1890 dont l’article 21 indique: «chaque copie aura sa note chiffrée de 0 à 20». Les notes servent à situer l’élève, à savoir ce qui a été compris et ce qui ne l’a pas été. Toutefois, nombre de spécialistes de l’éducation soulignent que la note est subjective. Elle dépend du correcteur et de ce que l’on appelle les «biais sociaux de correction». L’enseignant peut en effet être influencé par le statut de l’élève, son origine sociale. Des études ont aussi montré que l’ordre dans lequel un enseignant corrige ses copies a son importance: celui-ci aura tendance à juger plus sévèrement une copie après avoir corrigé une très bonne copie et inversement. En outre, les notes sélectionnent plus qu’elles n’enseignent. Elles ont d’ailleurs été instaurées au départ pour sélectionner une élite. Or aujourd’hui, cela n’est plus le propos de l’école, celle-ci étant obligatoire pour tous jusqu’à 16 ans. L’objectif est de permettre à tous les élèves de sortir de l’école avec une base de connaissances la plus solide possible pour leur permettre d’être acteurs de la société. Beaucoup estiment enfin que le système de notes est majoritairement défendu dans l’espace public notamment parce que les décideurs (la fameuse «élite») en ont bénéficié, ce sont souvent d’anciens bons élèves attachés aux notes. Et pour être utile à l’élève, une note doit être bien expliquée par l’enseignant. En revanche, une note non expliquée peut décourager les élèves et les mener à un rejet ou une peur de l’école. Toutes les études en psychologie concluent que les mauvaises notes ont pour conséquence de créer chez l’élève un sentiment d’incompétence et nuisent ainsi à l’apprentissage. Plus on est persuadé de ne pas pouvoir y arriver, et moins l’on arrive à apprendre. Si on demande par exemple à un élève de réaliser une figure géométrique en maths alors qu’il a l’étiquette du «nul en maths», il échoue le plus souvent; alors que si l’exercice lui est présenté sous la forme d’une figure à reproduire en dessin, il a plus de chances de réussir l’exercice. En Finlande, les notes existent, mais elles interviennent seulement après 13 ans et l’évaluation ne descend pas en dessous de 4 sur 10. 4 indique que l'élève ne sait pas encore, 6 qu'il sait mais peut encore se perfectionner, et de 7 à 10 que les connaissances sont parfaitement acquises. Le but est de ne pas démoraliser les élèves et de pointer davantage leurs acquis que leurs difficultés. Il peut aussi s’agir d’évaluer plusieurs aspects du travail plutôt que mettre une note globale, cela afin d’encourager les progrès et de souligner les qualités de chacun des élèves. Certaines écoles expérimentent le remplacement de la notation par l’entraide entre les élèves dans la réalisation des exercices et la correction. La validation progressive d’unités de valeur a aussi été proposée, notamment par Philippe Meirieu, chercheur spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie. Selon ce système, un niveau serait acquis dès lors que l’élève aurait produit un nombre suffisant de bons travaux. Cela permettrait ainsi de prendre en compte le rythme d’apprentissage de chacun et d’assurer une base d’acquis dans tous les domaines à tous les élèves, contrairement à ce qui existe aujourd’hui. En effet, dans ce système, une très bonne note en histoire-géographie ne pourrait pas compenser par exemple un mauvais résultat en maths. 13. Quel est l’objectif de l’école aujourd’hui? 1) Améliorer le bien-être et la santé des élèves. 2) Préparer les élèves à leur vie d’adultes. 3) Enseigner aux élèves des valeurs morales. 4) Aider les élèves à choisir leur profession.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les notes à l’école? D'où viennent-elles ces fameuses notes? Les jésuites au XVIe siècle ont imaginé un système de classement des élèves. Leur objectif était alors de sélectionner des élites. Et dans les établissements scolaires français, les notes ont vu le jour suite à un arrêté du 5 juillet 1890 dont l’article 21 indique: «chaque copie aura sa note chiffrée de 0 à 20». Les notes servent à situer l’élève, à savoir ce qui a été compris et ce qui ne l’a pas été. Toutefois, nombre de spécialistes de l’éducation soulignent que la note est subjective. Elle dépend du correcteur et de ce que l’on appelle les «biais sociaux de correction». L’enseignant peut en effet être influencé par le statut de l’élève, son origine sociale. Des études ont aussi montré que l’ordre dans lequel un enseignant corrige ses copies a son importance: celui-ci aura tendance à juger plus sévèrement une copie après avoir corrigé une très bonne copie et inversement. En outre, les notes sélectionnent plus qu’elles n’enseignent. Elles ont d’ailleurs été instaurées au départ pour sélectionner une élite. Or aujourd’hui, cela n’est plus le propos de l’école, celle-ci étant obligatoire pour tous jusqu’à 16 ans. L’objectif est de permettre à tous les élèves de sortir de l’école avec une base de connaissances la plus solide possible pour leur permettre d’être acteurs de la société. Beaucoup estiment enfin que le système de notes est majoritairement défendu dans l’espace public notamment parce que les décideurs (la fameuse «élite») en ont bénéficié, ce sont souvent d’anciens bons élèves attachés aux notes. Et pour être utile à l’élève, une note doit être bien expliquée par l’enseignant. En revanche, une note non expliquée peut décourager les élèves et les mener à un rejet ou une peur de l’école. Toutes les études en psychologie concluent que les mauvaises notes ont pour conséquence de créer chez l’élève un sentiment d’incompétence et nuisent ainsi à l’apprentissage. Plus on est persuadé de ne pas pouvoir y arriver, et moins l’on arrive à apprendre. Si on demande par exemple à un élève de réaliser une figure géométrique en maths alors qu’il a l’étiquette du «nul en maths», il échoue le plus souvent; alors que si l’exercice lui est présenté sous la forme d’une figure à reproduire en dessin, il a plus de chances de réussir l’exercice. En Finlande, les notes existent, mais elles interviennent seulement après 13 ans et l’évaluation ne descend pas en dessous de 4 sur 10. 4 indique que l'élève ne sait pas encore, 6 qu'il sait mais peut encore se perfectionner, et de 7 à 10 que les connaissances sont parfaitement acquises. Le but est de ne pas démoraliser les élèves et de pointer davantage leurs acquis que leurs difficultés. Il peut aussi s’agir d’évaluer plusieurs aspects du travail plutôt que mettre une note globale, cela afin d’encourager les progrès et de souligner les qualités de chacun des élèves. Certaines écoles expérimentent le remplacement de la notation par l’entraide entre les élèves dans la réalisation des exercices et la correction. La validation progressive d’unités de valeur a aussi été proposée, notamment par Philippe Meirieu, chercheur spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie. Selon ce système, un niveau serait acquis dès lors que l’élève aurait produit un nombre suffisant de bons travaux. Cela permettrait ainsi de prendre en compte le rythme d’apprentissage de chacun et d’assurer une base d’acquis dans tous les domaines à tous les élèves, contrairement à ce qui existe aujourd’hui. En effet, dans ce système, une très bonne note en histoire-géographie ne pourrait pas compenser par exemple un mauvais résultat en maths. 14. Dans la société, par qui les notes sont-elles défendues? 1) Les élèves. 2) Les parents. 3) Les professeurs. 4) Les grands-parents.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les notes à l’école? D'où viennent-elles ces fameuses notes? Les jésuites au XVIe siècle ont imaginé un système de classement des élèves. Leur objectif était alors de sélectionner des élites. Et dans les établissements scolaires français, les notes ont vu le jour suite à un arrêté du 5 juillet 1890 dont l’article 21 indique: «chaque copie aura sa note chiffrée de 0 à 20». Les notes servent à situer l’élève, à savoir ce qui a été compris et ce qui ne l’a pas été. Toutefois, nombre de spécialistes de l’éducation soulignent que la note est subjective. Elle dépend du correcteur et de ce que l’on appelle les «biais sociaux de correction». L’enseignant peut en effet être influencé par le statut de l’élève, son origine sociale. Des études ont aussi montré que l’ordre dans lequel un enseignant corrige ses copies a son importance: celui-ci aura tendance à juger plus sévèrement une copie après avoir corrigé une très bonne copie et inversement. En outre, les notes sélectionnent plus qu’elles n’enseignent. Elles ont d’ailleurs été instaurées au départ pour sélectionner une élite. Or aujourd’hui, cela n’est plus le propos de l’école, celle-ci étant obligatoire pour tous jusqu’à 16 ans. L’objectif est de permettre à tous les élèves de sortir de l’école avec une base de connaissances la plus solide possible pour leur permettre d’être acteurs de la société. Beaucoup estiment enfin que le système de notes est majoritairement défendu dans l’espace public notamment parce que les décideurs (la fameuse «élite») en ont bénéficié, ce sont souvent d’anciens bons élèves attachés aux notes. Et pour être utile à l’élève, une note doit être bien expliquée par l’enseignant. En revanche, une note non expliquée peut décourager les élèves et les mener à un rejet ou une peur de l’école. Toutes les études en psychologie concluent que les mauvaises notes ont pour conséquence de créer chez l’élève un sentiment d’incompétence et nuisent ainsi à l’apprentissage. Plus on est persuadé de ne pas pouvoir y arriver, et moins l’on arrive à apprendre. Si on demande par exemple à un élève de réaliser une figure géométrique en maths alors qu’il a l’étiquette du «nul en maths», il échoue le plus souvent; alors que si l’exercice lui est présenté sous la forme d’une figure à reproduire en dessin, il a plus de chances de réussir l’exercice. En Finlande, les notes existent, mais elles interviennent seulement après 13 ans et l’évaluation ne descend pas en dessous de 4 sur 10. 4 indique que l'élève ne sait pas encore, 6 qu'il sait mais peut encore se perfectionner, et de 7 à 10 que les connaissances sont parfaitement acquises. Le but est de ne pas démoraliser les élèves et de pointer davantage leurs acquis que leurs difficultés. Il peut aussi s’agir d’évaluer plusieurs aspects du travail plutôt que mettre une note globale, cela afin d’encourager les progrès et de souligner les qualités de chacun des élèves. Certaines écoles expérimentent le remplacement de la notation par l’entraide entre les élèves dans la réalisation des exercices et la correction. La validation progressive d’unités de valeur a aussi été proposée, notamment par Philippe Meirieu, chercheur spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie. Selon ce système, un niveau serait acquis dès lors que l’élève aurait produit un nombre suffisant de bons travaux. Cela permettrait ainsi de prendre en compte le rythme d’apprentissage de chacun et d’assurer une base d’acquis dans tous les domaines à tous les élèves, contrairement à ce qui existe aujourd’hui. En effet, dans ce système, une très bonne note en histoire-géographie ne pourrait pas compenser par exemple un mauvais résultat en maths. 15. La probabilité de l’échec est importante si l’élève… 1) subit la pression de réussite de ses parents. 2) est en compétition avec les autres élèves. 3) est classé comme «faible» à l’école. 4) reçoit ses copies sans note du professeur.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les notes à l’école? D'où viennent-elles ces fameuses notes? Les jésuites au XVIe siècle ont imaginé un système de classement des élèves. Leur objectif était alors de sélectionner des élites. Et dans les établissements scolaires français, les notes ont vu le jour suite à un arrêté du 5 juillet 1890 dont l’article 21 indique: «chaque copie aura sa note chiffrée de 0 à 20». Les notes servent à situer l’élève, à savoir ce qui a été compris et ce qui ne l’a pas été. Toutefois, nombre de spécialistes de l’éducation soulignent que la note est subjective. Elle dépend du correcteur et de ce que l’on appelle les «biais sociaux de correction». L’enseignant peut en effet être influencé par le statut de l’élève, son origine sociale. Des études ont aussi montré que l’ordre dans lequel un enseignant corrige ses copies a son importance: celui-ci aura tendance à juger plus sévèrement une copie après avoir corrigé une très bonne copie et inversement. En outre, les notes sélectionnent plus qu’elles n’enseignent. Elles ont d’ailleurs été instaurées au départ pour sélectionner une élite. Or aujourd’hui, cela n’est plus le propos de l’école, celle-ci étant obligatoire pour tous jusqu’à 16 ans. L’objectif est de permettre à tous les élèves de sortir de l’école avec une base de connaissances la plus solide possible pour leur permettre d’être acteurs de la société. Beaucoup estiment enfin que le système de notes est majoritairement défendu dans l’espace public notamment parce que les décideurs (la fameuse «élite») en ont bénéficié, ce sont souvent d’anciens bons élèves attachés aux notes. Et pour être utile à l’élève, une note doit être bien expliquée par l’enseignant. En revanche, une note non expliquée peut décourager les élèves et les mener à un rejet ou une peur de l’école. Toutes les études en psychologie concluent que les mauvaises notes ont pour conséquence de créer chez l’élève un sentiment d’incompétence et nuisent ainsi à l’apprentissage. Plus on est persuadé de ne pas pouvoir y arriver, et moins l’on arrive à apprendre. Si on demande par exemple à un élève de réaliser une figure géométrique en maths alors qu’il a l’étiquette du «nul en maths», il échoue le plus souvent; alors que si l’exercice lui est présenté sous la forme d’une figure à reproduire en dessin, il a plus de chances de réussir l’exercice. En Finlande, les notes existent, mais elles interviennent seulement après 13 ans et l’évaluation ne descend pas en dessous de 4 sur 10. 4 indique que l'élève ne sait pas encore, 6 qu'il sait mais peut encore se perfectionner, et de 7 à 10 que les connaissances sont parfaitement acquises. Le but est de ne pas démoraliser les élèves et de pointer davantage leurs acquis que leurs difficultés. Il peut aussi s’agir d’évaluer plusieurs aspects du travail plutôt que mettre une note globale, cela afin d’encourager les progrès et de souligner les qualités de chacun des élèves. Certaines écoles expérimentent le remplacement de la notation par l’entraide entre les élèves dans la réalisation des exercices et la correction. La validation progressive d’unités de valeur a aussi été proposée, notamment par Philippe Meirieu, chercheur spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie. Selon ce système, un niveau serait acquis dès lors que l’élève aurait produit un nombre suffisant de bons travaux. Cela permettrait ainsi de prendre en compte le rythme d’apprentissage de chacun et d’assurer une base d’acquis dans tous les domaines à tous les élèves, contrairement à ce qui existe aujourd’hui. En effet, dans ce système, une très bonne note en histoire-géographie ne pourrait pas compenser par exemple un mauvais résultat en maths. 16. Quel est l’avantage du système finlandais? 1) Les professeurs donnent peu de devoirs. 2) Les enfants commencent l’école vers 7 ans. 3) Les contrôles sont peu nombreux à l’école. 4) Une approche personnalisée est employée.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les notes à l’école? D'où viennent-elles ces fameuses notes? Les jésuites au XVIe siècle ont imaginé un système de classement des élèves. Leur objectif était alors de sélectionner des élites. Et dans les établissements scolaires français, les notes ont vu le jour suite à un arrêté du 5 juillet 1890 dont l’article 21 indique: «chaque copie aura sa note chiffrée de 0 à 20». Les notes servent à situer l’élève, à savoir ce qui a été compris et ce qui ne l’a pas été. Toutefois, nombre de spécialistes de l’éducation soulignent que la note est subjective. Elle dépend du correcteur et de ce que l’on appelle les «biais sociaux de correction». L’enseignant peut en effet être influencé par le statut de l’élève, son origine sociale. Des études ont aussi montré que l’ordre dans lequel un enseignant corrige ses copies a son importance: celui-ci aura tendance à juger plus sévèrement une copie après avoir corrigé une très bonne copie et inversement. En outre, les notes sélectionnent plus qu’elles n’enseignent. Elles ont d’ailleurs été instaurées au départ pour sélectionner une élite. Or aujourd’hui, cela n’est plus le propos de l’école, celle-ci étant obligatoire pour tous jusqu’à 16 ans. L’objectif est de permettre à tous les élèves de sortir de l’école avec une base de connaissances la plus solide possible pour leur permettre d’être acteurs de la société. Beaucoup estiment enfin que le système de notes est majoritairement défendu dans l’espace public notamment parce que les décideurs (la fameuse «élite») en ont bénéficié, ce sont souvent d’anciens bons élèves attachés aux notes. Et pour être utile à l’élève, une note doit être bien expliquée par l’enseignant. En revanche, une note non expliquée peut décourager les élèves et les mener à un rejet ou une peur de l’école. Toutes les études en psychologie concluent que les mauvaises notes ont pour conséquence de créer chez l’élève un sentiment d’incompétence et nuisent ainsi à l’apprentissage. Plus on est persuadé de ne pas pouvoir y arriver, et moins l’on arrive à apprendre. Si on demande par exemple à un élève de réaliser une figure géométrique en maths alors qu’il a l’étiquette du «nul en maths», il échoue le plus souvent; alors que si l’exercice lui est présenté sous la forme d’une figure à reproduire en dessin, il a plus de chances de réussir l’exercice. En Finlande, les notes existent, mais elles interviennent seulement après 13 ans et l’évaluation ne descend pas en dessous de 4 sur 10. 4 indique que l'élève ne sait pas encore, 6 qu'il sait mais peut encore se perfectionner, et de 7 à 10 que les connaissances sont parfaitement acquises. Le but est de ne pas démoraliser les élèves et de pointer davantage leurs acquis que leurs difficultés. Il peut aussi s’agir d’évaluer plusieurs aspects du travail plutôt que mettre une note globale, cela afin d’encourager les progrès et de souligner les qualités de chacun des élèves. Certaines écoles expérimentent le remplacement de la notation par l’entraide entre les élèves dans la réalisation des exercices et la correction. La validation progressive d’unités de valeur a aussi été proposée, notamment par Philippe Meirieu, chercheur spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie. Selon ce système, un niveau serait acquis dès lors que l’élève aurait produit un nombre suffisant de bons travaux. Cela permettrait ainsi de prendre en compte le rythme d’apprentissage de chacun et d’assurer une base d’acquis dans tous les domaines à tous les élèves, contrairement à ce qui existe aujourd’hui. En effet, dans ce système, une très bonne note en histoire-géographie ne pourrait pas compenser par exemple un mauvais résultat en maths. 17. Dans certaines écoles, les élèves… 1) assistent les professeurs à l’examen. 2) complètent un livret de compétences. 3) corrigent les copies de leurs camarades. 4) utilisent les lettres au lieu des notes.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les notes à l’école? D'où viennent-elles ces fameuses notes? Les jésuites au XVIe siècle ont imaginé un système de classement des élèves. Leur objectif était alors de sélectionner des élites. Et dans les établissements scolaires français, les notes ont vu le jour suite à un arrêté du 5 juillet 1890 dont l’article 21 indique: «chaque copie aura sa note chiffrée de 0 à 20». Les notes servent à situer l’élève, à savoir ce qui a été compris et ce qui ne l’a pas été. Toutefois, nombre de spécialistes de l’éducation soulignent que la note est subjective. Elle dépend du correcteur et de ce que l’on appelle les «biais sociaux de correction». L’enseignant peut en effet être influencé par le statut de l’élève, son origine sociale. Des études ont aussi montré que l’ordre dans lequel un enseignant corrige ses copies a son importance: celui-ci aura tendance à juger plus sévèrement une copie après avoir corrigé une très bonne copie et inversement. En outre, les notes sélectionnent plus qu’elles n’enseignent. Elles ont d’ailleurs été instaurées au départ pour sélectionner une élite. Or aujourd’hui, cela n’est plus le propos de l’école, celle-ci étant obligatoire pour tous jusqu’à 16 ans. L’objectif est de permettre à tous les élèves de sortir de l’école avec une base de connaissances la plus solide possible pour leur permettre d’être acteurs de la société. Beaucoup estiment enfin que le système de notes est majoritairement défendu dans l’espace public notamment parce que les décideurs (la fameuse «élite») en ont bénéficié, ce sont souvent d’anciens bons élèves attachés aux notes. Et pour être utile à l’élève, une note doit être bien expliquée par l’enseignant. En revanche, une note non expliquée peut décourager les élèves et les mener à un rejet ou une peur de l’école. Toutes les études en psychologie concluent que les mauvaises notes ont pour conséquence de créer chez l’élève un sentiment d’incompétence et nuisent ainsi à l’apprentissage. Plus on est persuadé de ne pas pouvoir y arriver, et moins l’on arrive à apprendre. Si on demande par exemple à un élève de réaliser une figure géométrique en maths alors qu’il a l’étiquette du «nul en maths», il échoue le plus souvent; alors que si l’exercice lui est présenté sous la forme d’une figure à reproduire en dessin, il a plus de chances de réussir l’exercice. En Finlande, les notes existent, mais elles interviennent seulement après 13 ans et l’évaluation ne descend pas en dessous de 4 sur 10. 4 indique que l'élève ne sait pas encore, 6 qu'il sait mais peut encore se perfectionner, et de 7 à 10 que les connaissances sont parfaitement acquises. Le but est de ne pas démoraliser les élèves et de pointer davantage leurs acquis que leurs difficultés. Il peut aussi s’agir d’évaluer plusieurs aspects du travail plutôt que mettre une note globale, cela afin d’encourager les progrès et de souligner les qualités de chacun des élèves. Certaines écoles expérimentent le remplacement de la notation par l’entraide entre les élèves dans la réalisation des exercices et la correction. La validation progressive d’unités de valeur a aussi été proposée, notamment par Philippe Meirieu, chercheur spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie. Selon ce système, un niveau serait acquis dès lors que l’élève aurait produit un nombre suffisant de bons travaux. Cela permettrait ainsi de prendre en compte le rythme d’apprentissage de chacun et d’assurer une base d’acquis dans tous les domaines à tous les élèves, contrairement à ce qui existe aujourd’hui. En effet, dans ce système, une très bonne note en histoire-géographie ne pourrait pas compenser par exemple un mauvais résultat en maths. 18. La validation progressive permet de/d’… 1) réussir dans toutes les matières. 2) compenser une note par une autre. 3) évaluer le travail sur plusieurs années. 4) travailler avec le même rythme pour tous.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les journaux gratuits? À ses débuts, la presse gratuite, distribuée à l’entrée des métros, bouleverse le paysage médiatique des grandes villes françaises. L’information, qui semblait ne plus intéresser, se met alors à la portée de tout un chacun. Des étudiants ou encore des jeunes salariés, qui boudaient les grands journaux comme Le Monde ou Le Figaro, deviennent lecteurs de la presse. La formule du succès est compréhensible. Cette presse se consomme vite, est disponible là où les gens se trouvent et permet d’embrasser beaucoup de sujets, de l’international jusqu’à l’horoscope et la météo. L’adhésion à ces journaux s’effectue rapidement, et met en lumière les écarts d’accès à l’information. Cette presse paraît plus accessible, plus centrée sur la vie de tous les jours. Il ne faut pas des heures pour la lire, et on peut même le faire assis dans les transports en commun. C'est «le lectorat populaire abandonné par la presse française qui s'est emparé de cette presse gratuite», analyse Patrick Eveno, historien des médias. «À partir des années 1970, face à la concurrence de la télévision, journalistes et patrons de presse n'ont plus voulu parler de sport, de scandales et de people, des sujets qui pouvaient retenir un lectorat populaire. Donc toute une frange de la population n'a plus eu accès à la presse». Le rituel du journal du matin, qui paraissait éculé, repart de plus belle avec la presse classique. Aujourd’hui, les sujets abordés permettent de faire le tour de l’info rapidement. Le journal 20 Minutes surfe totalement sur ce concept, son titre proclame même le temps de lecture nécessaire pour faire le tour du journal, tout en mettant en scène le temps de trajet moyen pour aller travailler. Les titres sont aussi mis à disposition dans des endroits stratégiques: des salles de gym, des cinémas, des parkings… L’important est d’amener l’information aux potentiels lecteurs plutôt que de compter sur eux pour se rendre chez un vendeur. Mais pour pouvoir être gratuit, ces journaux disposent d’un modèle unique: la publicité. Un mode de financement qui explique aussi les critiques de ce type de média. Ces quotidiens sont rémunérés grâce à l’espace publicitaire vendu. La publicité dans les médias doit respecter un certain seuil. S’il y en a trop, le journal dépend alors d’annonceurs qui pourraient être en désaccord avec les informations délivrées. D’autres critiques pointent l’indépendance relative de ces titres gratuits, tributaires des annonceurs et de leur patron. Le journal CNews a ainsi été mis en cause quant au nombre de publications qui concernaient le service Autolib, des voitures électriques mises à disposition à Paris comme les vélos. Un moyen de transport vanté par le titre de presse et… détenu par le même propriétaire. Dans le milieu traditionnel des médias, habitués à de longs articles, la presse gratuite fait grincer des dents. Les journalistes n’hésitant pas à les appeler les «McDonald's» de l’information. Les articles, repris de dépêches de l’Agence France-Presse, restent souvent courts. Pas de place pour l’investigation ou les articles longs dans les papiers. Les journalistes, peu nombreux, ont notamment des contraintes de rapidité qui nuisent parfois à la qualité de leur travail. Par ailleurs, la presse gratuite se heurte aujourd’hui à une autre concurrence, celle des médias en ligne. Avec la 4G accessible dans les transports en commun, les lecteurs peuvent désormais suivre les actualités sur leur smartphone. Des résultats d’un match de football à ceux d’élections, les notifications permettent même d’être alerté en temps réel sur des sujets précis. 12. Les consommateurs de la presse gratuite sont les… 1) femmes au foyer. 2) jeunes employés. 3) professionnels des médias. 4) personnes âgées.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les journaux gratuits? À ses débuts, la presse gratuite, distribuée à l’entrée des métros, bouleverse le paysage médiatique des grandes villes françaises. L’information, qui semblait ne plus intéresser, se met alors à la portée de tout un chacun. Des étudiants ou encore des jeunes salariés, qui boudaient les grands journaux comme Le Monde ou Le Figaro, deviennent lecteurs de la presse. La formule du succès est compréhensible. Cette presse se consomme vite, est disponible là où les gens se trouvent et permet d’embrasser beaucoup de sujets, de l’international jusqu’à l’horoscope et la météo. L’adhésion à ces journaux s’effectue rapidement, et met en lumière les écarts d’accès à l’information. Cette presse paraît plus accessible, plus centrée sur la vie de tous les jours. Il ne faut pas des heures pour la lire, et on peut même le faire assis dans les transports en commun. C'est «le lectorat populaire abandonné par la presse française qui s'est emparé de cette presse gratuite», analyse Patrick Eveno, historien des médias. «À partir des années 1970, face à la concurrence de la télévision, journalistes et patrons de presse n'ont plus voulu parler de sport, de scandales et de people, des sujets qui pouvaient retenir un lectorat populaire. Donc toute une frange de la population n'a plus eu accès à la presse». Le rituel du journal du matin, qui paraissait éculé, repart de plus belle avec la presse classique. Aujourd’hui, les sujets abordés permettent de faire le tour de l’info rapidement. Le journal 20 Minutes surfe totalement sur ce concept, son titre proclame même le temps de lecture nécessaire pour faire le tour du journal, tout en mettant en scène le temps de trajet moyen pour aller travailler. Les titres sont aussi mis à disposition dans des endroits stratégiques: des salles de gym, des cinémas, des parkings… L’important est d’amener l’information aux potentiels lecteurs plutôt que de compter sur eux pour se rendre chez un vendeur. Mais pour pouvoir être gratuit, ces journaux disposent d’un modèle unique: la publicité. Un mode de financement qui explique aussi les critiques de ce type de média. Ces quotidiens sont rémunérés grâce à l’espace publicitaire vendu. La publicité dans les médias doit respecter un certain seuil. S’il y en a trop, le journal dépend alors d’annonceurs qui pourraient être en désaccord avec les informations délivrées. D’autres critiques pointent l’indépendance relative de ces titres gratuits, tributaires des annonceurs et de leur patron. Le journal CNews a ainsi été mis en cause quant au nombre de publications qui concernaient le service Autolib, des voitures électriques mises à disposition à Paris comme les vélos. Un moyen de transport vanté par le titre de presse et… détenu par le même propriétaire. Dans le milieu traditionnel des médias, habitués à de longs articles, la presse gratuite fait grincer des dents. Les journalistes n’hésitant pas à les appeler les «McDonald's» de l’information. Les articles, repris de dépêches de l’Agence France-Presse, restent souvent courts. Pas de place pour l’investigation ou les articles longs dans les papiers. Les journalistes, peu nombreux, ont notamment des contraintes de rapidité qui nuisent parfois à la qualité de leur travail. Par ailleurs, la presse gratuite se heurte aujourd’hui à une autre concurrence, celle des médias en ligne. Avec la 4G accessible dans les transports en commun, les lecteurs peuvent désormais suivre les actualités sur leur smartphone. Des résultats d’un match de football à ceux d’élections, les notifications permettent même d’être alerté en temps réel sur des sujets précis. 13. Aujourd’hui, la presse gratuite… 1) couvre des thématiques variées. 2) offre des informations détaillées. 3) est livrée au domicile des lecteurs. 4) est accessible dans des villages.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les journaux gratuits? À ses débuts, la presse gratuite, distribuée à l’entrée des métros, bouleverse le paysage médiatique des grandes villes françaises. L’information, qui semblait ne plus intéresser, se met alors à la portée de tout un chacun. Des étudiants ou encore des jeunes salariés, qui boudaient les grands journaux comme Le Monde ou Le Figaro, deviennent lecteurs de la presse. La formule du succès est compréhensible. Cette presse se consomme vite, est disponible là où les gens se trouvent et permet d’embrasser beaucoup de sujets, de l’international jusqu’à l’horoscope et la météo. L’adhésion à ces journaux s’effectue rapidement, et met en lumière les écarts d’accès à l’information. Cette presse paraît plus accessible, plus centrée sur la vie de tous les jours. Il ne faut pas des heures pour la lire, et on peut même le faire assis dans les transports en commun. C'est «le lectorat populaire abandonné par la presse française qui s'est emparé de cette presse gratuite», analyse Patrick Eveno, historien des médias. «À partir des années 1970, face à la concurrence de la télévision, journalistes et patrons de presse n'ont plus voulu parler de sport, de scandales et de people, des sujets qui pouvaient retenir un lectorat populaire. Donc toute une frange de la population n'a plus eu accès à la presse». Le rituel du journal du matin, qui paraissait éculé, repart de plus belle avec la presse classique. Aujourd’hui, les sujets abordés permettent de faire le tour de l’info rapidement. Le journal 20 Minutes surfe totalement sur ce concept, son titre proclame même le temps de lecture nécessaire pour faire le tour du journal, tout en mettant en scène le temps de trajet moyen pour aller travailler. Les titres sont aussi mis à disposition dans des endroits stratégiques: des salles de gym, des cinémas, des parkings… L’important est d’amener l’information aux potentiels lecteurs plutôt que de compter sur eux pour se rendre chez un vendeur. Mais pour pouvoir être gratuit, ces journaux disposent d’un modèle unique: la publicité. Un mode de financement qui explique aussi les critiques de ce type de média. Ces quotidiens sont rémunérés grâce à l’espace publicitaire vendu. La publicité dans les médias doit respecter un certain seuil. S’il y en a trop, le journal dépend alors d’annonceurs qui pourraient être en désaccord avec les informations délivrées. D’autres critiques pointent l’indépendance relative de ces titres gratuits, tributaires des annonceurs et de leur patron. Le journal CNews a ainsi été mis en cause quant au nombre de publications qui concernaient le service Autolib, des voitures électriques mises à disposition à Paris comme les vélos. Un moyen de transport vanté par le titre de presse et… détenu par le même propriétaire. Dans le milieu traditionnel des médias, habitués à de longs articles, la presse gratuite fait grincer des dents. Les journalistes n’hésitant pas à les appeler les «McDonald's» de l’information. Les articles, repris de dépêches de l’Agence France-Presse, restent souvent courts. Pas de place pour l’investigation ou les articles longs dans les papiers. Les journalistes, peu nombreux, ont notamment des contraintes de rapidité qui nuisent parfois à la qualité de leur travail. Par ailleurs, la presse gratuite se heurte aujourd’hui à une autre concurrence, celle des médias en ligne. Avec la 4G accessible dans les transports en commun, les lecteurs peuvent désormais suivre les actualités sur leur smartphone. Des résultats d’un match de football à ceux d’élections, les notifications permettent même d’être alerté en temps réel sur des sujets précis. 14. Dans la deuxième moitié du 20e siècle, les lecteurs… 1) étaient fatigués des annonces publicitaires. 2) manquaient de temps pour acheter un journal. 3) étaient peu intéressés par les journaux. 4) manquaient d’argent pour lire la presse.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les journaux gratuits? À ses débuts, la presse gratuite, distribuée à l’entrée des métros, bouleverse le paysage médiatique des grandes villes françaises. L’information, qui semblait ne plus intéresser, se met alors à la portée de tout un chacun. Des étudiants ou encore des jeunes salariés, qui boudaient les grands journaux comme Le Monde ou Le Figaro, deviennent lecteurs de la presse. La formule du succès est compréhensible. Cette presse se consomme vite, est disponible là où les gens se trouvent et permet d’embrasser beaucoup de sujets, de l’international jusqu’à l’horoscope et la météo. L’adhésion à ces journaux s’effectue rapidement, et met en lumière les écarts d’accès à l’information. Cette presse paraît plus accessible, plus centrée sur la vie de tous les jours. Il ne faut pas des heures pour la lire, et on peut même le faire assis dans les transports en commun. C'est «le lectorat populaire abandonné par la presse française qui s'est emparé de cette presse gratuite», analyse Patrick Eveno, historien des médias. «À partir des années 1970, face à la concurrence de la télévision, journalistes et patrons de presse n'ont plus voulu parler de sport, de scandales et de people, des sujets qui pouvaient retenir un lectorat populaire. Donc toute une frange de la population n'a plus eu accès à la presse». Le rituel du journal du matin, qui paraissait éculé, repart de plus belle avec la presse classique. Aujourd’hui, les sujets abordés permettent de faire le tour de l’info rapidement. Le journal 20 Minutes surfe totalement sur ce concept, son titre proclame même le temps de lecture nécessaire pour faire le tour du journal, tout en mettant en scène le temps de trajet moyen pour aller travailler. Les titres sont aussi mis à disposition dans des endroits stratégiques: des salles de gym, des cinémas, des parkings… L’important est d’amener l’information aux potentiels lecteurs plutôt que de compter sur eux pour se rendre chez un vendeur. Mais pour pouvoir être gratuit, ces journaux disposent d’un modèle unique: la publicité. Un mode de financement qui explique aussi les critiques de ce type de média. Ces quotidiens sont rémunérés grâce à l’espace publicitaire vendu. La publicité dans les médias doit respecter un certain seuil. S’il y en a trop, le journal dépend alors d’annonceurs qui pourraient être en désaccord avec les informations délivrées. D’autres critiques pointent l’indépendance relative de ces titres gratuits, tributaires des annonceurs et de leur patron. Le journal CNews a ainsi été mis en cause quant au nombre de publications qui concernaient le service Autolib, des voitures électriques mises à disposition à Paris comme les vélos. Un moyen de transport vanté par le titre de presse et… détenu par le même propriétaire. Dans le milieu traditionnel des médias, habitués à de longs articles, la presse gratuite fait grincer des dents. Les journalistes n’hésitant pas à les appeler les «McDonald's» de l’information. Les articles, repris de dépêches de l’Agence France-Presse, restent souvent courts. Pas de place pour l’investigation ou les articles longs dans les papiers. Les journalistes, peu nombreux, ont notamment des contraintes de rapidité qui nuisent parfois à la qualité de leur travail. Par ailleurs, la presse gratuite se heurte aujourd’hui à une autre concurrence, celle des médias en ligne. Avec la 4G accessible dans les transports en commun, les lecteurs peuvent désormais suivre les actualités sur leur smartphone. Des résultats d’un match de football à ceux d’élections, les notifications permettent même d’être alerté en temps réel sur des sujets précis. 15. Le journal 20 Minutes attire le public en… 1) mettant une photo d’une célébrité à la une. 2) publiant des annonces des derniers films. 3) publiant des titres d’articles scandaleux. 4) s’adaptant au mode de vie de ses lecteurs.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les journaux gratuits? À ses débuts, la presse gratuite, distribuée à l’entrée des métros, bouleverse le paysage médiatique des grandes villes françaises. L’information, qui semblait ne plus intéresser, se met alors à la portée de tout un chacun. Des étudiants ou encore des jeunes salariés, qui boudaient les grands journaux comme Le Monde ou Le Figaro, deviennent lecteurs de la presse. La formule du succès est compréhensible. Cette presse se consomme vite, est disponible là où les gens se trouvent et permet d’embrasser beaucoup de sujets, de l’international jusqu’à l’horoscope et la météo. L’adhésion à ces journaux s’effectue rapidement, et met en lumière les écarts d’accès à l’information. Cette presse paraît plus accessible, plus centrée sur la vie de tous les jours. Il ne faut pas des heures pour la lire, et on peut même le faire assis dans les transports en commun. C'est «le lectorat populaire abandonné par la presse française qui s'est emparé de cette presse gratuite», analyse Patrick Eveno, historien des médias. «À partir des années 1970, face à la concurrence de la télévision, journalistes et patrons de presse n'ont plus voulu parler de sport, de scandales et de people, des sujets qui pouvaient retenir un lectorat populaire. Donc toute une frange de la population n'a plus eu accès à la presse». Le rituel du journal du matin, qui paraissait éculé, repart de plus belle avec la presse classique. Aujourd’hui, les sujets abordés permettent de faire le tour de l’info rapidement. Le journal 20 Minutes surfe totalement sur ce concept, son titre proclame même le temps de lecture nécessaire pour faire le tour du journal, tout en mettant en scène le temps de trajet moyen pour aller travailler. Les titres sont aussi mis à disposition dans des endroits stratégiques: des salles de gym, des cinémas, des parkings… L’important est d’amener l’information aux potentiels lecteurs plutôt que de compter sur eux pour se rendre chez un vendeur. Mais pour pouvoir être gratuit, ces journaux disposent d’un modèle unique: la publicité. Un mode de financement qui explique aussi les critiques de ce type de média. Ces quotidiens sont rémunérés grâce à l’espace publicitaire vendu. La publicité dans les médias doit respecter un certain seuil. S’il y en a trop, le journal dépend alors d’annonceurs qui pourraient être en désaccord avec les informations délivrées. D’autres critiques pointent l’indépendance relative de ces titres gratuits, tributaires des annonceurs et de leur patron. Le journal CNews a ainsi été mis en cause quant au nombre de publications qui concernaient le service Autolib, des voitures électriques mises à disposition à Paris comme les vélos. Un moyen de transport vanté par le titre de presse et… détenu par le même propriétaire. Dans le milieu traditionnel des médias, habitués à de longs articles, la presse gratuite fait grincer des dents. Les journalistes n’hésitant pas à les appeler les «McDonald's» de l’information. Les articles, repris de dépêches de l’Agence France-Presse, restent souvent courts. Pas de place pour l’investigation ou les articles longs dans les papiers. Les journalistes, peu nombreux, ont notamment des contraintes de rapidité qui nuisent parfois à la qualité de leur travail. Par ailleurs, la presse gratuite se heurte aujourd’hui à une autre concurrence, celle des médias en ligne. Avec la 4G accessible dans les transports en commun, les lecteurs peuvent désormais suivre les actualités sur leur smartphone. Des résultats d’un match de football à ceux d’élections, les notifications permettent même d’être alerté en temps réel sur des sujets précis. 16. La presse gratuite est critiquée car les/la… 1) journaux sont une source de pollution. 2) articles sont influencés par des sponsors. 3) qualité du support papier est mauvaise. 4) lecteurs sont influencés par la publicité.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les journaux gratuits? À ses débuts, la presse gratuite, distribuée à l’entrée des métros, bouleverse le paysage médiatique des grandes villes françaises. L’information, qui semblait ne plus intéresser, se met alors à la portée de tout un chacun. Des étudiants ou encore des jeunes salariés, qui boudaient les grands journaux comme Le Monde ou Le Figaro, deviennent lecteurs de la presse. La formule du succès est compréhensible. Cette presse se consomme vite, est disponible là où les gens se trouvent et permet d’embrasser beaucoup de sujets, de l’international jusqu’à l’horoscope et la météo. L’adhésion à ces journaux s’effectue rapidement, et met en lumière les écarts d’accès à l’information. Cette presse paraît plus accessible, plus centrée sur la vie de tous les jours. Il ne faut pas des heures pour la lire, et on peut même le faire assis dans les transports en commun. C'est «le lectorat populaire abandonné par la presse française qui s'est emparé de cette presse gratuite», analyse Patrick Eveno, historien des médias. «À partir des années 1970, face à la concurrence de la télévision, journalistes et patrons de presse n'ont plus voulu parler de sport, de scandales et de people, des sujets qui pouvaient retenir un lectorat populaire. Donc toute une frange de la population n'a plus eu accès à la presse». Le rituel du journal du matin, qui paraissait éculé, repart de plus belle avec la presse classique. Aujourd’hui, les sujets abordés permettent de faire le tour de l’info rapidement. Le journal 20 Minutes surfe totalement sur ce concept, son titre proclame même le temps de lecture nécessaire pour faire le tour du journal, tout en mettant en scène le temps de trajet moyen pour aller travailler. Les titres sont aussi mis à disposition dans des endroits stratégiques: des salles de gym, des cinémas, des parkings… L’important est d’amener l’information aux potentiels lecteurs plutôt que de compter sur eux pour se rendre chez un vendeur. Mais pour pouvoir être gratuit, ces journaux disposent d’un modèle unique: la publicité. Un mode de financement qui explique aussi les critiques de ce type de média. Ces quotidiens sont rémunérés grâce à l’espace publicitaire vendu. La publicité dans les médias doit respecter un certain seuil. S’il y en a trop, le journal dépend alors d’annonceurs qui pourraient être en désaccord avec les informations délivrées. D’autres critiques pointent l’indépendance relative de ces titres gratuits, tributaires des annonceurs et de leur patron. Le journal CNews a ainsi été mis en cause quant au nombre de publications qui concernaient le service Autolib, des voitures électriques mises à disposition à Paris comme les vélos. Un moyen de transport vanté par le titre de presse et… détenu par le même propriétaire. Dans le milieu traditionnel des médias, habitués à de longs articles, la presse gratuite fait grincer des dents. Les journalistes n’hésitant pas à les appeler les «McDonald's» de l’information. Les articles, repris de dépêches de l’Agence France-Presse, restent souvent courts. Pas de place pour l’investigation ou les articles longs dans les papiers. Les journalistes, peu nombreux, ont notamment des contraintes de rapidité qui nuisent parfois à la qualité de leur travail. Par ailleurs, la presse gratuite se heurte aujourd’hui à une autre concurrence, celle des médias en ligne. Avec la 4G accessible dans les transports en commun, les lecteurs peuvent désormais suivre les actualités sur leur smartphone. Des résultats d’un match de football à ceux d’élections, les notifications permettent même d’être alerté en temps réel sur des sujets précis. 17. Quel est le désavantage de la presse gratuite? 1) Les articles ont une longueur excessive. 2) Le lecteur finit rarement le journal. 3) Les journalistes sont peu expérimentés. 4) Il y a peu d’enquêtes journalistiques.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Pour ou contre les journaux gratuits? À ses débuts, la presse gratuite, distribuée à l’entrée des métros, bouleverse le paysage médiatique des grandes villes françaises. L’information, qui semblait ne plus intéresser, se met alors à la portée de tout un chacun. Des étudiants ou encore des jeunes salariés, qui boudaient les grands journaux comme Le Monde ou Le Figaro, deviennent lecteurs de la presse. La formule du succès est compréhensible. Cette presse se consomme vite, est disponible là où les gens se trouvent et permet d’embrasser beaucoup de sujets, de l’international jusqu’à l’horoscope et la météo. L’adhésion à ces journaux s’effectue rapidement, et met en lumière les écarts d’accès à l’information. Cette presse paraît plus accessible, plus centrée sur la vie de tous les jours. Il ne faut pas des heures pour la lire, et on peut même le faire assis dans les transports en commun. C'est «le lectorat populaire abandonné par la presse française qui s'est emparé de cette presse gratuite», analyse Patrick Eveno, historien des médias. «À partir des années 1970, face à la concurrence de la télévision, journalistes et patrons de presse n'ont plus voulu parler de sport, de scandales et de people, des sujets qui pouvaient retenir un lectorat populaire. Donc toute une frange de la population n'a plus eu accès à la presse». Le rituel du journal du matin, qui paraissait éculé, repart de plus belle avec la presse classique. Aujourd’hui, les sujets abordés permettent de faire le tour de l’info rapidement. Le journal 20 Minutes surfe totalement sur ce concept, son titre proclame même le temps de lecture nécessaire pour faire le tour du journal, tout en mettant en scène le temps de trajet moyen pour aller travailler. Les titres sont aussi mis à disposition dans des endroits stratégiques: des salles de gym, des cinémas, des parkings… L’important est d’amener l’information aux potentiels lecteurs plutôt que de compter sur eux pour se rendre chez un vendeur. Mais pour pouvoir être gratuit, ces journaux disposent d’un modèle unique: la publicité. Un mode de financement qui explique aussi les critiques de ce type de média. Ces quotidiens sont rémunérés grâce à l’espace publicitaire vendu. La publicité dans les médias doit respecter un certain seuil. S’il y en a trop, le journal dépend alors d’annonceurs qui pourraient être en désaccord avec les informations délivrées. D’autres critiques pointent l’indépendance relative de ces titres gratuits, tributaires des annonceurs et de leur patron. Le journal CNews a ainsi été mis en cause quant au nombre de publications qui concernaient le service Autolib, des voitures électriques mises à disposition à Paris comme les vélos. Un moyen de transport vanté par le titre de presse et… détenu par le même propriétaire. Dans le milieu traditionnel des médias, habitués à de longs articles, la presse gratuite fait grincer des dents. Les journalistes n’hésitant pas à les appeler les «McDonald's» de l’information. Les articles, repris de dépêches de l’Agence France-Presse, restent souvent courts. Pas de place pour l’investigation ou les articles longs dans les papiers. Les journalistes, peu nombreux, ont notamment des contraintes de rapidité qui nuisent parfois à la qualité de leur travail. Par ailleurs, la presse gratuite se heurte aujourd’hui à une autre concurrence, celle des médias en ligne. Avec la 4G accessible dans les transports en commun, les lecteurs peuvent désormais suivre les actualités sur leur smartphone. Des résultats d’un match de football à ceux d’élections, les notifications permettent même d’être alerté en temps réel sur des sujets précis. 18. La presse sur téléphone permet de… 1) prévoir le temps de lecture d’un article. 2) recevoir des informations personnalisées. 3) partager les informations avec ses proches. 4) bloquer les publicités sur les sites Internet.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mais que font donc les ados sur leur portable? Ils ne regardent presque plus la télévision. Les ados d’aujourd’hui utilisent leur smartphone pour faire tout ou presque. Au grand étonnement de leurs parents qui, parfois, se demandent ce que leurs enfants peuvent bien faire, pouces virevoltants et yeux fixés sur l’écran d’un appareil dont ils ne s’éloignent jamais de plus d’un mètre. 93% d’adolescents entre 12-17 ans sont équipés d’un portable et le plus souvent d’un smartphone. On accuse le portable de tous les maux parce qu’il est devenu omniprésent dans la vie des plus jeunes. Ce qu’on oublie souvent de réaliser, c’est que le smartphone qu’un ado a dans la poche remplace une bonne dizaine d’appareils que les quadragénaires d’aujourd’hui utilisaient quand ils étaient eux-mêmes plus jeunes. Plus besoin, pour les ados d’aujourd’hui, d’un walkman, d’un appareil photo, d’une console de jeux portable ou d’une télévision. Le smartphone sert à tout cela à la fois et surtout à se socialiser et à se connecter à ses pairs. Le même refrain revient dans la bouche de jeunes: «Mon portable, c’est ma vie, il y a tout dedans!». À priori, le téléphone portable sert d’abord à... téléphoner. Pas pour les ados, pour qui la communication vocale est devenue un usage mineur. En effet, pour échanger avec leurs amis, ils utilisent les SMS que les nouveaux forfaits permettent d’envoyer à volonté, ou alors des logiciels de messagerie comme Messenger. Le vrai réseau star pour échanger et partager des photos est, sans aucun doute, Snapchat, 8 millions d’utilisateurs en France dont plus de la moitié sont âgés de moins de 25 ans. C’est aussi, tout simplement, le seul que les parents ne savent vraiment pas manipuler. Avec ses photos que le destinataire peut consulter seulement quelques secondes avant qu’elles ne disparaissent de l’écran, Snapchat est l’outil de l’instantanéité du quotidien. «Quand j’ai besoin de vraiment parler, raconte Margaux, une jeune Bordelaise de 16 ans, je passe plutôt par Messenger». À l’école, le smartphone remplace désormais les bonnes vieilles antisèches que les élèves d’autrefois s’appliquaient à copier sur de microscopiques bouts de papier. La principale technique consiste à cacher l’appareil entre ses cuisses et à y jeter un coup d’œil en cas de besoin. Pas facile quand on est parent d’adopter la bonne attitude face à un ou une ado qui, manifestement, fait de son portable un objet un peu trop omniprésent dans sa vie quotidienne. Les parents ne doivent pas s’interdire de mettre des principes d’usage. Pour éviter les abus, il faut commencer par l’interdire dans la chambre après une certaine heure le soir. On met le portable dans le salon et on ne se couche pas avec l’appareil pour éviter qu’il ne devienne un téléphone-doudou. Pour Anne-Catherine Baseilhac, coach parentale, «il ne faut pas en revanche intervenir dans l’utilisation que font les ados des réseaux sociaux. Il vaut mieux en parler, leur faire raconter ce qu’ils y trouvent, ce qu’ils vivent. Un père que j’ai rencontré a mis en place une soirée pizza tous les jeudis avec ses enfants, où chacun à son tour raconte ce qu’il a vu et ce qu’il a pensé des réseaux sociaux pendant la semaine. C’est un bon moyen de partager, dans un contexte détendu, et sans être intrusif. Un peu comme quand un parent demande à son enfant de 5 ans ce qu’il a fait de sa journée à l’école». Quant à l’éternelle question de savoir à partir de quel âge offrir un premier smartphone, il faut savoir que le passage en classe de sixième est devenu, en France, le moment «socialement» acceptable pour équiper un jeune garçon ou une jeune fille d’un portable. 12. En décrivant l’attitude des adultes envers le portable, le texte dit que les parents… 1) gardent leur téléphone à portée de main. 2) préfèrent les smartphones à la télévision. 3) ne comprennent pas toujours comment les ados utilisent le portable. 4) ne sont pas satisfaits de l’utilisation du smartphone.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mais que font donc les ados sur leur portable? Ils ne regardent presque plus la télévision. Les ados d’aujourd’hui utilisent leur smartphone pour faire tout ou presque. Au grand étonnement de leurs parents qui, parfois, se demandent ce que leurs enfants peuvent bien faire, pouces virevoltants et yeux fixés sur l’écran d’un appareil dont ils ne s’éloignent jamais de plus d’un mètre. 93% d’adolescents entre 12-17 ans sont équipés d’un portable et le plus souvent d’un smartphone. On accuse le portable de tous les maux parce qu’il est devenu omniprésent dans la vie des plus jeunes. Ce qu’on oublie souvent de réaliser, c’est que le smartphone qu’un ado a dans la poche remplace une bonne dizaine d’appareils que les quadragénaires d’aujourd’hui utilisaient quand ils étaient eux-mêmes plus jeunes. Plus besoin, pour les ados d’aujourd’hui, d’un walkman, d’un appareil photo, d’une console de jeux portable ou d’une télévision. Le smartphone sert à tout cela à la fois et surtout à se socialiser et à se connecter à ses pairs. Le même refrain revient dans la bouche de jeunes: «Mon portable, c’est ma vie, il y a tout dedans!». À priori, le téléphone portable sert d’abord à... téléphoner. Pas pour les ados, pour qui la communication vocale est devenue un usage mineur. En effet, pour échanger avec leurs amis, ils utilisent les SMS que les nouveaux forfaits permettent d’envoyer à volonté, ou alors des logiciels de messagerie comme Messenger. Le vrai réseau star pour échanger et partager des photos est, sans aucun doute, Snapchat, 8 millions d’utilisateurs en France dont plus de la moitié sont âgés de moins de 25 ans. C’est aussi, tout simplement, le seul que les parents ne savent vraiment pas manipuler. Avec ses photos que le destinataire peut consulter seulement quelques secondes avant qu’elles ne disparaissent de l’écran, Snapchat est l’outil de l’instantanéité du quotidien. «Quand j’ai besoin de vraiment parler, raconte Margaux, une jeune Bordelaise de 16 ans, je passe plutôt par Messenger». À l’école, le smartphone remplace désormais les bonnes vieilles antisèches que les élèves d’autrefois s’appliquaient à copier sur de microscopiques bouts de papier. La principale technique consiste à cacher l’appareil entre ses cuisses et à y jeter un coup d’œil en cas de besoin. Pas facile quand on est parent d’adopter la bonne attitude face à un ou une ado qui, manifestement, fait de son portable un objet un peu trop omniprésent dans sa vie quotidienne. Les parents ne doivent pas s’interdire de mettre des principes d’usage. Pour éviter les abus, il faut commencer par l’interdire dans la chambre après une certaine heure le soir. On met le portable dans le salon et on ne se couche pas avec l’appareil pour éviter qu’il ne devienne un téléphone-doudou. Pour Anne-Catherine Baseilhac, coach parentale, «il ne faut pas en revanche intervenir dans l’utilisation que font les ados des réseaux sociaux. Il vaut mieux en parler, leur faire raconter ce qu’ils y trouvent, ce qu’ils vivent. Un père que j’ai rencontré a mis en place une soirée pizza tous les jeudis avec ses enfants, où chacun à son tour raconte ce qu’il a vu et ce qu’il a pensé des réseaux sociaux pendant la semaine. C’est un bon moyen de partager, dans un contexte détendu, et sans être intrusif. Un peu comme quand un parent demande à son enfant de 5 ans ce qu’il a fait de sa journée à l’école». Quant à l’éternelle question de savoir à partir de quel âge offrir un premier smartphone, il faut savoir que le passage en classe de sixième est devenu, en France, le moment «socialement» acceptable pour équiper un jeune garçon ou une jeune fille d’un portable. 13. Pourquoi le portable est-il souvent critique, selon l’auteur? 1) Parce qu’il donne des maux de tête aux utilisateurs. 2) Parce qu’il est utilisé partout et tout le temps. 3) Parce qu’il doit être remplacé par un grand nombre de gadgets. 4) Parce qu’il rend inutiles les appareils chers aux adultes.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mais que font donc les ados sur leur portable? Ils ne regardent presque plus la télévision. Les ados d’aujourd’hui utilisent leur smartphone pour faire tout ou presque. Au grand étonnement de leurs parents qui, parfois, se demandent ce que leurs enfants peuvent bien faire, pouces virevoltants et yeux fixés sur l’écran d’un appareil dont ils ne s’éloignent jamais de plus d’un mètre. 93% d’adolescents entre 12-17 ans sont équipés d’un portable et le plus souvent d’un smartphone. On accuse le portable de tous les maux parce qu’il est devenu omniprésent dans la vie des plus jeunes. Ce qu’on oublie souvent de réaliser, c’est que le smartphone qu’un ado a dans la poche remplace une bonne dizaine d’appareils que les quadragénaires d’aujourd’hui utilisaient quand ils étaient eux-mêmes plus jeunes. Plus besoin, pour les ados d’aujourd’hui, d’un walkman, d’un appareil photo, d’une console de jeux portable ou d’une télévision. Le smartphone sert à tout cela à la fois et surtout à se socialiser et à se connecter à ses pairs. Le même refrain revient dans la bouche de jeunes: «Mon portable, c’est ma vie, il y a tout dedans!». À priori, le téléphone portable sert d’abord à... téléphoner. Pas pour les ados, pour qui la communication vocale est devenue un usage mineur. En effet, pour échanger avec leurs amis, ils utilisent les SMS que les nouveaux forfaits permettent d’envoyer à volonté, ou alors des logiciels de messagerie comme Messenger. Le vrai réseau star pour échanger et partager des photos est, sans aucun doute, Snapchat, 8 millions d’utilisateurs en France dont plus de la moitié sont âgés de moins de 25 ans. C’est aussi, tout simplement, le seul que les parents ne savent vraiment pas manipuler. Avec ses photos que le destinataire peut consulter seulement quelques secondes avant qu’elles ne disparaissent de l’écran, Snapchat est l’outil de l’instantanéité du quotidien. «Quand j’ai besoin de vraiment parler, raconte Margaux, une jeune Bordelaise de 16 ans, je passe plutôt par Messenger». À l’école, le smartphone remplace désormais les bonnes vieilles antisèches que les élèves d’autrefois s’appliquaient à copier sur de microscopiques bouts de papier. La principale technique consiste à cacher l’appareil entre ses cuisses et à y jeter un coup d’œil en cas de besoin. Pas facile quand on est parent d’adopter la bonne attitude face à un ou une ado qui, manifestement, fait de son portable un objet un peu trop omniprésent dans sa vie quotidienne. Les parents ne doivent pas s’interdire de mettre des principes d’usage. Pour éviter les abus, il faut commencer par l’interdire dans la chambre après une certaine heure le soir. On met le portable dans le salon et on ne se couche pas avec l’appareil pour éviter qu’il ne devienne un téléphone-doudou. Pour Anne-Catherine Baseilhac, coach parentale, «il ne faut pas en revanche intervenir dans l’utilisation que font les ados des réseaux sociaux. Il vaut mieux en parler, leur faire raconter ce qu’ils y trouvent, ce qu’ils vivent. Un père que j’ai rencontré a mis en place une soirée pizza tous les jeudis avec ses enfants, où chacun à son tour raconte ce qu’il a vu et ce qu’il a pensé des réseaux sociaux pendant la semaine. C’est un bon moyen de partager, dans un contexte détendu, et sans être intrusif. Un peu comme quand un parent demande à son enfant de 5 ans ce qu’il a fait de sa journée à l’école». Quant à l’éternelle question de savoir à partir de quel âge offrir un premier smartphone, il faut savoir que le passage en classe de sixième est devenu, en France, le moment «socialement» acceptable pour équiper un jeune garçon ou une jeune fille d’un portable. 14. Selon le texte, quelle est la fonction principale du portable pour les ados? Il permet de… 1) contacter des copains. 2) regarder la télévision. 3) jouer aux jeux. 4) écouter de la musique.

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Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mais que font donc les ados sur leur portable? Ils ne regardent presque plus la télévision. Les ados d’aujourd’hui utilisent leur smartphone pour faire tout ou presque. Au grand étonnement de leurs parents qui, parfois, se demandent ce que leurs enfants peuvent bien faire, pouces virevoltants et yeux fixés sur l’écran d’un appareil dont ils ne s’éloignent jamais de plus d’un mètre. 93% d’adolescents entre 12-17 ans sont équipés d’un portable et le plus souvent d’un smartphone. On accuse le portable de tous les maux parce qu’il est devenu omniprésent dans la vie des plus jeunes. Ce qu’on oublie souvent de réaliser, c’est que le smartphone qu’un ado a dans la poche remplace une bonne dizaine d’appareils que les quadragénaires d’aujourd’hui utilisaient quand ils étaient eux-mêmes plus jeunes. Plus besoin, pour les ados d’aujourd’hui, d’un walkman, d’un appareil photo, d’une console de jeux portable ou d’une télévision. Le smartphone sert à tout cela à la fois et surtout à se socialiser et à se connecter à ses pairs. Le même refrain revient dans la bouche de jeunes: «Mon portable, c’est ma vie, il y a tout dedans!». À priori, le téléphone portable sert d’abord à... téléphoner. Pas pour les ados, pour qui la communication vocale est devenue un usage mineur. En effet, pour échanger avec leurs amis, ils utilisent les SMS que les nouveaux forfaits permettent d’envoyer à volonté, ou alors des logiciels de messagerie comme Messenger. Le vrai réseau star pour échanger et partager des photos est, sans aucun doute, Snapchat, 8 millions d’utilisateurs en France dont plus de la moitié sont âgés de moins de 25 ans. C’est aussi, tout simplement, le seul que les parents ne savent vraiment pas manipuler. Avec ses photos que le destinataire peut consulter seulement quelques secondes avant qu’elles ne disparaissent de l’écran, Snapchat est l’outil de l’instantanéité du quotidien. «Quand j’ai besoin de vraiment parler, raconte Margaux, une jeune Bordelaise de 16 ans, je passe plutôt par Messenger». À l’école, le smartphone remplace désormais les bonnes vieilles antisèches que les élèves d’autrefois s’appliquaient à copier sur de microscopiques bouts de papier. La principale technique consiste à cacher l’appareil entre ses cuisses et à y jeter un coup d’œil en cas de besoin. Pas facile quand on est parent d’adopter la bonne attitude face à un ou une ado qui, manifestement, fait de son portable un objet un peu trop omniprésent dans sa vie quotidienne. Les parents ne doivent pas s’interdire de mettre des principes d’usage. Pour éviter les abus, il faut commencer par l’interdire dans la chambre après une certaine heure le soir. On met le portable dans le salon et on ne se couche pas avec l’appareil pour éviter qu’il ne devienne un téléphone-doudou. Pour Anne-Catherine Baseilhac, coach parentale, «il ne faut pas en revanche intervenir dans l’utilisation que font les ados des réseaux sociaux. Il vaut mieux en parler, leur faire raconter ce qu’ils y trouvent, ce qu’ils vivent. Un père que j’ai rencontré a mis en place une soirée pizza tous les jeudis avec ses enfants, où chacun à son tour raconte ce qu’il a vu et ce qu’il a pensé des réseaux sociaux pendant la semaine. C’est un bon moyen de partager, dans un contexte détendu, et sans être intrusif. Un peu comme quand un parent demande à son enfant de 5 ans ce qu’il a fait de sa journée à l’école». Quant à l’éternelle question de savoir à partir de quel âge offrir un premier smartphone, il faut savoir que le passage en classe de sixième est devenu, en France, le moment «socialement» acceptable pour équiper un jeune garçon ou une jeune fille d’un portable. 18. Selon Anne-Catherine Baseilhac, quelle doit être l’attitude des parents par rapport aux réseaux sociaux? Les parents doivent… 1) suivre secrètement l’ado sur les réseaux sociaux. 2) contrôler l’usage des réseaux sociaux par l’ado. 3) réguler l’utilisation des réseaux sociaux par l’ado. 4) faire en sorte que l’ado parle de ce qu’il fait sur les réseaux sociaux.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Ma première matinée à la boulangerie Dimanche est arrivé trop vite. Mme Bergerot, la patronne, m’a donné rendez-vous à 6 h 30 à la boulangerie. Sur le trottoir, Mohamed est déjà au travail devant son magasin, alignant ses cageots de légumes dans le soleil à peine levé: “Bonjour, Julie, vous êtes tombée du lit?” - Bonjour, Mohamed. Non, je vais travailler à la boulangerie. Ce matin, c’est seulement un essai. Il est l’heure et je n’ai malheureusement pas le temps de poursuivre la conversation. En toquant à la porte de derrière, j’ai la boule au ventre. C’est Mme Bergerot qui m’ouvre: “C’est parfait, tu es ponctuelle. Entre vite, je vais te présenter mais très rapidement.” Ils sont au moins cinq à s’activer en se parlant fort pour couvrir le ronflement des ventilateurs du gros four. Le parfum du pain chaud est partout, mélangé à celui des croissants, de la brioche, avec des arômes de chocolat et peut-être même de fraise. Rien qu’en respirant, j’ai déjà pris trois kilos. Mme Bergerot m’explique: “Cette salle, c’est le fournil. Ici, c’est Julien qui commande. On y fabrique tout ce qui est boulangerie et viennoiserie. Ne traîne jamais dans le passage. S’il manque des choses en boutique, tu demandes à Julien, à personne d’autre.” J’ai à peine le temps de dire bonjour que déjà elle m’emmène vers une autre pièce plus au fond: “Là, c’est le laboratoire, ce n’est pas du tout la même chose que le fournil. Denis y prépare toute la pâtisserie avec ses deux ouvriers. Même chose, ici, c’est Denis le patron.” Je ne savais même pas qu’il y avait une différence. Le fournil, le laboratoire. J’essaie d’intégrer toutes les informations dont elle me bombarde. J’ai l’impression d’avoir douze ans et de faire une visite avec une prof. - Suis-moi dans la boutique, on continue. Ce matin, tu as de la chance, on ne devrait pas avoir trop de monde mais le dimanche matin, en général, c’est une période assez chargée chez nous. En traversant la petite cuisine au pas de course, Mme Bergerot me demande: “Tu n’as pas de blouse?” Je secoue la tête négativement. - Je m’en doutais, alors je t’ai ressorti celle que je portais quand j’étais plus jeune. Tu es plus mince que moi, même à l’époque, mais ça ira bien pour ce matin. Et puis ça me fait plaisir que ce soit toi qui la portes. Pas le temps de s’émouvoir, elle est déjà dans la boutique: “Il faudra que tu attaches tes cheveux, c’est plus propre. Dès que Vanessa, la vendeuse que tu vas remplacer, sera arrivée, tu l’aideras à tout mettre en place. L’avantage avec toi, c’est que tu connais déjà les produits, parce que tu habites dans ce quartier depuis ton enfance et tu es une cliente permanente. Il faudra faire vite, on ouvre à 7 heures. Pour ce matin, tu te contentes de servir, je m’occupe de la caisse. J’ai confiance en toi mais je sais aussi que même si ça a l’air facile quand est de l’autre côté, pour les débutantes, ça va vite et elles s’embrouillent souvent avec les comptes et la monnaie”. Elle me regarde: “Tout est clair pour toi?” En fait pas du tout. J’ai peur de faire n’importe quoi, de m’adresser à la mauvaise personne, de ne pas comprendre ce que les clients vont demander. Au secours! Vanessa arrive. Il est clair qu’elle n’est pas décidée à me faciliter la vie. Elle me parle comme un adjudant et ne laisse rien passer. Dans le fournil, ça s’énerve, les croissants ont eu un coup de chaud. Julien a l’air furieux et personne n’ose lui parler. Au fond, j’aperçois Denis qui gesticule autour de ses gâteaux avec une poche à douille pleine de crème pâtissière. - Qu’est-ce que tu fais? grogne Vanessa. Tu te crois au spectacle? C’est l’heure d’ouvrir. D’après Gilles Legardinier “Demain j’arrête!” 12. Pourquoi Julie est-elle venue à la boulangerie très tôt le matin? 1) Elle avait un rendez-vous avec Mohamed. 2) Elle est venue acheter du pain. 3) Elle est venue travailler. 4) Elle voulait visiter le laboratoire de Dénis.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Ma première matinée à la boulangerie Dimanche est arrivé trop vite. Mme Bergerot, la patronne, m’a donné rendez-vous à 6 h 30 à la boulangerie. Sur le trottoir, Mohamed est déjà au travail devant son magasin, alignant ses cageots de légumes dans le soleil à peine levé: “Bonjour, Julie, vous êtes tombée du lit?” - Bonjour, Mohamed. Non, je vais travailler à la boulangerie. Ce matin, c’est seulement un essai. Il est l’heure et je n’ai malheureusement pas le temps de poursuivre la conversation. En toquant à la porte de derrière, j’ai la boule au ventre. C’est Mme Bergerot qui m’ouvre: “C’est parfait, tu es ponctuelle. Entre vite, je vais te présenter mais très rapidement.” Ils sont au moins cinq à s’activer en se parlant fort pour couvrir le ronflement des ventilateurs du gros four. Le parfum du pain chaud est partout, mélangé à celui des croissants, de la brioche, avec des arômes de chocolat et peut-être même de fraise. Rien qu’en respirant, j’ai déjà pris trois kilos. Mme Bergerot m’explique: “Cette salle, c’est le fournil. Ici, c’est Julien qui commande. On y fabrique tout ce qui est boulangerie et viennoiserie. Ne traîne jamais dans le passage. S’il manque des choses en boutique, tu demandes à Julien, à personne d’autre.” J’ai à peine le temps de dire bonjour que déjà elle m’emmène vers une autre pièce plus au fond: “Là, c’est le laboratoire, ce n’est pas du tout la même chose que le fournil. Denis y prépare toute la pâtisserie avec ses deux ouvriers. Même chose, ici, c’est Denis le patron.” Je ne savais même pas qu’il y avait une différence. Le fournil, le laboratoire. J’essaie d’intégrer toutes les informations dont elle me bombarde. J’ai l’impression d’avoir douze ans et de faire une visite avec une prof. - Suis-moi dans la boutique, on continue. Ce matin, tu as de la chance, on ne devrait pas avoir trop de monde mais le dimanche matin, en général, c’est une période assez chargée chez nous. En traversant la petite cuisine au pas de course, Mme Bergerot me demande: “Tu n’as pas de blouse?” Je secoue la tête négativement. - Je m’en doutais, alors je t’ai ressorti celle que je portais quand j’étais plus jeune. Tu es plus mince que moi, même à l’époque, mais ça ira bien pour ce matin. Et puis ça me fait plaisir que ce soit toi qui la portes. Pas le temps de s’émouvoir, elle est déjà dans la boutique: “Il faudra que tu attaches tes cheveux, c’est plus propre. Dès que Vanessa, la vendeuse que tu vas remplacer, sera arrivée, tu l’aideras à tout mettre en place. L’avantage avec toi, c’est que tu connais déjà les produits, parce que tu habites dans ce quartier depuis ton enfance et tu es une cliente permanente. Il faudra faire vite, on ouvre à 7 heures. Pour ce matin, tu te contentes de servir, je m’occupe de la caisse. J’ai confiance en toi mais je sais aussi que même si ça a l’air facile quand est de l’autre côté, pour les débutantes, ça va vite et elles s’embrouillent souvent avec les comptes et la monnaie”. Elle me regarde: “Tout est clair pour toi?” En fait pas du tout. J’ai peur de faire n’importe quoi, de m’adresser à la mauvaise personne, de ne pas comprendre ce que les clients vont demander. Au secours! Vanessa arrive. Il est clair qu’elle n’est pas décidée à me faciliter la vie. Elle me parle comme un adjudant et ne laisse rien passer. Dans le fournil, ça s’énerve, les croissants ont eu un coup de chaud. Julien a l’air furieux et personne n’ose lui parler. Au fond, j’aperçois Denis qui gesticule autour de ses gâteaux avec une poche à douille pleine de crème pâtissière. - Qu’est-ce que tu fais? grogne Vanessa. Tu te crois au spectacle? C’est l’heure d’ouvrir. D’après Gilles Legardinier “Demain j’arrête!” 13.Que fabrique-t-on au fournil? 1) La pâtisserie. 2) La confiserie. 3) La chocolaterie. 4) La boulangerie et la viennoiserie.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Ma première matinée à la boulangerie Dimanche est arrivé trop vite. Mme Bergerot, la patronne, m’a donné rendez-vous à 6 h 30 à la boulangerie. Sur le trottoir, Mohamed est déjà au travail devant son magasin, alignant ses cageots de légumes dans le soleil à peine levé: “Bonjour, Julie, vous êtes tombée du lit?” - Bonjour, Mohamed. Non, je vais travailler à la boulangerie. Ce matin, c’est seulement un essai. Il est l’heure et je n’ai malheureusement pas le temps de poursuivre la conversation. En toquant à la porte de derrière, j’ai la boule au ventre. C’est Mme Bergerot qui m’ouvre: “C’est parfait, tu es ponctuelle. Entre vite, je vais te présenter mais très rapidement.” Ils sont au moins cinq à s’activer en se parlant fort pour couvrir le ronflement des ventilateurs du gros four. Le parfum du pain chaud est partout, mélangé à celui des croissants, de la brioche, avec des arômes de chocolat et peut-être même de fraise. Rien qu’en respirant, j’ai déjà pris trois kilos. Mme Bergerot m’explique: “Cette salle, c’est le fournil. Ici, c’est Julien qui commande. On y fabrique tout ce qui est boulangerie et viennoiserie. Ne traîne jamais dans le passage. S’il manque des choses en boutique, tu demandes à Julien, à personne d’autre.” J’ai à peine le temps de dire bonjour que déjà elle m’emmène vers une autre pièce plus au fond: “Là, c’est le laboratoire, ce n’est pas du tout la même chose que le fournil. Denis y prépare toute la pâtisserie avec ses deux ouvriers. Même chose, ici, c’est Denis le patron.” Je ne savais même pas qu’il y avait une différence. Le fournil, le laboratoire. J’essaie d’intégrer toutes les informations dont elle me bombarde. J’ai l’impression d’avoir douze ans et de faire une visite avec une prof. - Suis-moi dans la boutique, on continue. Ce matin, tu as de la chance, on ne devrait pas avoir trop de monde mais le dimanche matin, en général, c’est une période assez chargée chez nous. En traversant la petite cuisine au pas de course, Mme Bergerot me demande: “Tu n’as pas de blouse?” Je secoue la tête négativement. - Je m’en doutais, alors je t’ai ressorti celle que je portais quand j’étais plus jeune. Tu es plus mince que moi, même à l’époque, mais ça ira bien pour ce matin. Et puis ça me fait plaisir que ce soit toi qui la portes. Pas le temps de s’émouvoir, elle est déjà dans la boutique: “Il faudra que tu attaches tes cheveux, c’est plus propre. Dès que Vanessa, la vendeuse que tu vas remplacer, sera arrivée, tu l’aideras à tout mettre en place. L’avantage avec toi, c’est que tu connais déjà les produits, parce que tu habites dans ce quartier depuis ton enfance et tu es une cliente permanente. Il faudra faire vite, on ouvre à 7 heures. Pour ce matin, tu te contentes de servir, je m’occupe de la caisse. J’ai confiance en toi mais je sais aussi que même si ça a l’air facile quand est de l’autre côté, pour les débutantes, ça va vite et elles s’embrouillent souvent avec les comptes et la monnaie”. Elle me regarde: “Tout est clair pour toi?” En fait pas du tout. J’ai peur de faire n’importe quoi, de m’adresser à la mauvaise personne, de ne pas comprendre ce que les clients vont demander. Au secours! Vanessa arrive. Il est clair qu’elle n’est pas décidée à me faciliter la vie. Elle me parle comme un adjudant et ne laisse rien passer. Dans le fournil, ça s’énerve, les croissants ont eu un coup de chaud. Julien a l’air furieux et personne n’ose lui parler. Au fond, j’aperçois Denis qui gesticule autour de ses gâteaux avec une poche à douille pleine de crème pâtissière. - Qu’est-ce que tu fais? grogne Vanessa. Tu te crois au spectacle? C’est l’heure d’ouvrir. D’après Gilles Legardinier “Demain j’arrête!” 14.Julie, où doit-elle travailler dans la boulangerie? 1) À la caisse. 2) Au service. 3) Au fournil. 4) Au laboratoire.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Ma première matinée à la boulangerie Dimanche est arrivé trop vite. Mme Bergerot, la patronne, m’a donné rendez-vous à 6 h 30 à la boulangerie. Sur le trottoir, Mohamed est déjà au travail devant son magasin, alignant ses cageots de légumes dans le soleil à peine levé: “Bonjour, Julie, vous êtes tombée du lit?” - Bonjour, Mohamed. Non, je vais travailler à la boulangerie. Ce matin, c’est seulement un essai. Il est l’heure et je n’ai malheureusement pas le temps de poursuivre la conversation. En toquant à la porte de derrière, j’ai la boule au ventre. C’est Mme Bergerot qui m’ouvre: “C’est parfait, tu es ponctuelle. Entre vite, je vais te présenter mais très rapidement.” Ils sont au moins cinq à s’activer en se parlant fort pour couvrir le ronflement des ventilateurs du gros four. Le parfum du pain chaud est partout, mélangé à celui des croissants, de la brioche, avec des arômes de chocolat et peut-être même de fraise. Rien qu’en respirant, j’ai déjà pris trois kilos. Mme Bergerot m’explique: “Cette salle, c’est le fournil. Ici, c’est Julien qui commande. On y fabrique tout ce qui est boulangerie et viennoiserie. Ne traîne jamais dans le passage. S’il manque des choses en boutique, tu demandes à Julien, à personne d’autre.” J’ai à peine le temps de dire bonjour que déjà elle m’emmène vers une autre pièce plus au fond: “Là, c’est le laboratoire, ce n’est pas du tout la même chose que le fournil. Denis y prépare toute la pâtisserie avec ses deux ouvriers. Même chose, ici, c’est Denis le patron.” Je ne savais même pas qu’il y avait une différence. Le fournil, le laboratoire. J’essaie d’intégrer toutes les informations dont elle me bombarde. J’ai l’impression d’avoir douze ans et de faire une visite avec une prof. - Suis-moi dans la boutique, on continue. Ce matin, tu as de la chance, on ne devrait pas avoir trop de monde mais le dimanche matin, en général, c’est une période assez chargée chez nous. En traversant la petite cuisine au pas de course, Mme Bergerot me demande: “Tu n’as pas de blouse?” Je secoue la tête négativement. - Je m’en doutais, alors je t’ai ressorti celle que je portais quand j’étais plus jeune. Tu es plus mince que moi, même à l’époque, mais ça ira bien pour ce matin. Et puis ça me fait plaisir que ce soit toi qui la portes. Pas le temps de s’émouvoir, elle est déjà dans la boutique: “Il faudra que tu attaches tes cheveux, c’est plus propre. Dès que Vanessa, la vendeuse que tu vas remplacer, sera arrivée, tu l’aideras à tout mettre en place. L’avantage avec toi, c’est que tu connais déjà les produits, parce que tu habites dans ce quartier depuis ton enfance et tu es une cliente permanente. Il faudra faire vite, on ouvre à 7 heures. Pour ce matin, tu te contentes de servir, je m’occupe de la caisse. J’ai confiance en toi mais je sais aussi que même si ça a l’air facile quand est de l’autre côté, pour les débutantes, ça va vite et elles s’embrouillent souvent avec les comptes et la monnaie”. Elle me regarde: “Tout est clair pour toi?” En fait pas du tout. J’ai peur de faire n’importe quoi, de m’adresser à la mauvaise personne, de ne pas comprendre ce que les clients vont demander. Au secours! Vanessa arrive. Il est clair qu’elle n’est pas décidée à me faciliter la vie. Elle me parle comme un adjudant et ne laisse rien passer. Dans le fournil, ça s’énerve, les croissants ont eu un coup de chaud. Julien a l’air furieux et personne n’ose lui parler. Au fond, j’aperçois Denis qui gesticule autour de ses gâteaux avec une poche à douille pleine de crème pâtissière. - Qu’est-ce que tu fais? grogne Vanessa. Tu te crois au spectacle? C’est l’heure d’ouvrir. D’après Gilles Legardinier “Demain j’arrête!” 15. Les vendeuses de la boulangerie, que doivent-elles porter dans la boutique? 1) Elles doivent porter une blouse. 2) Elles portent un costume spécial. 3) Elles mettent leurs robes ordinaires. 4) Elles sont obligatoirement en pantalon et en veste.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Ma première matinée à la boulangerie Dimanche est arrivé trop vite. Mme Bergerot, la patronne, m’a donné rendez-vous à 6 h 30 à la boulangerie. Sur le trottoir, Mohamed est déjà au travail devant son magasin, alignant ses cageots de légumes dans le soleil à peine levé: “Bonjour, Julie, vous êtes tombée du lit?” - Bonjour, Mohamed. Non, je vais travailler à la boulangerie. Ce matin, c’est seulement un essai. Il est l’heure et je n’ai malheureusement pas le temps de poursuivre la conversation. En toquant à la porte de derrière, j’ai la boule au ventre. C’est Mme Bergerot qui m’ouvre: “C’est parfait, tu es ponctuelle. Entre vite, je vais te présenter mais très rapidement.” Ils sont au moins cinq à s’activer en se parlant fort pour couvrir le ronflement des ventilateurs du gros four. Le parfum du pain chaud est partout, mélangé à celui des croissants, de la brioche, avec des arômes de chocolat et peut-être même de fraise. Rien qu’en respirant, j’ai déjà pris trois kilos. Mme Bergerot m’explique: “Cette salle, c’est le fournil. Ici, c’est Julien qui commande. On y fabrique tout ce qui est boulangerie et viennoiserie. Ne traîne jamais dans le passage. S’il manque des choses en boutique, tu demandes à Julien, à personne d’autre.” J’ai à peine le temps de dire bonjour que déjà elle m’emmène vers une autre pièce plus au fond: “Là, c’est le laboratoire, ce n’est pas du tout la même chose que le fournil. Denis y prépare toute la pâtisserie avec ses deux ouvriers. Même chose, ici, c’est Denis le patron.” Je ne savais même pas qu’il y avait une différence. Le fournil, le laboratoire. J’essaie d’intégrer toutes les informations dont elle me bombarde. J’ai l’impression d’avoir douze ans et de faire une visite avec une prof. - Suis-moi dans la boutique, on continue. Ce matin, tu as de la chance, on ne devrait pas avoir trop de monde mais le dimanche matin, en général, c’est une période assez chargée chez nous. En traversant la petite cuisine au pas de course, Mme Bergerot me demande: “Tu n’as pas de blouse?” Je secoue la tête négativement. - Je m’en doutais, alors je t’ai ressorti celle que je portais quand j’étais plus jeune. Tu es plus mince que moi, même à l’époque, mais ça ira bien pour ce matin. Et puis ça me fait plaisir que ce soit toi qui la portes. Pas le temps de s’émouvoir, elle est déjà dans la boutique: “Il faudra que tu attaches tes cheveux, c’est plus propre. Dès que Vanessa, la vendeuse que tu vas remplacer, sera arrivée, tu l’aideras à tout mettre en place. L’avantage avec toi, c’est que tu connais déjà les produits, parce que tu habites dans ce quartier depuis ton enfance et tu es une cliente permanente. Il faudra faire vite, on ouvre à 7 heures. Pour ce matin, tu te contentes de servir, je m’occupe de la caisse. J’ai confiance en toi mais je sais aussi que même si ça a l’air facile quand est de l’autre côté, pour les débutantes, ça va vite et elles s’embrouillent souvent avec les comptes et la monnaie”. Elle me regarde: “Tout est clair pour toi?” En fait pas du tout. J’ai peur de faire n’importe quoi, de m’adresser à la mauvaise personne, de ne pas comprendre ce que les clients vont demander. Au secours! Vanessa arrive. Il est clair qu’elle n’est pas décidée à me faciliter la vie. Elle me parle comme un adjudant et ne laisse rien passer. Dans le fournil, ça s’énerve, les croissants ont eu un coup de chaud. Julien a l’air furieux et personne n’ose lui parler. Au fond, j’aperçois Denis qui gesticule autour de ses gâteaux avec une poche à douille pleine de crème pâtissière. - Qu’est-ce que tu fais? grogne Vanessa. Tu te crois au spectacle? C’est l’heure d’ouvrir. D’après Gilles Legardinier “Demain j’arrête!” 16. Comment Vanessa a-t-elle accueilli sa remplaçante? 1) Elle était peu aimable. 2) Elle la traitait comme une prof. 3) Elle était indifférente. 4) Elle avait l’air furieux.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Ma première matinée à la boulangerie Dimanche est arrivé trop vite. Mme Bergerot, la patronne, m’a donné rendez-vous à 6 h 30 à la boulangerie. Sur le trottoir, Mohamed est déjà au travail devant son magasin, alignant ses cageots de légumes dans le soleil à peine levé: “Bonjour, Julie, vous êtes tombée du lit?” - Bonjour, Mohamed. Non, je vais travailler à la boulangerie. Ce matin, c’est seulement un essai. Il est l’heure et je n’ai malheureusement pas le temps de poursuivre la conversation. En toquant à la porte de derrière, j’ai la boule au ventre. C’est Mme Bergerot qui m’ouvre: “C’est parfait, tu es ponctuelle. Entre vite, je vais te présenter mais très rapidement.” Ils sont au moins cinq à s’activer en se parlant fort pour couvrir le ronflement des ventilateurs du gros four. Le parfum du pain chaud est partout, mélangé à celui des croissants, de la brioche, avec des arômes de chocolat et peut-être même de fraise. Rien qu’en respirant, j’ai déjà pris trois kilos. Mme Bergerot m’explique: “Cette salle, c’est le fournil. Ici, c’est Julien qui commande. On y fabrique tout ce qui est boulangerie et viennoiserie. Ne traîne jamais dans le passage. S’il manque des choses en boutique, tu demandes à Julien, à personne d’autre.” J’ai à peine le temps de dire bonjour que déjà elle m’emmène vers une autre pièce plus au fond: “Là, c’est le laboratoire, ce n’est pas du tout la même chose que le fournil. Denis y prépare toute la pâtisserie avec ses deux ouvriers. Même chose, ici, c’est Denis le patron.” Je ne savais même pas qu’il y avait une différence. Le fournil, le laboratoire. J’essaie d’intégrer toutes les informations dont elle me bombarde. J’ai l’impression d’avoir douze ans et de faire une visite avec une prof. - Suis-moi dans la boutique, on continue. Ce matin, tu as de la chance, on ne devrait pas avoir trop de monde mais le dimanche matin, en général, c’est une période assez chargée chez nous. En traversant la petite cuisine au pas de course, Mme Bergerot me demande: “Tu n’as pas de blouse?” Je secoue la tête négativement. - Je m’en doutais, alors je t’ai ressorti celle que je portais quand j’étais plus jeune. Tu es plus mince que moi, même à l’époque, mais ça ira bien pour ce matin. Et puis ça me fait plaisir que ce soit toi qui la portes. Pas le temps de s’émouvoir, elle est déjà dans la boutique: “Il faudra que tu attaches tes cheveux, c’est plus propre. Dès que Vanessa, la vendeuse que tu vas remplacer, sera arrivée, tu l’aideras à tout mettre en place. L’avantage avec toi, c’est que tu connais déjà les produits, parce que tu habites dans ce quartier depuis ton enfance et tu es une cliente permanente. Il faudra faire vite, on ouvre à 7 heures. Pour ce matin, tu te contentes de servir, je m’occupe de la caisse. J’ai confiance en toi mais je sais aussi que même si ça a l’air facile quand est de l’autre côté, pour les débutantes, ça va vite et elles s’embrouillent souvent avec les comptes et la monnaie”. Elle me regarde: “Tout est clair pour toi?” En fait pas du tout. J’ai peur de faire n’importe quoi, de m’adresser à la mauvaise personne, de ne pas comprendre ce que les clients vont demander. Au secours! Vanessa arrive. Il est clair qu’elle n’est pas décidée à me faciliter la vie. Elle me parle comme un adjudant et ne laisse rien passer. Dans le fournil, ça s’énerve, les croissants ont eu un coup de chaud. Julien a l’air furieux et personne n’ose lui parler. Au fond, j’aperçois Denis qui gesticule autour de ses gâteaux avec une poche à douille pleine de crème pâtissière. - Qu’est-ce que tu fais? grogne Vanessa. Tu te crois au spectacle? C’est l’heure d’ouvrir. D’après Gilles Legardinier “Demain j’arrête!” 17. Pourquoi Julie connaissait-elle bien les produits de cette boulangerie? 1) Elle connaissait bien Mme Bergerot qui était l’amie de ses parents. 2) Elle aimait beaucoup les gâteaux qu’elle achetait souvent. 3) Tous les jours elle passait devant cette boulangerie et regardait sa vitrine. 4) Elle habitait dans ce quartier et achetait toujours son pain dans cette boutique.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Ma première matinée à la boulangerie Dimanche est arrivé trop vite. Mme Bergerot, la patronne, m’a donné rendez-vous à 6 h 30 à la boulangerie. Sur le trottoir, Mohamed est déjà au travail devant son magasin, alignant ses cageots de légumes dans le soleil à peine levé: “Bonjour, Julie, vous êtes tombée du lit?” - Bonjour, Mohamed. Non, je vais travailler à la boulangerie. Ce matin, c’est seulement un essai. Il est l’heure et je n’ai malheureusement pas le temps de poursuivre la conversation. En toquant à la porte de derrière, j’ai la boule au ventre. C’est Mme Bergerot qui m’ouvre: “C’est parfait, tu es ponctuelle. Entre vite, je vais te présenter mais très rapidement.” Ils sont au moins cinq à s’activer en se parlant fort pour couvrir le ronflement des ventilateurs du gros four. Le parfum du pain chaud est partout, mélangé à celui des croissants, de la brioche, avec des arômes de chocolat et peut-être même de fraise. Rien qu’en respirant, j’ai déjà pris trois kilos. Mme Bergerot m’explique: “Cette salle, c’est le fournil. Ici, c’est Julien qui commande. On y fabrique tout ce qui est boulangerie et viennoiserie. Ne traîne jamais dans le passage. S’il manque des choses en boutique, tu demandes à Julien, à personne d’autre.” J’ai à peine le temps de dire bonjour que déjà elle m’emmène vers une autre pièce plus au fond: “Là, c’est le laboratoire, ce n’est pas du tout la même chose que le fournil. Denis y prépare toute la pâtisserie avec ses deux ouvriers. Même chose, ici, c’est Denis le patron.” Je ne savais même pas qu’il y avait une différence. Le fournil, le laboratoire. J’essaie d’intégrer toutes les informations dont elle me bombarde. J’ai l’impression d’avoir douze ans et de faire une visite avec une prof. - Suis-moi dans la boutique, on continue. Ce matin, tu as de la chance, on ne devrait pas avoir trop de monde mais le dimanche matin, en général, c’est une période assez chargée chez nous. En traversant la petite cuisine au pas de course, Mme Bergerot me demande: “Tu n’as pas de blouse?” Je secoue la tête négativement. - Je m’en doutais, alors je t’ai ressorti celle que je portais quand j’étais plus jeune. Tu es plus mince que moi, même à l’époque, mais ça ira bien pour ce matin. Et puis ça me fait plaisir que ce soit toi qui la portes. Pas le temps de s’émouvoir, elle est déjà dans la boutique: “Il faudra que tu attaches tes cheveux, c’est plus propre. Dès que Vanessa, la vendeuse que tu vas remplacer, sera arrivée, tu l’aideras à tout mettre en place. L’avantage avec toi, c’est que tu connais déjà les produits, parce que tu habites dans ce quartier depuis ton enfance et tu es une cliente permanente. Il faudra faire vite, on ouvre à 7 heures. Pour ce matin, tu te contentes de servir, je m’occupe de la caisse. J’ai confiance en toi mais je sais aussi que même si ça a l’air facile quand est de l’autre côté, pour les débutantes, ça va vite et elles s’embrouillent souvent avec les comptes et la monnaie”. Elle me regarde: “Tout est clair pour toi?” En fait pas du tout. J’ai peur de faire n’importe quoi, de m’adresser à la mauvaise personne, de ne pas comprendre ce que les clients vont demander. Au secours! Vanessa arrive. Il est clair qu’elle n’est pas décidée à me faciliter la vie. Elle me parle comme un adjudant et ne laisse rien passer. Dans le fournil, ça s’énerve, les croissants ont eu un coup de chaud. Julien a l’air furieux et personne n’ose lui parler. Au fond, j’aperçois Denis qui gesticule autour de ses gâteaux avec une poche à douille pleine de crème pâtissière. - Qu’est-ce que tu fais? grogne Vanessa. Tu te crois au spectacle? C’est l’heure d’ouvrir. D’après Gilles Legardinier “Demain j’arrête!” 18. De quoi Julie avait-elle peur? 1) Elle redoutait la réaction de ses voisins à son nouveau travail. 2) Elle ne voulait pas décevoir sa patronne. 3) Elle craignait de ne pas comprendre ce que les clients allaient demander. 4) Elle avait peur de Vanessa qui la grondait tout le temps.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les ados et le portable Voir et être vu, communiquer et s’informer, partager et regarder: le téléphone portable est un élément central de la vie de nombreux adolescents. Les parents disent souvent à leur enfant: «Arrête de passer toute la journée sur ton portable», «Tu es tout le temps dessus». Ces tensions sont en réalité toujours révélatrices d’autre chose. Le smartphone fait apparaître des problématiques plus profondes entre parent et enfant, comme un manque de communication, par exemple. De nombreux parents ont l’impression que l’usage du smartphone les empêche de communiquer avec leur ado. Mais, il ne faut pas oublier que le rapport que l’ado entretient au monde extérieur a beaucoup évolué avec l’apparition du portable. En effet, grâce aux smartphones, ils sont constamment à la fois dedans et dehors. En même temps, c’est dans la nature de l’adolescent d’être renfermé. À cet âge, on vit une période de construction, on se reconnaît plus dans ses pairs que dans ses parents. Donc, le smartphone ne crée pas du conflit entre parent et enfant, il le cristallise. L’univers de l’adolescent reste pourtant obscur pour de nombreux adultes qui se demandent par exemple ce que font leurs enfants sur Snapchat. C’est un réseau social à part. La mécanique d’utilisateur ne suit pas la même logique que celle de Facebook par exemple. Sur Snapchat, on doit attendre la validation de la personne à laquelle on souhaite parler pour pouvoir communiquer avec elle. C’est donc forcément plus intime. En plus, l’application s’ouvre sur l’appareil photo. Cela incite à partager des images. Cette production de photos témoigne d’une volonté de personnalisation. On peut les annoter, y ajouter des dessins et les compiler dans des stories, qui regroupent plusieurs vidéos. Cela forme une sorte de journal intime où les ados se racontent, se découvrent et se voient eux-mêmes grandir. C’est un retour en force de l’écrit. Par ailleurs, prendre un selfie, c’est un peu comme se prendre en photo devant un monument, c’est s’ancrer dans une situation pour commencer la communication, dire que l’on est là, avec telle ou telle personne. Paradoxalement, les ados ne répondent que rarement au téléphone, n’écoutent presque plus les messages vocaux. En cause notamment, le développement des messageries gratuites comme Facebook Messenger ou WhatsApp. Si la communication orale engage, l’écrit met de la distance tout en permettant de se dévoiler plus facilement. On se demande parfois s’il faut contrôler le contenu du portable de son ado. De nombreux parents avouent qu’ils regardent les messages Facebook de leur enfant. Les psychologues recommandent plutôt d’apprendre à discuter avec son enfant, en se montrant très ouvert pour lui permettre de se livrer en toute confiance. En revanche, il est très important de fixer des règles, comme de ne pas garder son portable dans sa chambre quand on dort, par exemple. Cela peut avoir un effet néfaste sur le sommeil, notamment à cause de la lumière bleue. On peut aussi mettre en place un contrôle parental pour limiter le temps passé sur le smartphone, en fonction de l’âge: on n’instaure pas la confiance de la même manière entre les parents et un ado de 12 ans ou un élève de terminale. Plus le portable engendre du conflit, plus il est important d’en faire un sujet central. En réalité, les ados adorent en parler aux adultes, montrer comment marche telle ou telle application, ce qui peut être très ludique. Et c’est aussi un facteur de rapprochement entre les parents et les enfants. 12. Selon l’auteur du texte, l’utilisation du portable par les adolescents… 1) est la cause des conflits entre les enfants et les parents. 2) met en évidence les conflits intergénérationnels déjà existants. 3) empire les relations entre les enfants et les parents. 4) diminue la communication entre les parents et les ados.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les ados et le portable Voir et être vu, communiquer et s’informer, partager et regarder: le téléphone portable est un élément central de la vie de nombreux adolescents. Les parents disent souvent à leur enfant: «Arrête de passer toute la journée sur ton portable», «Tu es tout le temps dessus». Ces tensions sont en réalité toujours révélatrices d’autre chose. Le smartphone fait apparaître des problématiques plus profondes entre parent et enfant, comme un manque de communication, par exemple. De nombreux parents ont l’impression que l’usage du smartphone les empêche de communiquer avec leur ado. Mais, il ne faut pas oublier que le rapport que l’ado entretient au monde extérieur a beaucoup évolué avec l’apparition du portable. En effet, grâce aux smartphones, ils sont constamment à la fois dedans et dehors. En même temps, c’est dans la nature de l’adolescent d’être renfermé. À cet âge, on vit une période de construction, on se reconnaît plus dans ses pairs que dans ses parents. Donc, le smartphone ne crée pas du conflit entre parent et enfant, il le cristallise. L’univers de l’adolescent reste pourtant obscur pour de nombreux adultes qui se demandent par exemple ce que font leurs enfants sur Snapchat. C’est un réseau social à part. La mécanique d’utilisateur ne suit pas la même logique que celle de Facebook par exemple. Sur Snapchat, on doit attendre la validation de la personne à laquelle on souhaite parler pour pouvoir communiquer avec elle. C’est donc forcément plus intime. En plus, l’application s’ouvre sur l’appareil photo. Cela incite à partager des images. Cette production de photos témoigne d’une volonté de personnalisation. On peut les annoter, y ajouter des dessins et les compiler dans des stories, qui regroupent plusieurs vidéos. Cela forme une sorte de journal intime où les ados se racontent, se découvrent et se voient eux-mêmes grandir. C’est un retour en force de l’écrit. Par ailleurs, prendre un selfie, c’est un peu comme se prendre en photo devant un monument, c’est s’ancrer dans une situation pour commencer la communication, dire que l’on est là, avec telle ou telle personne. Paradoxalement, les ados ne répondent que rarement au téléphone, n’écoutent presque plus les messages vocaux. En cause notamment, le développement des messageries gratuites comme Facebook Messenger ou WhatsApp. Si la communication orale engage, l’écrit met de la distance tout en permettant de se dévoiler plus facilement. On se demande parfois s’il faut contrôler le contenu du portable de son ado. De nombreux parents avouent qu’ils regardent les messages Facebook de leur enfant. Les psychologues recommandent plutôt d’apprendre à discuter avec son enfant, en se montrant très ouvert pour lui permettre de se livrer en toute confiance. En revanche, il est très important de fixer des règles, comme de ne pas garder son portable dans sa chambre quand on dort, par exemple. Cela peut avoir un effet néfaste sur le sommeil, notamment à cause de la lumière bleue. On peut aussi mettre en place un contrôle parental pour limiter le temps passé sur le smartphone, en fonction de l’âge: on n’instaure pas la confiance de la même manière entre les parents et un ado de 12 ans ou un élève de terminale. Plus le portable engendre du conflit, plus il est important d’en faire un sujet central. En réalité, les ados adorent en parler aux adultes, montrer comment marche telle ou telle application, ce qui peut être très ludique. Et c’est aussi un facteur de rapprochement entre les parents et les enfants. 13. Comment le comportement de l’adolescent a-t-il changé depuis l’arrivée du smartphone, selon le texte? 1) Les ados se renferment davantage dans leur univers. 2) Les ados ne reconnaissent plus les valeurs de leurs parents. 3) Les ados sont à la fois replies sur eux-mêmes et ouverts au monde. 4) Les ados sont plus curieux de découvrir le monde extérieur.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les ados et le portable Voir et être vu, communiquer et s’informer, partager et regarder: le téléphone portable est un élément central de la vie de nombreux adolescents. Les parents disent souvent à leur enfant: «Arrête de passer toute la journée sur ton portable», «Tu es tout le temps dessus». Ces tensions sont en réalité toujours révélatrices d’autre chose. Le smartphone fait apparaître des problématiques plus profondes entre parent et enfant, comme un manque de communication, par exemple. De nombreux parents ont l’impression que l’usage du smartphone les empêche de communiquer avec leur ado. Mais, il ne faut pas oublier que le rapport que l’ado entretient au monde extérieur a beaucoup évolué avec l’apparition du portable. En effet, grâce aux smartphones, ils sont constamment à la fois dedans et dehors. En même temps, c’est dans la nature de l’adolescent d’être renfermé. À cet âge, on vit une période de construction, on se reconnaît plus dans ses pairs que dans ses parents. Donc, le smartphone ne crée pas du conflit entre parent et enfant, il le cristallise. L’univers de l’adolescent reste pourtant obscur pour de nombreux adultes qui se demandent par exemple ce que font leurs enfants sur Snapchat. C’est un réseau social à part. La mécanique d’utilisateur ne suit pas la même logique que celle de Facebook par exemple. Sur Snapchat, on doit attendre la validation de la personne à laquelle on souhaite parler pour pouvoir communiquer avec elle. C’est donc forcément plus intime. En plus, l’application s’ouvre sur l’appareil photo. Cela incite à partager des images. Cette production de photos témoigne d’une volonté de personnalisation. On peut les annoter, y ajouter des dessins et les compiler dans des stories, qui regroupent plusieurs vidéos. Cela forme une sorte de journal intime où les ados se racontent, se découvrent et se voient eux-mêmes grandir. C’est un retour en force de l’écrit. Par ailleurs, prendre un selfie, c’est un peu comme se prendre en photo devant un monument, c’est s’ancrer dans une situation pour commencer la communication, dire que l’on est là, avec telle ou telle personne. Paradoxalement, les ados ne répondent que rarement au téléphone, n’écoutent presque plus les messages vocaux. En cause notamment, le développement des messageries gratuites comme Facebook Messenger ou WhatsApp. Si la communication orale engage, l’écrit met de la distance tout en permettant de se dévoiler plus facilement. On se demande parfois s’il faut contrôler le contenu du portable de son ado. De nombreux parents avouent qu’ils regardent les messages Facebook de leur enfant. Les psychologues recommandent plutôt d’apprendre à discuter avec son enfant, en se montrant très ouvert pour lui permettre de se livrer en toute confiance. En revanche, il est très important de fixer des règles, comme de ne pas garder son portable dans sa chambre quand on dort, par exemple. Cela peut avoir un effet néfaste sur le sommeil, notamment à cause de la lumière bleue. On peut aussi mettre en place un contrôle parental pour limiter le temps passé sur le smartphone, en fonction de l’âge: on n’instaure pas la confiance de la même manière entre les parents et un ado de 12 ans ou un élève de terminale. Plus le portable engendre du conflit, plus il est important d’en faire un sujet central. En réalité, les ados adorent en parler aux adultes, montrer comment marche telle ou telle application, ce qui peut être très ludique. Et c’est aussi un facteur de rapprochement entre les parents et les enfants. 14. L’auteur dit que pour communiquer sur le réseau Snapchat, il faut... 1) avoir un compte personnalisé. 2) être connecté sur Facebook. 3) avoir sa photo sur le compte. 4) être autorisé par l’interlocuteur.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les ados et le portable Voir et être vu, communiquer et s’informer, partager et regarder: le téléphone portable est un élément central de la vie de nombreux adolescents. Les parents disent souvent à leur enfant: «Arrête de passer toute la journée sur ton portable», «Tu es tout le temps dessus». Ces tensions sont en réalité toujours révélatrices d’autre chose. Le smartphone fait apparaître des problématiques plus profondes entre parent et enfant, comme un manque de communication, par exemple. De nombreux parents ont l’impression que l’usage du smartphone les empêche de communiquer avec leur ado. Mais, il ne faut pas oublier que le rapport que l’ado entretient au monde extérieur a beaucoup évolué avec l’apparition du portable. En effet, grâce aux smartphones, ils sont constamment à la fois dedans et dehors. En même temps, c’est dans la nature de l’adolescent d’être renfermé. À cet âge, on vit une période de construction, on se reconnaît plus dans ses pairs que dans ses parents. Donc, le smartphone ne crée pas du conflit entre parent et enfant, il le cristallise. L’univers de l’adolescent reste pourtant obscur pour de nombreux adultes qui se demandent par exemple ce que font leurs enfants sur Snapchat. C’est un réseau social à part. La mécanique d’utilisateur ne suit pas la même logique que celle de Facebook par exemple. Sur Snapchat, on doit attendre la validation de la personne à laquelle on souhaite parler pour pouvoir communiquer avec elle. C’est donc forcément plus intime. En plus, l’application s’ouvre sur l’appareil photo. Cela incite à partager des images. Cette production de photos témoigne d’une volonté de personnalisation. On peut les annoter, y ajouter des dessins et les compiler dans des stories, qui regroupent plusieurs vidéos. Cela forme une sorte de journal intime où les ados se racontent, se découvrent et se voient eux-mêmes grandir. C’est un retour en force de l’écrit. Par ailleurs, prendre un selfie, c’est un peu comme se prendre en photo devant un monument, c’est s’ancrer dans une situation pour commencer la communication, dire que l’on est là, avec telle ou telle personne. Paradoxalement, les ados ne répondent que rarement au téléphone, n’écoutent presque plus les messages vocaux. En cause notamment, le développement des messageries gratuites comme Facebook Messenger ou WhatsApp. Si la communication orale engage, l’écrit met de la distance tout en permettant de se dévoiler plus facilement. On se demande parfois s’il faut contrôler le contenu du portable de son ado. De nombreux parents avouent qu’ils regardent les messages Facebook de leur enfant. Les psychologues recommandent plutôt d’apprendre à discuter avec son enfant, en se montrant très ouvert pour lui permettre de se livrer en toute confiance. En revanche, il est très important de fixer des règles, comme de ne pas garder son portable dans sa chambre quand on dort, par exemple. Cela peut avoir un effet néfaste sur le sommeil, notamment à cause de la lumière bleue. On peut aussi mettre en place un contrôle parental pour limiter le temps passé sur le smartphone, en fonction de l’âge: on n’instaure pas la confiance de la même manière entre les parents et un ado de 12 ans ou un élève de terminale. Plus le portable engendre du conflit, plus il est important d’en faire un sujet central. En réalité, les ados adorent en parler aux adultes, montrer comment marche telle ou telle application, ce qui peut être très ludique. Et c’est aussi un facteur de rapprochement entre les parents et les enfants. 15. L’auteur dit que Snapchat permet de… 1) renoncer à la communication par écrit. 2) remettre l’expression écrite à la mode. 3) créer un album de photos familial. 4) découvrir le monde autour de l’ado.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les ados et le portable Voir et être vu, communiquer et s’informer, partager et regarder: le téléphone portable est un élément central de la vie de nombreux adolescents. Les parents disent souvent à leur enfant: «Arrête de passer toute la journée sur ton portable», «Tu es tout le temps dessus». Ces tensions sont en réalité toujours révélatrices d’autre chose. Le smartphone fait apparaître des problématiques plus profondes entre parent et enfant, comme un manque de communication, par exemple. De nombreux parents ont l’impression que l’usage du smartphone les empêche de communiquer avec leur ado. Mais, il ne faut pas oublier que le rapport que l’ado entretient au monde extérieur a beaucoup évolué avec l’apparition du portable. En effet, grâce aux smartphones, ils sont constamment à la fois dedans et dehors. En même temps, c’est dans la nature de l’adolescent d’être renfermé. À cet âge, on vit une période de construction, on se reconnaît plus dans ses pairs que dans ses parents. Donc, le smartphone ne crée pas du conflit entre parent et enfant, il le cristallise. L’univers de l’adolescent reste pourtant obscur pour de nombreux adultes qui se demandent par exemple ce que font leurs enfants sur Snapchat. C’est un réseau social à part. La mécanique d’utilisateur ne suit pas la même logique que celle de Facebook par exemple. Sur Snapchat, on doit attendre la validation de la personne à laquelle on souhaite parler pour pouvoir communiquer avec elle. C’est donc forcément plus intime. En plus, l’application s’ouvre sur l’appareil photo. Cela incite à partager des images. Cette production de photos témoigne d’une volonté de personnalisation. On peut les annoter, y ajouter des dessins et les compiler dans des stories, qui regroupent plusieurs vidéos. Cela forme une sorte de journal intime où les ados se racontent, se découvrent et se voient eux-mêmes grandir. C’est un retour en force de l’écrit. Par ailleurs, prendre un selfie, c’est un peu comme se prendre en photo devant un monument, c’est s’ancrer dans une situation pour commencer la communication, dire que l’on est là, avec telle ou telle personne. Paradoxalement, les ados ne répondent que rarement au téléphone, n’écoutent presque plus les messages vocaux. En cause notamment, le développement des messageries gratuites comme Facebook Messenger ou WhatsApp. Si la communication orale engage, l’écrit met de la distance tout en permettant de se dévoiler plus facilement. On se demande parfois s’il faut contrôler le contenu du portable de son ado. De nombreux parents avouent qu’ils regardent les messages Facebook de leur enfant. Les psychologues recommandent plutôt d’apprendre à discuter avec son enfant, en se montrant très ouvert pour lui permettre de se livrer en toute confiance. En revanche, il est très important de fixer des règles, comme de ne pas garder son portable dans sa chambre quand on dort, par exemple. Cela peut avoir un effet néfaste sur le sommeil, notamment à cause de la lumière bleue. On peut aussi mettre en place un contrôle parental pour limiter le temps passé sur le smartphone, en fonction de l’âge: on n’instaure pas la confiance de la même manière entre les parents et un ado de 12 ans ou un élève de terminale. Plus le portable engendre du conflit, plus il est important d’en faire un sujet central. En réalité, les ados adorent en parler aux adultes, montrer comment marche telle ou telle application, ce qui peut être très ludique. Et c’est aussi un facteur de rapprochement entre les parents et les enfants. 16. Pour l’auteur, faire un selfie veut dire… 1) entamer une conversation. 2) inviter à visiter un endroit. 3) collectionner des curiosités. 4) remplacer son message par une image.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les ados et le portable Voir et être vu, communiquer et s’informer, partager et regarder: le téléphone portable est un élément central de la vie de nombreux adolescents. Les parents disent souvent à leur enfant: «Arrête de passer toute la journée sur ton portable», «Tu es tout le temps dessus». Ces tensions sont en réalité toujours révélatrices d’autre chose. Le smartphone fait apparaître des problématiques plus profondes entre parent et enfant, comme un manque de communication, par exemple. De nombreux parents ont l’impression que l’usage du smartphone les empêche de communiquer avec leur ado. Mais, il ne faut pas oublier que le rapport que l’ado entretient au monde extérieur a beaucoup évolué avec l’apparition du portable. En effet, grâce aux smartphones, ils sont constamment à la fois dedans et dehors. En même temps, c’est dans la nature de l’adolescent d’être renfermé. À cet âge, on vit une période de construction, on se reconnaît plus dans ses pairs que dans ses parents. Donc, le smartphone ne crée pas du conflit entre parent et enfant, il le cristallise. L’univers de l’adolescent reste pourtant obscur pour de nombreux adultes qui se demandent par exemple ce que font leurs enfants sur Snapchat. C’est un réseau social à part. La mécanique d’utilisateur ne suit pas la même logique que celle de Facebook par exemple. Sur Snapchat, on doit attendre la validation de la personne à laquelle on souhaite parler pour pouvoir communiquer avec elle. C’est donc forcément plus intime. En plus, l’application s’ouvre sur l’appareil photo. Cela incite à partager des images. Cette production de photos témoigne d’une volonté de personnalisation. On peut les annoter, y ajouter des dessins et les compiler dans des stories, qui regroupent plusieurs vidéos. Cela forme une sorte de journal intime où les ados se racontent, se découvrent et se voient eux-mêmes grandir. C’est un retour en force de l’écrit. Par ailleurs, prendre un selfie, c’est un peu comme se prendre en photo devant un monument, c’est s’ancrer dans une situation pour commencer la communication, dire que l’on est là, avec telle ou telle personne. Paradoxalement, les ados ne répondent que rarement au téléphone, n’écoutent presque plus les messages vocaux. En cause notamment, le développement des messageries gratuites comme Facebook Messenger ou WhatsApp. Si la communication orale engage, l’écrit met de la distance tout en permettant de se dévoiler plus facilement. On se demande parfois s’il faut contrôler le contenu du portable de son ado. De nombreux parents avouent qu’ils regardent les messages Facebook de leur enfant. Les psychologues recommandent plutôt d’apprendre à discuter avec son enfant, en se montrant très ouvert pour lui permettre de se livrer en toute confiance. En revanche, il est très important de fixer des règles, comme de ne pas garder son portable dans sa chambre quand on dort, par exemple. Cela peut avoir un effet néfaste sur le sommeil, notamment à cause de la lumière bleue. On peut aussi mettre en place un contrôle parental pour limiter le temps passé sur le smartphone, en fonction de l’âge: on n’instaure pas la confiance de la même manière entre les parents et un ado de 12 ans ou un élève de terminale. Plus le portable engendre du conflit, plus il est important d’en faire un sujet central. En réalité, les ados adorent en parler aux adultes, montrer comment marche telle ou telle application, ce qui peut être très ludique. Et c’est aussi un facteur de rapprochement entre les parents et les enfants. 17. Selon le texte, les ados utilisent rarement le téléphone portable pour… 1) envoyer des SMS. 2) prendre des photos. 3) parler de vive voix. 4) faire des vidéos.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les ados et le portable Voir et être vu, communiquer et s’informer, partager et regarder: le téléphone portable est un élément central de la vie de nombreux adolescents. Les parents disent souvent à leur enfant: «Arrête de passer toute la journée sur ton portable», «Tu es tout le temps dessus». Ces tensions sont en réalité toujours révélatrices d’autre chose. Le smartphone fait apparaître des problématiques plus profondes entre parent et enfant, comme un manque de communication, par exemple. De nombreux parents ont l’impression que l’usage du smartphone les empêche de communiquer avec leur ado. Mais, il ne faut pas oublier que le rapport que l’ado entretient au monde extérieur a beaucoup évolué avec l’apparition du portable. En effet, grâce aux smartphones, ils sont constamment à la fois dedans et dehors. En même temps, c’est dans la nature de l’adolescent d’être renfermé. À cet âge, on vit une période de construction, on se reconnaît plus dans ses pairs que dans ses parents. Donc, le smartphone ne crée pas du conflit entre parent et enfant, il le cristallise. L’univers de l’adolescent reste pourtant obscur pour de nombreux adultes qui se demandent par exemple ce que font leurs enfants sur Snapchat. C’est un réseau social à part. La mécanique d’utilisateur ne suit pas la même logique que celle de Facebook par exemple. Sur Snapchat, on doit attendre la validation de la personne à laquelle on souhaite parler pour pouvoir communiquer avec elle. C’est donc forcément plus intime. En plus, l’application s’ouvre sur l’appareil photo. Cela incite à partager des images. Cette production de photos témoigne d’une volonté de personnalisation. On peut les annoter, y ajouter des dessins et les compiler dans des stories, qui regroupent plusieurs vidéos. Cela forme une sorte de journal intime où les ados se racontent, se découvrent et se voient eux-mêmes grandir. C’est un retour en force de l’écrit. Par ailleurs, prendre un selfie, c’est un peu comme se prendre en photo devant un monument, c’est s’ancrer dans une situation pour commencer la communication, dire que l’on est là, avec telle ou telle personne. Paradoxalement, les ados ne répondent que rarement au téléphone, n’écoutent presque plus les messages vocaux. En cause notamment, le développement des messageries gratuites comme Facebook Messenger ou WhatsApp. Si la communication orale engage, l’écrit met de la distance tout en permettant de se dévoiler plus facilement. On se demande parfois s’il faut contrôler le contenu du portable de son ado. De nombreux parents avouent qu’ils regardent les messages Facebook de leur enfant. Les psychologues recommandent plutôt d’apprendre à discuter avec son enfant, en se montrant très ouvert pour lui permettre de se livrer en toute confiance. En revanche, il est très important de fixer des règles, comme de ne pas garder son portable dans sa chambre quand on dort, par exemple. Cela peut avoir un effet néfaste sur le sommeil, notamment à cause de la lumière bleue. On peut aussi mettre en place un contrôle parental pour limiter le temps passé sur le smartphone, en fonction de l’âge: on n’instaure pas la confiance de la même manière entre les parents et un ado de 12 ans ou un élève de terminale. Plus le portable engendre du conflit, plus il est important d’en faire un sujet central. En réalité, les ados adorent en parler aux adultes, montrer comment marche telle ou telle application, ce qui peut être très ludique. Et c’est aussi un facteur de rapprochement entre les parents et les enfants. 18. Qu’est-ce que les parents ne doivent pas faire, selon l’opinion de l’auteur, en exerçant le contrôle sur l’utilisation du portable par leur enfant? 1) Réduire l’utilisation du portable par l’enfant. 2) Faire parler l’enfant de ce qu’il fait sur Internet. 3) Interdire le portable dans certains lieux. 4) Suivre la communication de l’ado sur le réseau social.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Un téléphone portable Au début, vous n’en voyiez pas vraiment l’utilité, mais pour ne pas paraître dépassée, vous vous êtes laissé tenter par un modèle très simple avec un forfait basique. Les premiers temps, vous vous êtes parfois surprise à bavarder un peu fort, au restaurant, dans le train ou à la terrasse des cafés. C’est vrai que c’était pratique et rassurant d’avoir toujours la famille et les amis à portée de voix. Comme tout le monde, vous avez appris à rédiger des SMS en tapant sur un clavier minuscule et vous vous êtes habituée à en envoyer à tour de bras. Comme tout le monde, vous avez renoncé à votre agenda pour le remplacer par sa version électronique. Avec application, vous avez saisi dans le répertoire les numéros de vos connaissances, de votre famille. Vous y avez camouflé le code de votre carte bleue qu’il vous arrive d’oublier. Même si vous preniez des clichés ridicules, vous avez utilisé l’appareil de votre portable. C’était sympa d’avoir toujours sur soi une photo rigolote à montrer aux collègues. D’ailleurs, tout le monde faisait pareil. L’objet collait à l’époque: les cloisons s’effaçaient entre vie intime, vie professionnelle et vie sociale. Surtout, le quotidien était devenu plus urgent, plus flexible, nécessitant en permanence de jongler avec votre emploi du temps. Récemment, vous avez changé votre vieil appareil contre un modèle plus perfectionné: une petite merveille vous permettant d’avoir accès à vos mails, de naviguer sur Internet et d’y télécharger des centaines d’applications. C’est là que vous êtes devenue accro. Comme greffé à votre corps, votre mobile est désormais un prolongement de vous-même qui vous accompagne jusque dans votre salle de bains ou vos toilettes. Où que vous soyez, vous laissez rarement passer plus d’une demi-heure sans regarder votre écran, guettant un appel resté en absence, un message intime ou amical. Et si votre boîte mail est vide, vous cliquez pour vérifier qu’aucun courrier n’est en attente. Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Mais un soir, en rentrant, vous fouillez vos poches puis votre sac et vous prenez conscience que votre mobile a disparu. Perdu? Volé? Non, vous refusez d’y croire. Vous vérifiez à nouveau sans plus de succès, essayant de vous persuader que vous l’avez oublié au bureau, mais... non: vous vous souvenez de l’avoir consulté dans l’ascenseur en quittant le boulot et - sans doute - dans le métro et dans le bus. D’abord, vous êtes en colère à cause de la perte de l’appareil lui-même, puis vous vous félicitez d’avoir souscrit cette assurance “vol/perte/casse”, tout en comptant les points de fidélité qui, dès demain, vous permettront de vous offrir un nouveau jouet high-tech et tactile. Pourtant, à 3 heures du matin, vous n’avez toujours pas réussi à trouver le sommeil... Vous vous levez sans bruit. Vous faites l’inventaire de tout ce que contient votre téléphone: quelques vidéos, une cinquantaine de photos, l’historique de votre navigation sur Internet, votre adresse (y compris le code de la porte d’entrée de l’immeuble), celle de vos parents... En apparence, il n’y a rien de vraiment compromettant, mais vous savez bien que les apparences sont trompeuses. Ce qui vous inquiète, c’est que votre appareil ait atterri entre des mains malintentionnées. Déjà, vous regrettez certaines photos, certains mails, certaines conversations. Le passé, la famille, l’argent... En cherchant bien, quelqu’un qui voudrait vous nuire aurait de quoi briser votre vie. Vous regrettez, mais les regrets ne servent plus à rien. D’après Guillaume Musso “L’appel de l’ange” 12. Au début de son utilisation, en quoi voit-on le côté pratique du téléphone portable? 1) Avoir toujours la possibilité de joindre la famille et les amis. 2) Parler au téléphone au restaurant. 3) Bavarder dans le train. 4) Discuter à la terrasse des cafés.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Un téléphone portable Au début, vous n’en voyiez pas vraiment l’utilité, mais pour ne pas paraître dépassée, vous vous êtes laissé tenter par un modèle très simple avec un forfait basique. Les premiers temps, vous vous êtes parfois surprise à bavarder un peu fort, au restaurant, dans le train ou à la terrasse des cafés. C’est vrai que c’était pratique et rassurant d’avoir toujours la famille et les amis à portée de voix. Comme tout le monde, vous avez appris à rédiger des SMS en tapant sur un clavier minuscule et vous vous êtes habituée à en envoyer à tour de bras. Comme tout le monde, vous avez renoncé à votre agenda pour le remplacer par sa version électronique. Avec application, vous avez saisi dans le répertoire les numéros de vos connaissances, de votre famille. Vous y avez camouflé le code de votre carte bleue qu’il vous arrive d’oublier. Même si vous preniez des clichés ridicules, vous avez utilisé l’appareil de votre portable. C’était sympa d’avoir toujours sur soi une photo rigolote à montrer aux collègues. D’ailleurs, tout le monde faisait pareil. L’objet collait à l’époque: les cloisons s’effaçaient entre vie intime, vie professionnelle et vie sociale. Surtout, le quotidien était devenu plus urgent, plus flexible, nécessitant en permanence de jongler avec votre emploi du temps. Récemment, vous avez changé votre vieil appareil contre un modèle plus perfectionné: une petite merveille vous permettant d’avoir accès à vos mails, de naviguer sur Internet et d’y télécharger des centaines d’applications. C’est là que vous êtes devenue accro. Comme greffé à votre corps, votre mobile est désormais un prolongement de vous-même qui vous accompagne jusque dans votre salle de bains ou vos toilettes. Où que vous soyez, vous laissez rarement passer plus d’une demi-heure sans regarder votre écran, guettant un appel resté en absence, un message intime ou amical. Et si votre boîte mail est vide, vous cliquez pour vérifier qu’aucun courrier n’est en attente. Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Mais un soir, en rentrant, vous fouillez vos poches puis votre sac et vous prenez conscience que votre mobile a disparu. Perdu? Volé? Non, vous refusez d’y croire. Vous vérifiez à nouveau sans plus de succès, essayant de vous persuader que vous l’avez oublié au bureau, mais... non: vous vous souvenez de l’avoir consulté dans l’ascenseur en quittant le boulot et - sans doute - dans le métro et dans le bus. D’abord, vous êtes en colère à cause de la perte de l’appareil lui-même, puis vous vous félicitez d’avoir souscrit cette assurance “vol/perte/casse”, tout en comptant les points de fidélité qui, dès demain, vous permettront de vous offrir un nouveau jouet high-tech et tactile. Pourtant, à 3 heures du matin, vous n’avez toujours pas réussi à trouver le sommeil... Vous vous levez sans bruit. Vous faites l’inventaire de tout ce que contient votre téléphone: quelques vidéos, une cinquantaine de photos, l’historique de votre navigation sur Internet, votre adresse (y compris le code de la porte d’entrée de l’immeuble), celle de vos parents... En apparence, il n’y a rien de vraiment compromettant, mais vous savez bien que les apparences sont trompeuses. Ce qui vous inquiète, c’est que votre appareil ait atterri entre des mains malintentionnées. Déjà, vous regrettez certaines photos, certains mails, certaines conversations. Le passé, la famille, l’argent... En cherchant bien, quelqu’un qui voudrait vous nuire aurait de quoi briser votre vie. Vous regrettez, mais les regrets ne servent plus à rien. D’après Guillaume Musso “L’appel de l’ange” 13. Qu’est-ce que l’auteur du texte n’a pas appris à faire avec son portable? 1) Rédiger des SMS et les envoyer à tour de bras. 2) Remplacer l’agenda par sa version électronique. 3) Saisir dans le répertoire les numéros de téléphone utiles. 4) Créer des vidéos de vacances et fêtes.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Un téléphone portable Au début, vous n’en voyiez pas vraiment l’utilité, mais pour ne pas paraître dépassée, vous vous êtes laissé tenter par un modèle très simple avec un forfait basique. Les premiers temps, vous vous êtes parfois surprise à bavarder un peu fort, au restaurant, dans le train ou à la terrasse des cafés. C’est vrai que c’était pratique et rassurant d’avoir toujours la famille et les amis à portée de voix. Comme tout le monde, vous avez appris à rédiger des SMS en tapant sur un clavier minuscule et vous vous êtes habituée à en envoyer à tour de bras. Comme tout le monde, vous avez renoncé à votre agenda pour le remplacer par sa version électronique. Avec application, vous avez saisi dans le répertoire les numéros de vos connaissances, de votre famille. Vous y avez camouflé le code de votre carte bleue qu’il vous arrive d’oublier. Même si vous preniez des clichés ridicules, vous avez utilisé l’appareil de votre portable. C’était sympa d’avoir toujours sur soi une photo rigolote à montrer aux collègues. D’ailleurs, tout le monde faisait pareil. L’objet collait à l’époque: les cloisons s’effaçaient entre vie intime, vie professionnelle et vie sociale. Surtout, le quotidien était devenu plus urgent, plus flexible, nécessitant en permanence de jongler avec votre emploi du temps. Récemment, vous avez changé votre vieil appareil contre un modèle plus perfectionné: une petite merveille vous permettant d’avoir accès à vos mails, de naviguer sur Internet et d’y télécharger des centaines d’applications. C’est là que vous êtes devenue accro. Comme greffé à votre corps, votre mobile est désormais un prolongement de vous-même qui vous accompagne jusque dans votre salle de bains ou vos toilettes. Où que vous soyez, vous laissez rarement passer plus d’une demi-heure sans regarder votre écran, guettant un appel resté en absence, un message intime ou amical. Et si votre boîte mail est vide, vous cliquez pour vérifier qu’aucun courrier n’est en attente. Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Mais un soir, en rentrant, vous fouillez vos poches puis votre sac et vous prenez conscience que votre mobile a disparu. Perdu? Volé? Non, vous refusez d’y croire. Vous vérifiez à nouveau sans plus de succès, essayant de vous persuader que vous l’avez oublié au bureau, mais... non: vous vous souvenez de l’avoir consulté dans l’ascenseur en quittant le boulot et - sans doute - dans le métro et dans le bus. D’abord, vous êtes en colère à cause de la perte de l’appareil lui-même, puis vous vous félicitez d’avoir souscrit cette assurance “vol/perte/casse”, tout en comptant les points de fidélité qui, dès demain, vous permettront de vous offrir un nouveau jouet high-tech et tactile. Pourtant, à 3 heures du matin, vous n’avez toujours pas réussi à trouver le sommeil... Vous vous levez sans bruit. Vous faites l’inventaire de tout ce que contient votre téléphone: quelques vidéos, une cinquantaine de photos, l’historique de votre navigation sur Internet, votre adresse (y compris le code de la porte d’entrée de l’immeuble), celle de vos parents... En apparence, il n’y a rien de vraiment compromettant, mais vous savez bien que les apparences sont trompeuses. Ce qui vous inquiète, c’est que votre appareil ait atterri entre des mains malintentionnées. Déjà, vous regrettez certaines photos, certains mails, certaines conversations. Le passé, la famille, l’argent... En cherchant bien, quelqu’un qui voudrait vous nuire aurait de quoi briser votre vie. Vous regrettez, mais les regrets ne servent plus à rien. D’après Guillaume Musso “L’appel de l’ange” 14. Quelles photos prend-on d’habitude avec le portable? 1) Des photos de famille. 2) De beaux paysages. 3) Des clichés amusants. 4) Des documents importants.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Un téléphone portable Au début, vous n’en voyiez pas vraiment l’utilité, mais pour ne pas paraître dépassée, vous vous êtes laissé tenter par un modèle très simple avec un forfait basique. Les premiers temps, vous vous êtes parfois surprise à bavarder un peu fort, au restaurant, dans le train ou à la terrasse des cafés. C’est vrai que c’était pratique et rassurant d’avoir toujours la famille et les amis à portée de voix. Comme tout le monde, vous avez appris à rédiger des SMS en tapant sur un clavier minuscule et vous vous êtes habituée à en envoyer à tour de bras. Comme tout le monde, vous avez renoncé à votre agenda pour le remplacer par sa version électronique. Avec application, vous avez saisi dans le répertoire les numéros de vos connaissances, de votre famille. Vous y avez camouflé le code de votre carte bleue qu’il vous arrive d’oublier. Même si vous preniez des clichés ridicules, vous avez utilisé l’appareil de votre portable. C’était sympa d’avoir toujours sur soi une photo rigolote à montrer aux collègues. D’ailleurs, tout le monde faisait pareil. L’objet collait à l’époque: les cloisons s’effaçaient entre vie intime, vie professionnelle et vie sociale. Surtout, le quotidien était devenu plus urgent, plus flexible, nécessitant en permanence de jongler avec votre emploi du temps. Récemment, vous avez changé votre vieil appareil contre un modèle plus perfectionné: une petite merveille vous permettant d’avoir accès à vos mails, de naviguer sur Internet et d’y télécharger des centaines d’applications. C’est là que vous êtes devenue accro. Comme greffé à votre corps, votre mobile est désormais un prolongement de vous-même qui vous accompagne jusque dans votre salle de bains ou vos toilettes. Où que vous soyez, vous laissez rarement passer plus d’une demi-heure sans regarder votre écran, guettant un appel resté en absence, un message intime ou amical. Et si votre boîte mail est vide, vous cliquez pour vérifier qu’aucun courrier n’est en attente. Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Mais un soir, en rentrant, vous fouillez vos poches puis votre sac et vous prenez conscience que votre mobile a disparu. Perdu? Volé? Non, vous refusez d’y croire. Vous vérifiez à nouveau sans plus de succès, essayant de vous persuader que vous l’avez oublié au bureau, mais... non: vous vous souvenez de l’avoir consulté dans l’ascenseur en quittant le boulot et - sans doute - dans le métro et dans le bus. D’abord, vous êtes en colère à cause de la perte de l’appareil lui-même, puis vous vous félicitez d’avoir souscrit cette assurance “vol/perte/casse”, tout en comptant les points de fidélité qui, dès demain, vous permettront de vous offrir un nouveau jouet high-tech et tactile. Pourtant, à 3 heures du matin, vous n’avez toujours pas réussi à trouver le sommeil... Vous vous levez sans bruit. Vous faites l’inventaire de tout ce que contient votre téléphone: quelques vidéos, une cinquantaine de photos, l’historique de votre navigation sur Internet, votre adresse (y compris le code de la porte d’entrée de l’immeuble), celle de vos parents... En apparence, il n’y a rien de vraiment compromettant, mais vous savez bien que les apparences sont trompeuses. Ce qui vous inquiète, c’est que votre appareil ait atterri entre des mains malintentionnées. Déjà, vous regrettez certaines photos, certains mails, certaines conversations. Le passé, la famille, l’argent... En cherchant bien, quelqu’un qui voudrait vous nuire aurait de quoi briser votre vie. Vous regrettez, mais les regrets ne servent plus à rien. D’après Guillaume Musso “L’appel de l’ange” 15. Comment identifier un accro de portable? 1) On parle fort au téléphone portable. 2) Le mobile est désormais un prolongement de son propriétaire. 3) On achète un modèle plus perfectionné. 4) On navigue tout le temps sur Internet.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Un téléphone portable Au début, vous n’en voyiez pas vraiment l’utilité, mais pour ne pas paraître dépassée, vous vous êtes laissé tenter par un modèle très simple avec un forfait basique. Les premiers temps, vous vous êtes parfois surprise à bavarder un peu fort, au restaurant, dans le train ou à la terrasse des cafés. C’est vrai que c’était pratique et rassurant d’avoir toujours la famille et les amis à portée de voix. Comme tout le monde, vous avez appris à rédiger des SMS en tapant sur un clavier minuscule et vous vous êtes habituée à en envoyer à tour de bras. Comme tout le monde, vous avez renoncé à votre agenda pour le remplacer par sa version électronique. Avec application, vous avez saisi dans le répertoire les numéros de vos connaissances, de votre famille. Vous y avez camouflé le code de votre carte bleue qu’il vous arrive d’oublier. Même si vous preniez des clichés ridicules, vous avez utilisé l’appareil de votre portable. C’était sympa d’avoir toujours sur soi une photo rigolote à montrer aux collègues. D’ailleurs, tout le monde faisait pareil. L’objet collait à l’époque: les cloisons s’effaçaient entre vie intime, vie professionnelle et vie sociale. Surtout, le quotidien était devenu plus urgent, plus flexible, nécessitant en permanence de jongler avec votre emploi du temps. Récemment, vous avez changé votre vieil appareil contre un modèle plus perfectionné: une petite merveille vous permettant d’avoir accès à vos mails, de naviguer sur Internet et d’y télécharger des centaines d’applications. C’est là que vous êtes devenue accro. Comme greffé à votre corps, votre mobile est désormais un prolongement de vous-même qui vous accompagne jusque dans votre salle de bains ou vos toilettes. Où que vous soyez, vous laissez rarement passer plus d’une demi-heure sans regarder votre écran, guettant un appel resté en absence, un message intime ou amical. Et si votre boîte mail est vide, vous cliquez pour vérifier qu’aucun courrier n’est en attente. Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Mais un soir, en rentrant, vous fouillez vos poches puis votre sac et vous prenez conscience que votre mobile a disparu. Perdu? Volé? Non, vous refusez d’y croire. Vous vérifiez à nouveau sans plus de succès, essayant de vous persuader que vous l’avez oublié au bureau, mais... non: vous vous souvenez de l’avoir consulté dans l’ascenseur en quittant le boulot et - sans doute - dans le métro et dans le bus. D’abord, vous êtes en colère à cause de la perte de l’appareil lui-même, puis vous vous félicitez d’avoir souscrit cette assurance “vol/perte/casse”, tout en comptant les points de fidélité qui, dès demain, vous permettront de vous offrir un nouveau jouet high-tech et tactile. Pourtant, à 3 heures du matin, vous n’avez toujours pas réussi à trouver le sommeil... Vous vous levez sans bruit. Vous faites l’inventaire de tout ce que contient votre téléphone: quelques vidéos, une cinquantaine de photos, l’historique de votre navigation sur Internet, votre adresse (y compris le code de la porte d’entrée de l’immeuble), celle de vos parents... En apparence, il n’y a rien de vraiment compromettant, mais vous savez bien que les apparences sont trompeuses. Ce qui vous inquiète, c’est que votre appareil ait atterri entre des mains malintentionnées. Déjà, vous regrettez certaines photos, certains mails, certaines conversations. Le passé, la famille, l’argent... En cherchant bien, quelqu’un qui voudrait vous nuire aurait de quoi briser votre vie. Vous regrettez, mais les regrets ne servent plus à rien. D’après Guillaume Musso “L’appel de l’ange” 16. Que fait-on d’habitude si la boîte mail est vide? 1) On éteint le portable. 2) On clique pour vérifier qu’aucun courrier n’est en attente. 3) On écrit des mails à tout le monde. 4) On commence à se faire des soucis.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Un téléphone portable Au début, vous n’en voyiez pas vraiment l’utilité, mais pour ne pas paraître dépassée, vous vous êtes laissé tenter par un modèle très simple avec un forfait basique. Les premiers temps, vous vous êtes parfois surprise à bavarder un peu fort, au restaurant, dans le train ou à la terrasse des cafés. C’est vrai que c’était pratique et rassurant d’avoir toujours la famille et les amis à portée de voix. Comme tout le monde, vous avez appris à rédiger des SMS en tapant sur un clavier minuscule et vous vous êtes habituée à en envoyer à tour de bras. Comme tout le monde, vous avez renoncé à votre agenda pour le remplacer par sa version électronique. Avec application, vous avez saisi dans le répertoire les numéros de vos connaissances, de votre famille. Vous y avez camouflé le code de votre carte bleue qu’il vous arrive d’oublier. Même si vous preniez des clichés ridicules, vous avez utilisé l’appareil de votre portable. C’était sympa d’avoir toujours sur soi une photo rigolote à montrer aux collègues. D’ailleurs, tout le monde faisait pareil. L’objet collait à l’époque: les cloisons s’effaçaient entre vie intime, vie professionnelle et vie sociale. Surtout, le quotidien était devenu plus urgent, plus flexible, nécessitant en permanence de jongler avec votre emploi du temps. Récemment, vous avez changé votre vieil appareil contre un modèle plus perfectionné: une petite merveille vous permettant d’avoir accès à vos mails, de naviguer sur Internet et d’y télécharger des centaines d’applications. C’est là que vous êtes devenue accro. Comme greffé à votre corps, votre mobile est désormais un prolongement de vous-même qui vous accompagne jusque dans votre salle de bains ou vos toilettes. Où que vous soyez, vous laissez rarement passer plus d’une demi-heure sans regarder votre écran, guettant un appel resté en absence, un message intime ou amical. Et si votre boîte mail est vide, vous cliquez pour vérifier qu’aucun courrier n’est en attente. Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Mais un soir, en rentrant, vous fouillez vos poches puis votre sac et vous prenez conscience que votre mobile a disparu. Perdu? Volé? Non, vous refusez d’y croire. Vous vérifiez à nouveau sans plus de succès, essayant de vous persuader que vous l’avez oublié au bureau, mais... non: vous vous souvenez de l’avoir consulté dans l’ascenseur en quittant le boulot et - sans doute - dans le métro et dans le bus. D’abord, vous êtes en colère à cause de la perte de l’appareil lui-même, puis vous vous félicitez d’avoir souscrit cette assurance “vol/perte/casse”, tout en comptant les points de fidélité qui, dès demain, vous permettront de vous offrir un nouveau jouet high-tech et tactile. Pourtant, à 3 heures du matin, vous n’avez toujours pas réussi à trouver le sommeil... Vous vous levez sans bruit. Vous faites l’inventaire de tout ce que contient votre téléphone: quelques vidéos, une cinquantaine de photos, l’historique de votre navigation sur Internet, votre adresse (y compris le code de la porte d’entrée de l’immeuble), celle de vos parents... En apparence, il n’y a rien de vraiment compromettant, mais vous savez bien que les apparences sont trompeuses. Ce qui vous inquiète, c’est que votre appareil ait atterri entre des mains malintentionnées. Déjà, vous regrettez certaines photos, certains mails, certaines conversations. Le passé, la famille, l’argent... En cherchant bien, quelqu’un qui voudrait vous nuire aurait de quoi briser votre vie. Vous regrettez, mais les regrets ne servent plus à rien. D’après Guillaume Musso “L’appel de l’ange” 17. Pourquoi regrette-t-on la perte du portable? 1) Il était très cher, high-tech et tactile. 2) C’était le cadeau des parents. 3) On n’a pas souscrit l’assurance contre le vol ou la perte du mobile. 4) Il y avait trop de données intimes.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Un téléphone portable Au début, vous n’en voyiez pas vraiment l’utilité, mais pour ne pas paraître dépassée, vous vous êtes laissé tenter par un modèle très simple avec un forfait basique. Les premiers temps, vous vous êtes parfois surprise à bavarder un peu fort, au restaurant, dans le train ou à la terrasse des cafés. C’est vrai que c’était pratique et rassurant d’avoir toujours la famille et les amis à portée de voix. Comme tout le monde, vous avez appris à rédiger des SMS en tapant sur un clavier minuscule et vous vous êtes habituée à en envoyer à tour de bras. Comme tout le monde, vous avez renoncé à votre agenda pour le remplacer par sa version électronique. Avec application, vous avez saisi dans le répertoire les numéros de vos connaissances, de votre famille. Vous y avez camouflé le code de votre carte bleue qu’il vous arrive d’oublier. Même si vous preniez des clichés ridicules, vous avez utilisé l’appareil de votre portable. C’était sympa d’avoir toujours sur soi une photo rigolote à montrer aux collègues. D’ailleurs, tout le monde faisait pareil. L’objet collait à l’époque: les cloisons s’effaçaient entre vie intime, vie professionnelle et vie sociale. Surtout, le quotidien était devenu plus urgent, plus flexible, nécessitant en permanence de jongler avec votre emploi du temps. Récemment, vous avez changé votre vieil appareil contre un modèle plus perfectionné: une petite merveille vous permettant d’avoir accès à vos mails, de naviguer sur Internet et d’y télécharger des centaines d’applications. C’est là que vous êtes devenue accro. Comme greffé à votre corps, votre mobile est désormais un prolongement de vous-même qui vous accompagne jusque dans votre salle de bains ou vos toilettes. Où que vous soyez, vous laissez rarement passer plus d’une demi-heure sans regarder votre écran, guettant un appel resté en absence, un message intime ou amical. Et si votre boîte mail est vide, vous cliquez pour vérifier qu’aucun courrier n’est en attente. Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Mais un soir, en rentrant, vous fouillez vos poches puis votre sac et vous prenez conscience que votre mobile a disparu. Perdu? Volé? Non, vous refusez d’y croire. Vous vérifiez à nouveau sans plus de succès, essayant de vous persuader que vous l’avez oublié au bureau, mais... non: vous vous souvenez de l’avoir consulté dans l’ascenseur en quittant le boulot et - sans doute - dans le métro et dans le bus. D’abord, vous êtes en colère à cause de la perte de l’appareil lui-même, puis vous vous félicitez d’avoir souscrit cette assurance “vol/perte/casse”, tout en comptant les points de fidélité qui, dès demain, vous permettront de vous offrir un nouveau jouet high-tech et tactile. Pourtant, à 3 heures du matin, vous n’avez toujours pas réussi à trouver le sommeil... Vous vous levez sans bruit. Vous faites l’inventaire de tout ce que contient votre téléphone: quelques vidéos, une cinquantaine de photos, l’historique de votre navigation sur Internet, votre adresse (y compris le code de la porte d’entrée de l’immeuble), celle de vos parents... En apparence, il n’y a rien de vraiment compromettant, mais vous savez bien que les apparences sont trompeuses. Ce qui vous inquiète, c’est que votre appareil ait atterri entre des mains malintentionnées. Déjà, vous regrettez certaines photos, certains mails, certaines conversations. Le passé, la famille, l’argent... En cherchant bien, quelqu’un qui voudrait vous nuire aurait de quoi briser votre vie. Vous regrettez, mais les regrets ne servent plus à rien. D’après Guillaume Musso “L’appel de l’ange” 18. Quelle phrase n’appartient pas au texte? 1) En cherchant bien, quelqu’un qui voudrait vous nuire aurait de quoi briser votre vie. 2) Vous regrettez, mais les regrets ne servent plus à rien. 3) La modernité n’avait pas complètement arraché ses enfants à la vie de plein air. 4) Ce qui vous inquiète, c’est que votre appareil ait atterri entre des mains malintentionnées.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Comédies musicales: la recette d’un succès Un pour tous, tous pour un! Depuis cet automne, «Les 3 mousquetaires» ont du succès au Palais des sports de Paris, avant leur tournée en France. Cet hiver, ce sont plus d’une dizaine de comédies musicales qui s’affichent à Paris. Ce genre de spectacle a fini par faire s’enflammer le cœur des Français, selon la recette bien établie de grands spectacles conçus pour plaire à un large public. À commencer par le choix d’un casting talentueux. Dans «Les 3 mousquetaires», cet ingrédient ne manque pas! Les têtes d’affiche ont été choisies il y a plus de deux ans. Trois des principaux membres de la troupe se sont illustrés dans une émission de télé très suivie «Danse avec les stars». À ces têtes d’affiche, s’ajoute une troupe de 23 danseurs sévèrement sélectionnés. Rien que du beau monde pour incarner les personnages imaginés par Alexandre Dumas. Le cœur d’une comédie musicale, c’est son livret! Pour avoir du succès, une «bonne histoire» s’impose, propice à l’évasion et à des scènes joyeuses. En choisissant «Les 3 mousquetaires» - roman d’Alexandre Dumas paru en 1844, les producteurs étaient sûrs de ne pas se tromper. Le roman de cape et d’épée, qui réunit action, passion et beaux garçons, plaît à tout le monde, quelle que soit l’époque. D’ailleurs, c’est l’un des livres les plus lus et les mieux adaptés au monde! Il a inspiré de nombreux réalisateurs de ciné, des metteurs en scène au théâtre, des auteurs de BD et plus récemment «Musketeers», une série anglaise de la BBC qui a battu des records d’audience. «Les thèmes de ce roman populaire plaisent aussi bien aux enfants qu’à leurs parents», ajoute Roberto Ciurleo, l’un des producteurs du spectacle. Et sur scène, place à la modernité! Costumes en cuir bleu dur pour les mousquetaires et d’Artagnan, tenues streetwear pour les danseurs, chorégraphies de dingue… Voilà ce qu’on appelle dépoussiérer un classique! Pour la réussite de la comédie musicale, ses chansons doivent vivre à l’intérieur du show mais aussi en dehors. Entendu dès le matin, la chanson qui ouvre le spectacle ne vous quittera plus de la journée. Comme les autres mélodies du spectacle. L’astuce? Ces airs sont devenus des tubes, c’est-à-dire des chansons populaires, bien avant le lancement du spectacle sur scène. C’est d’ailleurs une des clés de cette grande aventure. Lancer une comédie musicale sans moyens, cela ne marchera pas. L’argent, c’est l’ingrédient de base d’un show bien décidé à marcher. Parce qu’entre la location des salles, les décors, les costumes, les cachets des artistes... c’est en millions d’euros que se calcule le budget de grands spectacles. Autre ingrédient indispensable d’une comédie musicale: la promo! Celle-ci se doit de démarrer longtemps avant la première du spectacle pour le faire connaître et donner envie aux spectateurs de se déplacer. Par ailleurs, un site spécifique dédié à la comédie musicale est créé sur Internet. La production y poste les vidéos des castings, les clips des différentes chansons, les entraînements d’escrime... Tout cela évidemment relayé sur les réseaux sociaux. Hypers connectés, les artistes passent leurs journées à poster photos ou vidéos, à répondre à leurs fans sur Twitter, etc. Et la suite s’enchaîne, parfaitement orchestrée: après le premier single du spectacle c’est l’album qui sort. Entre les deux, les tubes tombent comme s’il en pleuvait. Les artistes, eux, multiplient les émissions de télé, de radio, se produisent dans toute la France. Bref, six mois avant la première, personne ne peut ignorer qu’une nouvelle comédie musicale est en train de débarquer avec fracas. Son nom? «Les 3 mousquetaires», bien sûr! 12. Selon le texte, les personnages principaux d’une comédie musicale doivent être incarnés par… 1) des personnes travaillant à la télé. 2) de belles personnes. 3) des artistes qui ont été montrés à la télé. 4) des gens connaissant bien l’œuvre adaptée.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Comédies musicales: la recette d’un succès Un pour tous, tous pour un! Depuis cet automne, «Les 3 mousquetaires» ont du succès au Palais des sports de Paris, avant leur tournée en France. Cet hiver, ce sont plus d’une dizaine de comédies musicales qui s’affichent à Paris. Ce genre de spectacle a fini par faire s’enflammer le cœur des Français, selon la recette bien établie de grands spectacles conçus pour plaire à un large public. À commencer par le choix d’un casting talentueux. Dans «Les 3 mousquetaires», cet ingrédient ne manque pas! Les têtes d’affiche ont été choisies il y a plus de deux ans. Trois des principaux membres de la troupe se sont illustrés dans une émission de télé très suivie «Danse avec les stars». À ces têtes d’affiche, s’ajoute une troupe de 23 danseurs sévèrement sélectionnés. Rien que du beau monde pour incarner les personnages imaginés par Alexandre Dumas. Le cœur d’une comédie musicale, c’est son livret! Pour avoir du succès, une «bonne histoire» s’impose, propice à l’évasion et à des scènes joyeuses. En choisissant «Les 3 mousquetaires» - roman d’Alexandre Dumas paru en 1844, les producteurs étaient sûrs de ne pas se tromper. Le roman de cape et d’épée, qui réunit action, passion et beaux garçons, plaît à tout le monde, quelle que soit l’époque. D’ailleurs, c’est l’un des livres les plus lus et les mieux adaptés au monde! Il a inspiré de nombreux réalisateurs de ciné, des metteurs en scène au théâtre, des auteurs de BD et plus récemment «Musketeers», une série anglaise de la BBC qui a battu des records d’audience. «Les thèmes de ce roman populaire plaisent aussi bien aux enfants qu’à leurs parents», ajoute Roberto Ciurleo, l’un des producteurs du spectacle. Et sur scène, place à la modernité! Costumes en cuir bleu dur pour les mousquetaires et d’Artagnan, tenues streetwear pour les danseurs, chorégraphies de dingue… Voilà ce qu’on appelle dépoussiérer un classique! Pour la réussite de la comédie musicale, ses chansons doivent vivre à l’intérieur du show mais aussi en dehors. Entendu dès le matin, la chanson qui ouvre le spectacle ne vous quittera plus de la journée. Comme les autres mélodies du spectacle. L’astuce? Ces airs sont devenus des tubes, c’est-à-dire des chansons populaires, bien avant le lancement du spectacle sur scène. C’est d’ailleurs une des clés de cette grande aventure. Lancer une comédie musicale sans moyens, cela ne marchera pas. L’argent, c’est l’ingrédient de base d’un show bien décidé à marcher. Parce qu’entre la location des salles, les décors, les costumes, les cachets des artistes... c’est en millions d’euros que se calcule le budget de grands spectacles. Autre ingrédient indispensable d’une comédie musicale: la promo! Celle-ci se doit de démarrer longtemps avant la première du spectacle pour le faire connaître et donner envie aux spectateurs de se déplacer. Par ailleurs, un site spécifique dédié à la comédie musicale est créé sur Internet. La production y poste les vidéos des castings, les clips des différentes chansons, les entraînements d’escrime... Tout cela évidemment relayé sur les réseaux sociaux. Hypers connectés, les artistes passent leurs journées à poster photos ou vidéos, à répondre à leurs fans sur Twitter, etc. Et la suite s’enchaîne, parfaitement orchestrée: après le premier single du spectacle c’est l’album qui sort. Entre les deux, les tubes tombent comme s’il en pleuvait. Les artistes, eux, multiplient les émissions de télé, de radio, se produisent dans toute la France. Bref, six mois avant la première, personne ne peut ignorer qu’une nouvelle comédie musicale est en train de débarquer avec fracas. Son nom? «Les 3 mousquetaires», bien sûr! 13. Qu’est-ce qui n’est pas mentionné dans le texte parmi les éléments principaux de l’intrigue d’une comédie musicale? 1) L’amour. 2) L’humour. 3) Les combats. 4) La trahison.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Comédies musicales: la recette d’un succès Un pour tous, tous pour un! Depuis cet automne, «Les 3 mousquetaires» ont du succès au Palais des sports de Paris, avant leur tournée en France. Cet hiver, ce sont plus d’une dizaine de comédies musicales qui s’affichent à Paris. Ce genre de spectacle a fini par faire s’enflammer le cœur des Français, selon la recette bien établie de grands spectacles conçus pour plaire à un large public. À commencer par le choix d’un casting talentueux. Dans «Les 3 mousquetaires», cet ingrédient ne manque pas! Les têtes d’affiche ont été choisies il y a plus de deux ans. Trois des principaux membres de la troupe se sont illustrés dans une émission de télé très suivie «Danse avec les stars». À ces têtes d’affiche, s’ajoute une troupe de 23 danseurs sévèrement sélectionnés. Rien que du beau monde pour incarner les personnages imaginés par Alexandre Dumas. Le cœur d’une comédie musicale, c’est son livret! Pour avoir du succès, une «bonne histoire» s’impose, propice à l’évasion et à des scènes joyeuses. En choisissant «Les 3 mousquetaires» - roman d’Alexandre Dumas paru en 1844, les producteurs étaient sûrs de ne pas se tromper. Le roman de cape et d’épée, qui réunit action, passion et beaux garçons, plaît à tout le monde, quelle que soit l’époque. D’ailleurs, c’est l’un des livres les plus lus et les mieux adaptés au monde! Il a inspiré de nombreux réalisateurs de ciné, des metteurs en scène au théâtre, des auteurs de BD et plus récemment «Musketeers», une série anglaise de la BBC qui a battu des records d’audience. «Les thèmes de ce roman populaire plaisent aussi bien aux enfants qu’à leurs parents», ajoute Roberto Ciurleo, l’un des producteurs du spectacle. Et sur scène, place à la modernité! Costumes en cuir bleu dur pour les mousquetaires et d’Artagnan, tenues streetwear pour les danseurs, chorégraphies de dingue… Voilà ce qu’on appelle dépoussiérer un classique! Pour la réussite de la comédie musicale, ses chansons doivent vivre à l’intérieur du show mais aussi en dehors. Entendu dès le matin, la chanson qui ouvre le spectacle ne vous quittera plus de la journée. Comme les autres mélodies du spectacle. L’astuce? Ces airs sont devenus des tubes, c’est-à-dire des chansons populaires, bien avant le lancement du spectacle sur scène. C’est d’ailleurs une des clés de cette grande aventure. Lancer une comédie musicale sans moyens, cela ne marchera pas. L’argent, c’est l’ingrédient de base d’un show bien décidé à marcher. Parce qu’entre la location des salles, les décors, les costumes, les cachets des artistes... c’est en millions d’euros que se calcule le budget de grands spectacles. Autre ingrédient indispensable d’une comédie musicale: la promo! Celle-ci se doit de démarrer longtemps avant la première du spectacle pour le faire connaître et donner envie aux spectateurs de se déplacer. Par ailleurs, un site spécifique dédié à la comédie musicale est créé sur Internet. La production y poste les vidéos des castings, les clips des différentes chansons, les entraînements d’escrime... Tout cela évidemment relayé sur les réseaux sociaux. Hypers connectés, les artistes passent leurs journées à poster photos ou vidéos, à répondre à leurs fans sur Twitter, etc. Et la suite s’enchaîne, parfaitement orchestrée: après le premier single du spectacle c’est l’album qui sort. Entre les deux, les tubes tombent comme s’il en pleuvait. Les artistes, eux, multiplient les émissions de télé, de radio, se produisent dans toute la France. Bref, six mois avant la première, personne ne peut ignorer qu’une nouvelle comédie musicale est en train de débarquer avec fracas. Son nom? «Les 3 mousquetaires», bien sûr! 14. Pourquoi le roman «Les 3 mousquetaires» a-t-il été choisi? 1) Parce que c’est un livre aimé du large public. 2) Parce que c’est un livre historique. 3) Parce que c’est le livre préféré des artistes. 4) Parce que c’est le livre qui n’a pas été adapté ces derniers temps.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Comédies musicales: la recette d’un succès Un pour tous, tous pour un! Depuis cet automne, «Les 3 mousquetaires» ont du succès au Palais des sports de Paris, avant leur tournée en France. Cet hiver, ce sont plus d’une dizaine de comédies musicales qui s’affichent à Paris. Ce genre de spectacle a fini par faire s’enflammer le cœur des Français, selon la recette bien établie de grands spectacles conçus pour plaire à un large public. À commencer par le choix d’un casting talentueux. Dans «Les 3 mousquetaires», cet ingrédient ne manque pas! Les têtes d’affiche ont été choisies il y a plus de deux ans. Trois des principaux membres de la troupe se sont illustrés dans une émission de télé très suivie «Danse avec les stars». À ces têtes d’affiche, s’ajoute une troupe de 23 danseurs sévèrement sélectionnés. Rien que du beau monde pour incarner les personnages imaginés par Alexandre Dumas. Le cœur d’une comédie musicale, c’est son livret! Pour avoir du succès, une «bonne histoire» s’impose, propice à l’évasion et à des scènes joyeuses. En choisissant «Les 3 mousquetaires» - roman d’Alexandre Dumas paru en 1844, les producteurs étaient sûrs de ne pas se tromper. Le roman de cape et d’épée, qui réunit action, passion et beaux garçons, plaît à tout le monde, quelle que soit l’époque. D’ailleurs, c’est l’un des livres les plus lus et les mieux adaptés au monde! Il a inspiré de nombreux réalisateurs de ciné, des metteurs en scène au théâtre, des auteurs de BD et plus récemment «Musketeers», une série anglaise de la BBC qui a battu des records d’audience. «Les thèmes de ce roman populaire plaisent aussi bien aux enfants qu’à leurs parents», ajoute Roberto Ciurleo, l’un des producteurs du spectacle. Et sur scène, place à la modernité! Costumes en cuir bleu dur pour les mousquetaires et d’Artagnan, tenues streetwear pour les danseurs, chorégraphies de dingue… Voilà ce qu’on appelle dépoussiérer un classique! Pour la réussite de la comédie musicale, ses chansons doivent vivre à l’intérieur du show mais aussi en dehors. Entendu dès le matin, la chanson qui ouvre le spectacle ne vous quittera plus de la journée. Comme les autres mélodies du spectacle. L’astuce? Ces airs sont devenus des tubes, c’est-à-dire des chansons populaires, bien avant le lancement du spectacle sur scène. C’est d’ailleurs une des clés de cette grande aventure. Lancer une comédie musicale sans moyens, cela ne marchera pas. L’argent, c’est l’ingrédient de base d’un show bien décidé à marcher. Parce qu’entre la location des salles, les décors, les costumes, les cachets des artistes... c’est en millions d’euros que se calcule le budget de grands spectacles. Autre ingrédient indispensable d’une comédie musicale: la promo! Celle-ci se doit de démarrer longtemps avant la première du spectacle pour le faire connaître et donner envie aux spectateurs de se déplacer. Par ailleurs, un site spécifique dédié à la comédie musicale est créé sur Internet. La production y poste les vidéos des castings, les clips des différentes chansons, les entraînements d’escrime... Tout cela évidemment relayé sur les réseaux sociaux. Hypers connectés, les artistes passent leurs journées à poster photos ou vidéos, à répondre à leurs fans sur Twitter, etc. Et la suite s’enchaîne, parfaitement orchestrée: après le premier single du spectacle c’est l’album qui sort. Entre les deux, les tubes tombent comme s’il en pleuvait. Les artistes, eux, multiplient les émissions de télé, de radio, se produisent dans toute la France. Bref, six mois avant la première, personne ne peut ignorer qu’une nouvelle comédie musicale est en train de débarquer avec fracas. Son nom? «Les 3 mousquetaires», bien sûr! 15. L’adaptation du roman est… 1) historique. 2) moderne. 3) classique. 4) humoriste.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Comédies musicales: la recette d’un succès Un pour tous, tous pour un! Depuis cet automne, «Les 3 mousquetaires» ont du succès au Palais des sports de Paris, avant leur tournée en France. Cet hiver, ce sont plus d’une dizaine de comédies musicales qui s’affichent à Paris. Ce genre de spectacle a fini par faire s’enflammer le cœur des Français, selon la recette bien établie de grands spectacles conçus pour plaire à un large public. À commencer par le choix d’un casting talentueux. Dans «Les 3 mousquetaires», cet ingrédient ne manque pas! Les têtes d’affiche ont été choisies il y a plus de deux ans. Trois des principaux membres de la troupe se sont illustrés dans une émission de télé très suivie «Danse avec les stars». À ces têtes d’affiche, s’ajoute une troupe de 23 danseurs sévèrement sélectionnés. Rien que du beau monde pour incarner les personnages imaginés par Alexandre Dumas. Le cœur d’une comédie musicale, c’est son livret! Pour avoir du succès, une «bonne histoire» s’impose, propice à l’évasion et à des scènes joyeuses. En choisissant «Les 3 mousquetaires» - roman d’Alexandre Dumas paru en 1844, les producteurs étaient sûrs de ne pas se tromper. Le roman de cape et d’épée, qui réunit action, passion et beaux garçons, plaît à tout le monde, quelle que soit l’époque. D’ailleurs, c’est l’un des livres les plus lus et les mieux adaptés au monde! Il a inspiré de nombreux réalisateurs de ciné, des metteurs en scène au théâtre, des auteurs de BD et plus récemment «Musketeers», une série anglaise de la BBC qui a battu des records d’audience. «Les thèmes de ce roman populaire plaisent aussi bien aux enfants qu’à leurs parents», ajoute Roberto Ciurleo, l’un des producteurs du spectacle. Et sur scène, place à la modernité! Costumes en cuir bleu dur pour les mousquetaires et d’Artagnan, tenues streetwear pour les danseurs, chorégraphies de dingue… Voilà ce qu’on appelle dépoussiérer un classique! Pour la réussite de la comédie musicale, ses chansons doivent vivre à l’intérieur du show mais aussi en dehors. Entendu dès le matin, la chanson qui ouvre le spectacle ne vous quittera plus de la journée. Comme les autres mélodies du spectacle. L’astuce? Ces airs sont devenus des tubes, c’est-à-dire des chansons populaires, bien avant le lancement du spectacle sur scène. C’est d’ailleurs une des clés de cette grande aventure. Lancer une comédie musicale sans moyens, cela ne marchera pas. L’argent, c’est l’ingrédient de base d’un show bien décidé à marcher. Parce qu’entre la location des salles, les décors, les costumes, les cachets des artistes... c’est en millions d’euros que se calcule le budget de grands spectacles. Autre ingrédient indispensable d’une comédie musicale: la promo! Celle-ci se doit de démarrer longtemps avant la première du spectacle pour le faire connaître et donner envie aux spectateurs de se déplacer. Par ailleurs, un site spécifique dédié à la comédie musicale est créé sur Internet. La production y poste les vidéos des castings, les clips des différentes chansons, les entraînements d’escrime... Tout cela évidemment relayé sur les réseaux sociaux. Hypers connectés, les artistes passent leurs journées à poster photos ou vidéos, à répondre à leurs fans sur Twitter, etc. Et la suite s’enchaîne, parfaitement orchestrée: après le premier single du spectacle c’est l’album qui sort. Entre les deux, les tubes tombent comme s’il en pleuvait. Les artistes, eux, multiplient les émissions de télé, de radio, se produisent dans toute la France. Bref, six mois avant la première, personne ne peut ignorer qu’une nouvelle comédie musicale est en train de débarquer avec fracas. Son nom? «Les 3 mousquetaires», bien sûr! 16. Pour que les chansons de la comédie musicale aient du succès, il faut... 1) écrire des paroles qui attirent l'attention du public. 2) diffuser le spectacle en entier sur Internet avant la première. 3) faire connaître les chansons au public avant la première. 4) reprendre de vieilles mélodies des spectacles déjà existants.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Comédies musicales: la recette d’un succès Un pour tous, tous pour un! Depuis cet automne, «Les 3 mousquetaires» ont du succès au Palais des sports de Paris, avant leur tournée en France. Cet hiver, ce sont plus d’une dizaine de comédies musicales qui s’affichent à Paris. Ce genre de spectacle a fini par faire s’enflammer le cœur des Français, selon la recette bien établie de grands spectacles conçus pour plaire à un large public. À commencer par le choix d’un casting talentueux. Dans «Les 3 mousquetaires», cet ingrédient ne manque pas! Les têtes d’affiche ont été choisies il y a plus de deux ans. Trois des principaux membres de la troupe se sont illustrés dans une émission de télé très suivie «Danse avec les stars». À ces têtes d’affiche, s’ajoute une troupe de 23 danseurs sévèrement sélectionnés. Rien que du beau monde pour incarner les personnages imaginés par Alexandre Dumas. Le cœur d’une comédie musicale, c’est son livret! Pour avoir du succès, une «bonne histoire» s’impose, propice à l’évasion et à des scènes joyeuses. En choisissant «Les 3 mousquetaires» - roman d’Alexandre Dumas paru en 1844, les producteurs étaient sûrs de ne pas se tromper. Le roman de cape et d’épée, qui réunit action, passion et beaux garçons, plaît à tout le monde, quelle que soit l’époque. D’ailleurs, c’est l’un des livres les plus lus et les mieux adaptés au monde! Il a inspiré de nombreux réalisateurs de ciné, des metteurs en scène au théâtre, des auteurs de BD et plus récemment «Musketeers», une série anglaise de la BBC qui a battu des records d’audience. «Les thèmes de ce roman populaire plaisent aussi bien aux enfants qu’à leurs parents», ajoute Roberto Ciurleo, l’un des producteurs du spectacle. Et sur scène, place à la modernité! Costumes en cuir bleu dur pour les mousquetaires et d’Artagnan, tenues streetwear pour les danseurs, chorégraphies de dingue… Voilà ce qu’on appelle dépoussiérer un classique! Pour la réussite de la comédie musicale, ses chansons doivent vivre à l’intérieur du show mais aussi en dehors. Entendu dès le matin, la chanson qui ouvre le spectacle ne vous quittera plus de la journée. Comme les autres mélodies du spectacle. L’astuce? Ces airs sont devenus des tubes, c’est-à-dire des chansons populaires, bien avant le lancement du spectacle sur scène. C’est d’ailleurs une des clés de cette grande aventure. Lancer une comédie musicale sans moyens, cela ne marchera pas. L’argent, c’est l’ingrédient de base d’un show bien décidé à marcher. Parce qu’entre la location des salles, les décors, les costumes, les cachets des artistes... c’est en millions d’euros que se calcule le budget de grands spectacles. Autre ingrédient indispensable d’une comédie musicale: la promo! Celle-ci se doit de démarrer longtemps avant la première du spectacle pour le faire connaître et donner envie aux spectateurs de se déplacer. Par ailleurs, un site spécifique dédié à la comédie musicale est créé sur Internet. La production y poste les vidéos des castings, les clips des différentes chansons, les entraînements d’escrime... Tout cela évidemment relayé sur les réseaux sociaux. Hypers connectés, les artistes passent leurs journées à poster photos ou vidéos, à répondre à leurs fans sur Twitter, etc. Et la suite s’enchaîne, parfaitement orchestrée: après le premier single du spectacle c’est l’album qui sort. Entre les deux, les tubes tombent comme s’il en pleuvait. Les artistes, eux, multiplient les émissions de télé, de radio, se produisent dans toute la France. Bref, six mois avant la première, personne ne peut ignorer qu’une nouvelle comédie musicale est en train de débarquer avec fracas. Son nom? «Les 3 mousquetaires», bien sûr! 17. Qu’est-ce qui ne fait pas partie de la promotion du spectacle, selon le texte? 1) La création d’un site spécialisé. 2) L’émission de disques de chansons. 3) La diffusion de répétitions de combats. 4) La vente de photos des artistes sur Internet.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Comédies musicales: la recette d’un succès Un pour tous, tous pour un! Depuis cet automne, «Les 3 mousquetaires» ont du succès au Palais des sports de Paris, avant leur tournée en France. Cet hiver, ce sont plus d’une dizaine de comédies musicales qui s’affichent à Paris. Ce genre de spectacle a fini par faire s’enflammer le cœur des Français, selon la recette bien établie de grands spectacles conçus pour plaire à un large public. À commencer par le choix d’un casting talentueux. Dans «Les 3 mousquetaires», cet ingrédient ne manque pas! Les têtes d’affiche ont été choisies il y a plus de deux ans. Trois des principaux membres de la troupe se sont illustrés dans une émission de télé très suivie «Danse avec les stars». À ces têtes d’affiche, s’ajoute une troupe de 23 danseurs sévèrement sélectionnés. Rien que du beau monde pour incarner les personnages imaginés par Alexandre Dumas. Le cœur d’une comédie musicale, c’est son livret! Pour avoir du succès, une «bonne histoire» s’impose, propice à l’évasion et à des scènes joyeuses. En choisissant «Les 3 mousquetaires» - roman d’Alexandre Dumas paru en 1844, les producteurs étaient sûrs de ne pas se tromper. Le roman de cape et d’épée, qui réunit action, passion et beaux garçons, plaît à tout le monde, quelle que soit l’époque. D’ailleurs, c’est l’un des livres les plus lus et les mieux adaptés au monde! Il a inspiré de nombreux réalisateurs de ciné, des metteurs en scène au théâtre, des auteurs de BD et plus récemment «Musketeers», une série anglaise de la BBC qui a battu des records d’audience. «Les thèmes de ce roman populaire plaisent aussi bien aux enfants qu’à leurs parents», ajoute Roberto Ciurleo, l’un des producteurs du spectacle. Et sur scène, place à la modernité! Costumes en cuir bleu dur pour les mousquetaires et d’Artagnan, tenues streetwear pour les danseurs, chorégraphies de dingue… Voilà ce qu’on appelle dépoussiérer un classique! Pour la réussite de la comédie musicale, ses chansons doivent vivre à l’intérieur du show mais aussi en dehors. Entendu dès le matin, la chanson qui ouvre le spectacle ne vous quittera plus de la journée. Comme les autres mélodies du spectacle. L’astuce? Ces airs sont devenus des tubes, c’est-à-dire des chansons populaires, bien avant le lancement du spectacle sur scène. C’est d’ailleurs une des clés de cette grande aventure. Lancer une comédie musicale sans moyens, cela ne marchera pas. L’argent, c’est l’ingrédient de base d’un show bien décidé à marcher. Parce qu’entre la location des salles, les décors, les costumes, les cachets des artistes... c’est en millions d’euros que se calcule le budget de grands spectacles. Autre ingrédient indispensable d’une comédie musicale: la promo! Celle-ci se doit de démarrer longtemps avant la première du spectacle pour le faire connaître et donner envie aux spectateurs de se déplacer. Par ailleurs, un site spécifique dédié à la comédie musicale est créé sur Internet. La production y poste les vidéos des castings, les clips des différentes chansons, les entraînements d’escrime... Tout cela évidemment relayé sur les réseaux sociaux. Hypers connectés, les artistes passent leurs journées à poster photos ou vidéos, à répondre à leurs fans sur Twitter, etc. Et la suite s’enchaîne, parfaitement orchestrée: après le premier single du spectacle c’est l’album qui sort. Entre les deux, les tubes tombent comme s’il en pleuvait. Les artistes, eux, multiplient les émissions de télé, de radio, se produisent dans toute la France. Bref, six mois avant la première, personne ne peut ignorer qu’une nouvelle comédie musicale est en train de débarquer avec fracas. Son nom? «Les 3 mousquetaires», bien sûr! 18. Avant la première, les artistes... 1) se font connaître par les médias. 2) écrivent de nouvelles chansons. 3) fabriquent des affiches. 4) participent à un orchestre.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Cantines et restaurants tentent de réduire le gaspillage en cuisine Du pain, des plats préparés encore sous plastique, des fruits pas très frais, des morceaux de poulet… dans les poubelles des restaurants et des cantines, on trouve beaucoup de trésors alimentaires qui pourraient сonnaître une deuxième vie. En matière de lutte contre le gaspillage alimentaire, la restauration n’a pour l’instant aucune obligation. La situation va rapidement changer pour les cantines (écoles, entreprises, hôpitaux…). Comme les supermarchés, la restauration collective devra donner ses produits invendus à des associations caritatives. Cette obligation s’appliquera dans les prochains mois, quand l’ordonnance de la loi fixant ce principe sera publiée. Quelques pionniers ont déjà commencé ce combat pour consommer moins et d’une manière plus responsable. Depuis quelques années, l’entreprise Sodexo fait ramasser les produits alimentaires dans ses cantines en France par Les Restos du cœur qui les redistribuent aux personnes en difficulté. Elior, qui exploite des restaurants d’entreprise dans l’Hexagone, vient de signer un partenariat avec les Banques alimentaires. Des initiatives qui trouvent vite leurs limites. «Concernant les plats frais, on ne peut donner que ceux restés en chambre froide, pas ceux qui ont été présentés au public même si personne n’y a touché», rappelle Judith Laloupo, en charge de la responsabilité sociale et environnementale d’Elior. Aussi les géants du burger (McDonald’s, Burger King…) ne sont-ils pas autorisés à distribuer leurs produits fabriqués à la demande, puisqu’ils ont une durée de vie limitée à une dizaine de minutes. De plus, le ramassage de ces produits, qui ne peut pas se prévoir longtemps à  l’avance, ne fonctionne pas toujours très bien. «Parfois, on appelle Les Restos du Cœur et, à cause du manque de camions ou de bénévoles disponibles, l’association ne peut pas récupérer nos invendus», reconnaît Lydie Breton, directrice de l’innovation sociale chez Sodexo France qui, l’année dernière, a tout de même redistribué 95 tonnes d’invendus. Mais le monde de la restauration en est persuadé: la lutte contre le gaspillage alimentaire se gagnera d’abord en cuisine, en adaptant les portions ou en développant des recettes qui exploitent toutes les parties d’un produit. Quelques petits restaurateurs ont adopté de bonnes pratiques. Par conviction autant que par souci de leur porte-monnaie. «Utiliser toutes les parties d’un produit permet de faire des économies. Quand je fais des steaks de saumon, j’utilise la chair restante pour préparer d’autres plats. Mais ce comportement n’est pas encore largement diffusé chez les chefs», raconte Jean Terlon, propriétaire du restaurant Saint-Pierre, dans l’Essonne. Les géants de la restauration collective privilégient une approche plus systématique. Dans quelques pays pilotes dont la France, Sodexo commence à équiper ses cantines de tablettes permettant de calculer tout ce qui est jeté en salle ou en cuisine sans être consommé. De son côté, Elior ne met au menu que des recettes ayant reçu une note de 7 sur 10 auprès des consommateurs, car si le public apprécie, il y aura moins de gaspillage. En salle, il faut apprendre aux clients à ne pas prendre plus de nourriture qu’ils ne peuvent consommer. Ainsi, Sodexo expose de grands conteneurs transparents où tout le pain gaspillé de la semaine est stocké. Une façon de sensibiliser les clients à ce phénomène. Mais pas de doute, dans la restauration, la route sera encore longue pour que la lutte contre le gaspillage alimentaire porte vraiment ses fruits. 12. Bientôt les restaurateurs français devront donner des produits non utilisés aux… 1) cantines des hôpitaux et des enterprises. 2) pays des départements d’outre-mer. 3) organisations de bienfaisance. 4) supermarchés pour les revendre.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Cantines et restaurants tentent de réduire le gaspillage en cuisine Du pain, des plats préparés encore sous plastique, des fruits pas très frais, des morceaux de poulet… dans les poubelles des restaurants et des cantines, on trouve beaucoup de trésors alimentaires qui pourraient сonnaître une deuxième vie. En matière de lutte contre le gaspillage alimentaire, la restauration n’a pour l’instant aucune obligation. La situation va rapidement changer pour les cantines (écoles, entreprises, hôpitaux…). Comme les supermarchés, la restauration collective devra donner ses produits invendus à des associations caritatives. Cette obligation s’appliquera dans les prochains mois, quand l’ordonnance de la loi fixant ce principe sera publiée. Quelques pionniers ont déjà commencé ce combat pour consommer moins et d’une manière plus responsable. Depuis quelques années, l’entreprise Sodexo fait ramasser les produits alimentaires dans ses cantines en France par Les Restos du cœur qui les redistribuent aux personnes en difficulté. Elior, qui exploite des restaurants d’entreprise dans l’Hexagone, vient de signer un partenariat avec les Banques alimentaires. Des initiatives qui trouvent vite leurs limites. «Concernant les plats frais, on ne peut donner que ceux restés en chambre froide, pas ceux qui ont été présentés au public même si personne n’y a touché», rappelle Judith Laloupo, en charge de la responsabilité sociale et environnementale d’Elior. Aussi les géants du burger (McDonald’s, Burger King…) ne sont-ils pas autorisés à distribuer leurs produits fabriqués à la demande, puisqu’ils ont une durée de vie limitée à une dizaine de minutes. De plus, le ramassage de ces produits, qui ne peut pas se prévoir longtemps à  l’avance, ne fonctionne pas toujours très bien. «Parfois, on appelle Les Restos du Cœur et, à cause du manque de camions ou de bénévoles disponibles, l’association ne peut pas récupérer nos invendus», reconnaît Lydie Breton, directrice de l’innovation sociale chez Sodexo France qui, l’année dernière, a tout de même redistribué 95 tonnes d’invendus. Mais le monde de la restauration en est persuadé: la lutte contre le gaspillage alimentaire se gagnera d’abord en cuisine, en adaptant les portions ou en développant des recettes qui exploitent toutes les parties d’un produit. Quelques petits restaurateurs ont adopté de bonnes pratiques. Par conviction autant que par souci de leur porte-monnaie. «Utiliser toutes les parties d’un produit permet de faire des économies. Quand je fais des steaks de saumon, j’utilise la chair restante pour préparer d’autres plats. Mais ce comportement n’est pas encore largement diffusé chez les chefs», raconte Jean Terlon, propriétaire du restaurant Saint-Pierre, dans l’Essonne. Les géants de la restauration collective privilégient une approche plus systématique. Dans quelques pays pilotes dont la France, Sodexo commence à équiper ses cantines de tablettes permettant de calculer tout ce qui est jeté en salle ou en cuisine sans être consommé. De son côté, Elior ne met au menu que des recettes ayant reçu une note de 7 sur 10 auprès des consommateurs, car si le public apprécie, il y aura moins de gaspillage. En salle, il faut apprendre aux clients à ne pas prendre plus de nourriture qu’ils ne peuvent consommer. Ainsi, Sodexo expose de grands conteneurs transparents où tout le pain gaspillé de la semaine est stocké. Une façon de sensibiliser les clients à ce phénomène. Mais pas de doute, dans la restauration, la route sera encore longue pour que la lutte contre le gaspillage alimentaire porte vraiment ses fruits. 13. Quelques enterprises distribuent déjà de la nourriture aux… 1) cuisiniers et restaurateurs célèbres. 2) gens pauvres qui en ont besoin. 3) consommateurs responsables. 4) élèves des écoles et des collèges.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Cantines et restaurants tentent de réduire le gaspillage en cuisine Du pain, des plats préparés encore sous plastique, des fruits pas très frais, des morceaux de poulet… dans les poubelles des restaurants et des cantines, on trouve beaucoup de trésors alimentaires qui pourraient сonnaître une deuxième vie. En matière de lutte contre le gaspillage alimentaire, la restauration n’a pour l’instant aucune obligation. La situation va rapidement changer pour les cantines (écoles, entreprises, hôpitaux…). Comme les supermarchés, la restauration collective devra donner ses produits invendus à des associations caritatives. Cette obligation s’appliquera dans les prochains mois, quand l’ordonnance de la loi fixant ce principe sera publiée. Quelques pionniers ont déjà commencé ce combat pour consommer moins et d’une manière plus responsable. Depuis quelques années, l’entreprise Sodexo fait ramasser les produits alimentaires dans ses cantines en France par Les Restos du cœur qui les redistribuent aux personnes en difficulté. Elior, qui exploite des restaurants d’entreprise dans l’Hexagone, vient de signer un partenariat avec les Banques alimentaires. Des initiatives qui trouvent vite leurs limites. «Concernant les plats frais, on ne peut donner que ceux restés en chambre froide, pas ceux qui ont été présentés au public même si personne n’y a touché», rappelle Judith Laloupo, en charge de la responsabilité sociale et environnementale d’Elior. Aussi les géants du burger (McDonald’s, Burger King…) ne sont-ils pas autorisés à distribuer leurs produits fabriqués à la demande, puisqu’ils ont une durée de vie limitée à une dizaine de minutes. De plus, le ramassage de ces produits, qui ne peut pas se prévoir longtemps à  l’avance, ne fonctionne pas toujours très bien. «Parfois, on appelle Les Restos du Cœur et, à cause du manque de camions ou de bénévoles disponibles, l’association ne peut pas récupérer nos invendus», reconnaît Lydie Breton, directrice de l’innovation sociale chez Sodexo France qui, l’année dernière, a tout de même redistribué 95 tonnes d’invendus. Mais le monde de la restauration en est persuadé: la lutte contre le gaspillage alimentaire se gagnera d’abord en cuisine, en adaptant les portions ou en développant des recettes qui exploitent toutes les parties d’un produit. Quelques petits restaurateurs ont adopté de bonnes pratiques. Par conviction autant que par souci de leur porte-monnaie. «Utiliser toutes les parties d’un produit permet de faire des économies. Quand je fais des steaks de saumon, j’utilise la chair restante pour préparer d’autres plats. Mais ce comportement n’est pas encore largement diffusé chez les chefs», raconte Jean Terlon, propriétaire du restaurant Saint-Pierre, dans l’Essonne. Les géants de la restauration collective privilégient une approche plus systématique. Dans quelques pays pilotes dont la France, Sodexo commence à équiper ses cantines de tablettes permettant de calculer tout ce qui est jeté en salle ou en cuisine sans être consommé. De son côté, Elior ne met au menu que des recettes ayant reçu une note de 7 sur 10 auprès des consommateurs, car si le public apprécie, il y aura moins de gaspillage. En salle, il faut apprendre aux clients à ne pas prendre plus de nourriture qu’ils ne peuvent consommer. Ainsi, Sodexo expose de grands conteneurs transparents où tout le pain gaspillé de la semaine est stocké. Une façon de sensibiliser les clients à ce phénomène. Mais pas de doute, dans la restauration, la route sera encore longue pour que la lutte contre le gaspillage alimentaire porte vraiment ses fruits. 14. Selon Judith Laloupo, les restaurateurs ont le droit de donner les plats que (qu’)… 1) on a gardés dans le frigidaire. 2) on a cuisinés avec des produits frais. 3) la loi autorise de distribuer. 4) les clients ont refusé de manger.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Cantines et restaurants tentent de réduire le gaspillage en cuisine Du pain, des plats préparés encore sous plastique, des fruits pas très frais, des morceaux de poulet… dans les poubelles des restaurants et des cantines, on trouve beaucoup de trésors alimentaires qui pourraient сonnaître une deuxième vie. En matière de lutte contre le gaspillage alimentaire, la restauration n’a pour l’instant aucune obligation. La situation va rapidement changer pour les cantines (écoles, entreprises, hôpitaux…). Comme les supermarchés, la restauration collective devra donner ses produits invendus à des associations caritatives. Cette obligation s’appliquera dans les prochains mois, quand l’ordonnance de la loi fixant ce principe sera publiée. Quelques pionniers ont déjà commencé ce combat pour consommer moins et d’une manière plus responsable. Depuis quelques années, l’entreprise Sodexo fait ramasser les produits alimentaires dans ses cantines en France par Les Restos du cœur qui les redistribuent aux personnes en difficulté. Elior, qui exploite des restaurants d’entreprise dans l’Hexagone, vient de signer un partenariat avec les Banques alimentaires. Des initiatives qui trouvent vite leurs limites. «Concernant les plats frais, on ne peut donner que ceux restés en chambre froide, pas ceux qui ont été présentés au public même si personne n’y a touché», rappelle Judith Laloupo, en charge de la responsabilité sociale et environnementale d’Elior. Aussi les géants du burger (McDonald’s, Burger King…) ne sont-ils pas autorisés à distribuer leurs produits fabriqués à la demande, puisqu’ils ont une durée de vie limitée à une dizaine de minutes. De plus, le ramassage de ces produits, qui ne peut pas se prévoir longtemps à  l’avance, ne fonctionne pas toujours très bien. «Parfois, on appelle Les Restos du Cœur et, à cause du manque de camions ou de bénévoles disponibles, l’association ne peut pas récupérer nos invendus», reconnaît Lydie Breton, directrice de l’innovation sociale chez Sodexo France qui, l’année dernière, a tout de même redistribué 95 tonnes d’invendus. Mais le monde de la restauration en est persuadé: la lutte contre le gaspillage alimentaire se gagnera d’abord en cuisine, en adaptant les portions ou en développant des recettes qui exploitent toutes les parties d’un produit. Quelques petits restaurateurs ont adopté de bonnes pratiques. Par conviction autant que par souci de leur porte-monnaie. «Utiliser toutes les parties d’un produit permet de faire des économies. Quand je fais des steaks de saumon, j’utilise la chair restante pour préparer d’autres plats. Mais ce comportement n’est pas encore largement diffusé chez les chefs», raconte Jean Terlon, propriétaire du restaurant Saint-Pierre, dans l’Essonne. Les géants de la restauration collective privilégient une approche plus systématique. Dans quelques pays pilotes dont la France, Sodexo commence à équiper ses cantines de tablettes permettant de calculer tout ce qui est jeté en salle ou en cuisine sans être consommé. De son côté, Elior ne met au menu que des recettes ayant reçu une note de 7 sur 10 auprès des consommateurs, car si le public apprécie, il y aura moins de gaspillage. En salle, il faut apprendre aux clients à ne pas prendre plus de nourriture qu’ils ne peuvent consommer. Ainsi, Sodexo expose de grands conteneurs transparents où tout le pain gaspillé de la semaine est stocké. Une façon de sensibiliser les clients à ce phénomène. Mais pas de doute, dans la restauration, la route sera encore longue pour que la lutte contre le gaspillage alimentaire porte vraiment ses fruits. 15. Il est interdit aux restaurants de fast-food de donner de la nourriture déjà préparée car… 1) il est difficile de la transporter. 2) elle se refroidit rapidement. 3) le personnel en mange. 4) il est difficile de la conserver.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Cantines et restaurants tentent de réduire le gaspillage en cuisine Du pain, des plats préparés encore sous plastique, des fruits pas très frais, des morceaux de poulet… dans les poubelles des restaurants et des cantines, on trouve beaucoup de trésors alimentaires qui pourraient сonnaître une deuxième vie. En matière de lutte contre le gaspillage alimentaire, la restauration n’a pour l’instant aucune obligation. La situation va rapidement changer pour les cantines (écoles, entreprises, hôpitaux…). Comme les supermarchés, la restauration collective devra donner ses produits invendus à des associations caritatives. Cette obligation s’appliquera dans les prochains mois, quand l’ordonnance de la loi fixant ce principe sera publiée. Quelques pionniers ont déjà commencé ce combat pour consommer moins et d’une manière plus responsable. Depuis quelques années, l’entreprise Sodexo fait ramasser les produits alimentaires dans ses cantines en France par Les Restos du cœur qui les redistribuent aux personnes en difficulté. Elior, qui exploite des restaurants d’entreprise dans l’Hexagone, vient de signer un partenariat avec les Banques alimentaires. Des initiatives qui trouvent vite leurs limites. «Concernant les plats frais, on ne peut donner que ceux restés en chambre froide, pas ceux qui ont été présentés au public même si personne n’y a touché», rappelle Judith Laloupo, en charge de la responsabilité sociale et environnementale d’Elior. Aussi les géants du burger (McDonald’s, Burger King…) ne sont-ils pas autorisés à distribuer leurs produits fabriqués à la demande, puisqu’ils ont une durée de vie limitée à une dizaine de minutes. De plus, le ramassage de ces produits, qui ne peut pas se prévoir longtemps à  l’avance, ne fonctionne pas toujours très bien. «Parfois, on appelle Les Restos du Cœur et, à cause du manque de camions ou de bénévoles disponibles, l’association ne peut pas récupérer nos invendus», reconnaît Lydie Breton, directrice de l’innovation sociale chez Sodexo France qui, l’année dernière, a tout de même redistribué 95 tonnes d’invendus. Mais le monde de la restauration en est persuadé: la lutte contre le gaspillage alimentaire se gagnera d’abord en cuisine, en adaptant les portions ou en développant des recettes qui exploitent toutes les parties d’un produit. Quelques petits restaurateurs ont adopté de bonnes pratiques. Par conviction autant que par souci de leur porte-monnaie. «Utiliser toutes les parties d’un produit permet de faire des économies. Quand je fais des steaks de saumon, j’utilise la chair restante pour préparer d’autres plats. Mais ce comportement n’est pas encore largement diffusé chez les chefs», raconte Jean Terlon, propriétaire du restaurant Saint-Pierre, dans l’Essonne. Les géants de la restauration collective privilégient une approche plus systématique. Dans quelques pays pilotes dont la France, Sodexo commence à équiper ses cantines de tablettes permettant de calculer tout ce qui est jeté en salle ou en cuisine sans être consommé. De son côté, Elior ne met au menu que des recettes ayant reçu une note de 7 sur 10 auprès des consommateurs, car si le public apprécie, il y aura moins de gaspillage. En salle, il faut apprendre aux clients à ne pas prendre plus de nourriture qu’ils ne peuvent consommer. Ainsi, Sodexo expose de grands conteneurs transparents où tout le pain gaspillé de la semaine est stocké. Une façon de sensibiliser les clients à ce phénomène. Mais pas de doute, dans la restauration, la route sera encore longue pour que la lutte contre le gaspillage alimentaire porte vraiment ses fruits. 16. Des fois, Les Restos du Cœur ne viennent pas chercher les produits dans les cantines faute de… 1) temps et d’argent. 2) place et de frigos. 3) volonté et d’initiative. 4) transport et de gens.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Cantines et restaurants tentent de réduire le gaspillage en cuisine Du pain, des plats préparés encore sous plastique, des fruits pas très frais, des morceaux de poulet… dans les poubelles des restaurants et des cantines, on trouve beaucoup de trésors alimentaires qui pourraient сonnaître une deuxième vie. En matière de lutte contre le gaspillage alimentaire, la restauration n’a pour l’instant aucune obligation. La situation va rapidement changer pour les cantines (écoles, entreprises, hôpitaux…). Comme les supermarchés, la restauration collective devra donner ses produits invendus à des associations caritatives. Cette obligation s’appliquera dans les prochains mois, quand l’ordonnance de la loi fixant ce principe sera publiée. Quelques pionniers ont déjà commencé ce combat pour consommer moins et d’une manière plus responsable. Depuis quelques années, l’entreprise Sodexo fait ramasser les produits alimentaires dans ses cantines en France par Les Restos du cœur qui les redistribuent aux personnes en difficulté. Elior, qui exploite des restaurants d’entreprise dans l’Hexagone, vient de signer un partenariat avec les Banques alimentaires. Des initiatives qui trouvent vite leurs limites. «Concernant les plats frais, on ne peut donner que ceux restés en chambre froide, pas ceux qui ont été présentés au public même si personne n’y a touché», rappelle Judith Laloupo, en charge de la responsabilité sociale et environnementale d’Elior. Aussi les géants du burger (McDonald’s, Burger King…) ne sont-ils pas autorisés à distribuer leurs produits fabriqués à la demande, puisqu’ils ont une durée de vie limitée à une dizaine de minutes. De plus, le ramassage de ces produits, qui ne peut pas se prévoir longtemps à  l’avance, ne fonctionne pas toujours très bien. «Parfois, on appelle Les Restos du Cœur et, à cause du manque de camions ou de bénévoles disponibles, l’association ne peut pas récupérer nos invendus», reconnaît Lydie Breton, directrice de l’innovation sociale chez Sodexo France qui, l’année dernière, a tout de même redistribué 95 tonnes d’invendus. Mais le monde de la restauration en est persuadé: la lutte contre le gaspillage alimentaire se gagnera d’abord en cuisine, en adaptant les portions ou en développant des recettes qui exploitent toutes les parties d’un produit. Quelques petits restaurateurs ont adopté de bonnes pratiques. Par conviction autant que par souci de leur porte-monnaie. «Utiliser toutes les parties d’un produit permet de faire des économies. Quand je fais des steaks de saumon, j’utilise la chair restante pour préparer d’autres plats. Mais ce comportement n’est pas encore largement diffusé chez les chefs», raconte Jean Terlon, propriétaire du restaurant Saint-Pierre, dans l’Essonne. Les géants de la restauration collective privilégient une approche plus systématique. Dans quelques pays pilotes dont la France, Sodexo commence à équiper ses cantines de tablettes permettant de calculer tout ce qui est jeté en salle ou en cuisine sans être consommé. De son côté, Elior ne met au menu que des recettes ayant reçu une note de 7 sur 10 auprès des consommateurs, car si le public apprécie, il y aura moins de gaspillage. En salle, il faut apprendre aux clients à ne pas prendre plus de nourriture qu’ils ne peuvent consommer. Ainsi, Sodexo expose de grands conteneurs transparents où tout le pain gaspillé de la semaine est stocké. Une façon de sensibiliser les clients à ce phénomène. Mais pas de doute, dans la restauration, la route sera encore longue pour que la lutte contre le gaspillage alimentaire porte vraiment ses fruits. 17. Que font certains restaurateurs pour diminuer le gaspillage alimentaire? 1) Ils achètent des produits moins chers. 2) Ils utilisent des recettes traditionnelles. 3) Ils cuisinent en jetant le moins possible. 4) Ils renoncent à utiliser de la viande.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Cantines et restaurants tentent de réduire le gaspillage en cuisine Du pain, des plats préparés encore sous plastique, des fruits pas très frais, des morceaux de poulet… dans les poubelles des restaurants et des cantines, on trouve beaucoup de trésors alimentaires qui pourraient сonnaître une deuxième vie. En matière de lutte contre le gaspillage alimentaire, la restauration n’a pour l’instant aucune obligation. La situation va rapidement changer pour les cantines (écoles, entreprises, hôpitaux…). Comme les supermarchés, la restauration collective devra donner ses produits invendus à des associations caritatives. Cette obligation s’appliquera dans les prochains mois, quand l’ordonnance de la loi fixant ce principe sera publiée. Quelques pionniers ont déjà commencé ce combat pour consommer moins et d’une manière plus responsable. Depuis quelques années, l’entreprise Sodexo fait ramasser les produits alimentaires dans ses cantines en France par Les Restos du cœur qui les redistribuent aux personnes en difficulté. Elior, qui exploite des restaurants d’entreprise dans l’Hexagone, vient de signer un partenariat avec les Banques alimentaires. Des initiatives qui trouvent vite leurs limites. «Concernant les plats frais, on ne peut donner que ceux restés en chambre froide, pas ceux qui ont été présentés au public même si personne n’y a touché», rappelle Judith Laloupo, en charge de la responsabilité sociale et environnementale d’Elior. Aussi les géants du burger (McDonald’s, Burger King…) ne sont-ils pas autorisés à distribuer leurs produits fabriqués à la demande, puisqu’ils ont une durée de vie limitée à une dizaine de minutes. De plus, le ramassage de ces produits, qui ne peut pas se prévoir longtemps à  l’avance, ne fonctionne pas toujours très bien. «Parfois, on appelle Les Restos du Cœur et, à cause du manque de camions ou de bénévoles disponibles, l’association ne peut pas récupérer nos invendus», reconnaît Lydie Breton, directrice de l’innovation sociale chez Sodexo France qui, l’année dernière, a tout de même redistribué 95 tonnes d’invendus. Mais le monde de la restauration en est persuadé: la lutte contre le gaspillage alimentaire se gagnera d’abord en cuisine, en adaptant les portions ou en développant des recettes qui exploitent toutes les parties d’un produit. Quelques petits restaurateurs ont adopté de bonnes pratiques. Par conviction autant que par souci de leur porte-monnaie. «Utiliser toutes les parties d’un produit permet de faire des économies. Quand je fais des steaks de saumon, j’utilise la chair restante pour préparer d’autres plats. Mais ce comportement n’est pas encore largement diffusé chez les chefs», raconte Jean Terlon, propriétaire du restaurant Saint-Pierre, dans l’Essonne. Les géants de la restauration collective privilégient une approche plus systématique. Dans quelques pays pilotes dont la France, Sodexo commence à équiper ses cantines de tablettes permettant de calculer tout ce qui est jeté en salle ou en cuisine sans être consommé. De son côté, Elior ne met au menu que des recettes ayant reçu une note de 7 sur 10 auprès des consommateurs, car si le public apprécie, il y aura moins de gaspillage. En salle, il faut apprendre aux clients à ne pas prendre plus de nourriture qu’ils ne peuvent consommer. Ainsi, Sodexo expose de grands conteneurs transparents où tout le pain gaspillé de la semaine est stocké. Une façon de sensibiliser les clients à ce phénomène. Mais pas de doute, dans la restauration, la route sera encore longue pour que la lutte contre le gaspillage alimentaire porte vraiment ses fruits. 18. La société Sodexo expose le pain dans les grands conteneurs pour… 1) l’offrir à toutes les personnes qui en ont besoin. 2) le réutiliser ensuite dans les plats cuisinés. 3) le jeter ensuite à la poubelle prévue à cette fin. 4) attirer l'attention des gens sur le problème du gaspillage.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Bienvenue dans la grande fabrique de l’opéra! La manifestation «Tous à l’opéra» devient de plus en plus populaire. Au programme, il y a des événements gratuits et accessibles à tous dans vingt-six théâtres de toute la France: répétitions publiques, découvertes des ateliers «costumes» et «maquillages», visites des coulisses, rencontres avec les professionnels. C’est une belle occasion pour mieux comprendre comment est préparé un spectacle, pour voir le travail des professionnels du théâtre. Quand on a la chance d’habiter une ville qui abrite un opéra, on sait forcément situer ce grand bâtiment, qui domine souvent l’une des places principales du centre. Mais trop peu de personnes osent franchir ses portes… Souvent parce que l’on ne sait simplement pas ce qui s’y passe! La caverne d’Ali Baba… Alors, nous avons décidé d’aller taper à la porte du théâtre du Capitole, l’un des plus grands opéras d’Europe. Et notre première surprise était celle-ci: il n’y a pas une, mais des portes, s'ouvrant chacune sur une multitude de métiers, et des milliers d’accessoires et d’outils: pots de peinture, panneaux de bois, rouleaux de tissu, perruques, crayons de maquillage… Car dans une maison d’opéra, c’est le spectacle qui fait la différence! Et, pour cela, il faut mettre la main, et même les deux mains, à la pâte. Opéra et ballet sont au programme. Avant de commencer cette visite, retenons qu’une maison d’opéra abrite deux types de représentations: le ballet, un spectacle de danse exécuté par une troupe de danseurs et de danseuses, et l’opéra, un mélange de chant, de théâtre, de musique et même, parfois, de danse. Le talent de tous ces chanteurs et ces danseurs est le plus souvent exceptionnel. Mais celui des costumiers, des maquilleurs, des décorateurs, des peintres, des menuisiers… qui travaillent dans l’ombre, l’est tout autant. En fait, chacun à sa façon apporte sa pierre à la construction d’un spectacle qui n’a qu’un but: celui d’émerveiller nos yeux et nos oreilles! Le théâtre de Toulouse se trouve place du Capitole, en plein centre-ville. Mais c’est dans un quartier éloigné, à Montaudran, que sont créés tous les décors qui vont donner l’illusion au spectateur de plonger dans un autre monde. Le local de Montaudran est immense car, de la place, il en faut! Les décors peuvent faire 16 mètres de long sur 9 de haut. Et, pour les fabriquer, il faut une quinzaine de personnes hautement spécialisées: ingénieurs, dessinateurs, menuisiers, serruriers, peintres. Place aux costumes! Nous quittons l’immense hangar des décors pour pénétrer dans un immeuble au fond d’une petite impasse du centre-ville. Ici, c’est une autre ruche qui s’active, à l’aide de tissus, de ciseaux et de fils. Pour de très gros spectacles, l’atelier peut avoir à réaliser jusqu’à 300 costumes sur mesure. Solistes, choristes, danseurs, figurants… chacun doit avoir son habit! Il doit être visible de loin, adapté aux différentes corpulences, et aux performances physiques et artistiques qu’il faudra montrer sur scène. Souvent on ne les voit même pas, tant elles paraissent naturelles. Et pourtant, les perruques sont présentes dans plus de neuf spectacles sur dix. Le théâtre du Capitole, qui dispose de son propre atelier de fabrication, en a déjà 6 000 en stock! Pour fabriquer une perruque, on commence par prendre les mesures du visage, pour que la chevelure soit exactement à la taille du danseur ou du chanteur qui la portera. Ensuite, seulement, vient la fixation des cheveux: cheveux humains le plus souvent, lavés et teints, que le théâtre achète et façonne à sa façon. Une seule consigne: que la perruque soit confortable. Et surtout… qu’elle ne tombe pas! 12. D’après le texte, la manifestation «Tous à l’opéra» permet de (d’)… 1) voir le fonctionnement d’un théâtre. 2) assister gratuitement à un spectacle. 3) participer à la préparation du spectacle. 4) obtenir une formation professionnelle.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Bienvenue dans la grande fabrique de l’opéra! La manifestation «Tous à l’opéra» devient de plus en plus populaire. Au programme, il y a des événements gratuits et accessibles à tous dans vingt-six théâtres de toute la France: répétitions publiques, découvertes des ateliers «costumes» et «maquillages», visites des coulisses, rencontres avec les professionnels. C’est une belle occasion pour mieux comprendre comment est préparé un spectacle, pour voir le travail des professionnels du théâtre. Quand on a la chance d’habiter une ville qui abrite un opéra, on sait forcément situer ce grand bâtiment, qui domine souvent l’une des places principales du centre. Mais trop peu de personnes osent franchir ses portes… Souvent parce que l’on ne sait simplement pas ce qui s’y passe! La caverne d’Ali Baba… Alors, nous avons décidé d’aller taper à la porte du théâtre du Capitole, l’un des plus grands opéras d’Europe. Et notre première surprise était celle-ci: il n’y a pas une, mais des portes, s'ouvrant chacune sur une multitude de métiers, et des milliers d’accessoires et d’outils: pots de peinture, panneaux de bois, rouleaux de tissu, perruques, crayons de maquillage… Car dans une maison d’opéra, c’est le spectacle qui fait la différence! Et, pour cela, il faut mettre la main, et même les deux mains, à la pâte. Opéra et ballet sont au programme. Avant de commencer cette visite, retenons qu’une maison d’opéra abrite deux types de représentations: le ballet, un spectacle de danse exécuté par une troupe de danseurs et de danseuses, et l’opéra, un mélange de chant, de théâtre, de musique et même, parfois, de danse. Le talent de tous ces chanteurs et ces danseurs est le plus souvent exceptionnel. Mais celui des costumiers, des maquilleurs, des décorateurs, des peintres, des menuisiers… qui travaillent dans l’ombre, l’est tout autant. En fait, chacun à sa façon apporte sa pierre à la construction d’un spectacle qui n’a qu’un but: celui d’émerveiller nos yeux et nos oreilles! Le théâtre de Toulouse se trouve place du Capitole, en plein centre-ville. Mais c’est dans un quartier éloigné, à Montaudran, que sont créés tous les décors qui vont donner l’illusion au spectateur de plonger dans un autre monde. Le local de Montaudran est immense car, de la place, il en faut! Les décors peuvent faire 16 mètres de long sur 9 de haut. Et, pour les fabriquer, il faut une quinzaine de personnes hautement spécialisées: ingénieurs, dessinateurs, menuisiers, serruriers, peintres. Place aux costumes! Nous quittons l’immense hangar des décors pour pénétrer dans un immeuble au fond d’une petite impasse du centre-ville. Ici, c’est une autre ruche qui s’active, à l’aide de tissus, de ciseaux et de fils. Pour de très gros spectacles, l’atelier peut avoir à réaliser jusqu’à 300 costumes sur mesure. Solistes, choristes, danseurs, figurants… chacun doit avoir son habit! Il doit être visible de loin, adapté aux différentes corpulences, et aux performances physiques et artistiques qu’il faudra montrer sur scène. Souvent on ne les voit même pas, tant elles paraissent naturelles. Et pourtant, les perruques sont présentes dans plus de neuf spectacles sur dix. Le théâtre du Capitole, qui dispose de son propre atelier de fabrication, en a déjà 6 000 en stock! Pour fabriquer une perruque, on commence par prendre les mesures du visage, pour que la chevelure soit exactement à la taille du danseur ou du chanteur qui la portera. Ensuite, seulement, vient la fixation des cheveux: cheveux humains le plus souvent, lavés et teints, que le théâtre achète et façonne à sa façon. Une seule consigne: que la perruque soit confortable. Et surtout… qu’elle ne tombe pas! 13. Selon l’auteur, si dans la ville il y a un opéra, … 1) c’est un édifice qui a plusieurs sorties. 2) c’est le plus petit édifice de la ville. 3) les habitants savent où il se trouve. 4) les habitants y vont régulièrement.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Bienvenue dans la grande fabrique de l’opéra! La manifestation «Tous à l’opéra» devient de plus en plus populaire. Au programme, il y a des événements gratuits et accessibles à tous dans vingt-six théâtres de toute la France: répétitions publiques, découvertes des ateliers «costumes» et «maquillages», visites des coulisses, rencontres avec les professionnels. C’est une belle occasion pour mieux comprendre comment est préparé un spectacle, pour voir le travail des professionnels du théâtre. Quand on a la chance d’habiter une ville qui abrite un opéra, on sait forcément situer ce grand bâtiment, qui domine souvent l’une des places principales du centre. Mais trop peu de personnes osent franchir ses portes… Souvent parce que l’on ne sait simplement pas ce qui s’y passe! La caverne d’Ali Baba… Alors, nous avons décidé d’aller taper à la porte du théâtre du Capitole, l’un des plus grands opéras d’Europe. Et notre première surprise était celle-ci: il n’y a pas une, mais des portes, s'ouvrant chacune sur une multitude de métiers, et des milliers d’accessoires et d’outils: pots de peinture, panneaux de bois, rouleaux de tissu, perruques, crayons de maquillage… Car dans une maison d’opéra, c’est le spectacle qui fait la différence! Et, pour cela, il faut mettre la main, et même les deux mains, à la pâte. Opéra et ballet sont au programme. Avant de commencer cette visite, retenons qu’une maison d’opéra abrite deux types de représentations: le ballet, un spectacle de danse exécuté par une troupe de danseurs et de danseuses, et l’opéra, un mélange de chant, de théâtre, de musique et même, parfois, de danse. Le talent de tous ces chanteurs et ces danseurs est le plus souvent exceptionnel. Mais celui des costumiers, des maquilleurs, des décorateurs, des peintres, des menuisiers… qui travaillent dans l’ombre, l’est tout autant. En fait, chacun à sa façon apporte sa pierre à la construction d’un spectacle qui n’a qu’un but: celui d’émerveiller nos yeux et nos oreilles! Le théâtre de Toulouse se trouve place du Capitole, en plein centre-ville. Mais c’est dans un quartier éloigné, à Montaudran, que sont créés tous les décors qui vont donner l’illusion au spectateur de plonger dans un autre monde. Le local de Montaudran est immense car, de la place, il en faut! Les décors peuvent faire 16 mètres de long sur 9 de haut. Et, pour les fabriquer, il faut une quinzaine de personnes hautement spécialisées: ingénieurs, dessinateurs, menuisiers, serruriers, peintres. Place aux costumes! Nous quittons l’immense hangar des décors pour pénétrer dans un immeuble au fond d’une petite impasse du centre-ville. Ici, c’est une autre ruche qui s’active, à l’aide de tissus, de ciseaux et de fils. Pour de très gros spectacles, l’atelier peut avoir à réaliser jusqu’à 300 costumes sur mesure. Solistes, choristes, danseurs, figurants… chacun doit avoir son habit! Il doit être visible de loin, adapté aux différentes corpulences, et aux performances physiques et artistiques qu’il faudra montrer sur scène. Souvent on ne les voit même pas, tant elles paraissent naturelles. Et pourtant, les perruques sont présentes dans plus de neuf spectacles sur dix. Le théâtre du Capitole, qui dispose de son propre atelier de fabrication, en a déjà 6 000 en stock! Pour fabriquer une perruque, on commence par prendre les mesures du visage, pour que la chevelure soit exactement à la taille du danseur ou du chanteur qui la portera. Ensuite, seulement, vient la fixation des cheveux: cheveux humains le plus souvent, lavés et teints, que le théâtre achète et façonne à sa façon. Une seule consigne: que la perruque soit confortable. Et surtout… qu’elle ne tombe pas! 14. Le théâtre est comparé à la caverne d’Ali Baba parce que… 1) l’accès y est interdit d’habitude. 2) des surprises attendent le visiteur. 3) son architecture est compliquée. 4) l’ameublement intérieur est chic.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Bienvenue dans la grande fabrique de l’opéra! La manifestation «Tous à l’opéra» devient de plus en plus populaire. Au programme, il y a des événements gratuits et accessibles à tous dans vingt-six théâtres de toute la France: répétitions publiques, découvertes des ateliers «costumes» et «maquillages», visites des coulisses, rencontres avec les professionnels. C’est une belle occasion pour mieux comprendre comment est préparé un spectacle, pour voir le travail des professionnels du théâtre. Quand on a la chance d’habiter une ville qui abrite un opéra, on sait forcément situer ce grand bâtiment, qui domine souvent l’une des places principales du centre. Mais trop peu de personnes osent franchir ses portes… Souvent parce que l’on ne sait simplement pas ce qui s’y passe! La caverne d’Ali Baba… Alors, nous avons décidé d’aller taper à la porte du théâtre du Capitole, l’un des plus grands opéras d’Europe. Et notre première surprise était celle-ci: il n’y a pas une, mais des portes, s'ouvrant chacune sur une multitude de métiers, et des milliers d’accessoires et d’outils: pots de peinture, panneaux de bois, rouleaux de tissu, perruques, crayons de maquillage… Car dans une maison d’opéra, c’est le spectacle qui fait la différence! Et, pour cela, il faut mettre la main, et même les deux mains, à la pâte. Opéra et ballet sont au programme. Avant de commencer cette visite, retenons qu’une maison d’opéra abrite deux types de représentations: le ballet, un spectacle de danse exécuté par une troupe de danseurs et de danseuses, et l’opéra, un mélange de chant, de théâtre, de musique et même, parfois, de danse. Le talent de tous ces chanteurs et ces danseurs est le plus souvent exceptionnel. Mais celui des costumiers, des maquilleurs, des décorateurs, des peintres, des menuisiers… qui travaillent dans l’ombre, l’est tout autant. En fait, chacun à sa façon apporte sa pierre à la construction d’un spectacle qui n’a qu’un but: celui d’émerveiller nos yeux et nos oreilles! Le théâtre de Toulouse se trouve place du Capitole, en plein centre-ville. Mais c’est dans un quartier éloigné, à Montaudran, que sont créés tous les décors qui vont donner l’illusion au spectateur de plonger dans un autre monde. Le local de Montaudran est immense car, de la place, il en faut! Les décors peuvent faire 16 mètres de long sur 9 de haut. Et, pour les fabriquer, il faut une quinzaine de personnes hautement spécialisées: ingénieurs, dessinateurs, menuisiers, serruriers, peintres. Place aux costumes! Nous quittons l’immense hangar des décors pour pénétrer dans un immeuble au fond d’une petite impasse du centre-ville. Ici, c’est une autre ruche qui s’active, à l’aide de tissus, de ciseaux et de fils. Pour de très gros spectacles, l’atelier peut avoir à réaliser jusqu’à 300 costumes sur mesure. Solistes, choristes, danseurs, figurants… chacun doit avoir son habit! Il doit être visible de loin, adapté aux différentes corpulences, et aux performances physiques et artistiques qu’il faudra montrer sur scène. Souvent on ne les voit même pas, tant elles paraissent naturelles. Et pourtant, les perruques sont présentes dans plus de neuf spectacles sur dix. Le théâtre du Capitole, qui dispose de son propre atelier de fabrication, en a déjà 6 000 en stock! Pour fabriquer une perruque, on commence par prendre les mesures du visage, pour que la chevelure soit exactement à la taille du danseur ou du chanteur qui la portera. Ensuite, seulement, vient la fixation des cheveux: cheveux humains le plus souvent, lavés et teints, que le théâtre achète et façonne à sa façon. Une seule consigne: que la perruque soit confortable. Et surtout… qu’elle ne tombe pas! 15. Qu’est-ce qui fait la réussite d’un spectacle, selon l’auteur? 1) Le grand talent des chanteurs. 2) Le grand talent des danseurs. 3) La musique classique populaire. 4) Le travail de l’équipe théâtrale.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Bienvenue dans la grande fabrique de l’opéra! La manifestation «Tous à l’opéra» devient de plus en plus populaire. Au programme, il y a des événements gratuits et accessibles à tous dans vingt-six théâtres de toute la France: répétitions publiques, découvertes des ateliers «costumes» et «maquillages», visites des coulisses, rencontres avec les professionnels. C’est une belle occasion pour mieux comprendre comment est préparé un spectacle, pour voir le travail des professionnels du théâtre. Quand on a la chance d’habiter une ville qui abrite un opéra, on sait forcément situer ce grand bâtiment, qui domine souvent l’une des places principales du centre. Mais trop peu de personnes osent franchir ses portes… Souvent parce que l’on ne sait simplement pas ce qui s’y passe! La caverne d’Ali Baba… Alors, nous avons décidé d’aller taper à la porte du théâtre du Capitole, l’un des plus grands opéras d’Europe. Et notre première surprise était celle-ci: il n’y a pas une, mais des portes, s'ouvrant chacune sur une multitude de métiers, et des milliers d’accessoires et d’outils: pots de peinture, panneaux de bois, rouleaux de tissu, perruques, crayons de maquillage… Car dans une maison d’opéra, c’est le spectacle qui fait la différence! Et, pour cela, il faut mettre la main, et même les deux mains, à la pâte. Opéra et ballet sont au programme. Avant de commencer cette visite, retenons qu’une maison d’opéra abrite deux types de représentations: le ballet, un spectacle de danse exécuté par une troupe de danseurs et de danseuses, et l’opéra, un mélange de chant, de théâtre, de musique et même, parfois, de danse. Le talent de tous ces chanteurs et ces danseurs est le plus souvent exceptionnel. Mais celui des costumiers, des maquilleurs, des décorateurs, des peintres, des menuisiers… qui travaillent dans l’ombre, l’est tout autant. En fait, chacun à sa façon apporte sa pierre à la construction d’un spectacle qui n’a qu’un but: celui d’émerveiller nos yeux et nos oreilles! Le théâtre de Toulouse se trouve place du Capitole, en plein centre-ville. Mais c’est dans un quartier éloigné, à Montaudran, que sont créés tous les décors qui vont donner l’illusion au spectateur de plonger dans un autre monde. Le local de Montaudran est immense car, de la place, il en faut! Les décors peuvent faire 16 mètres de long sur 9 de haut. Et, pour les fabriquer, il faut une quinzaine de personnes hautement spécialisées: ingénieurs, dessinateurs, menuisiers, serruriers, peintres. Place aux costumes! Nous quittons l’immense hangar des décors pour pénétrer dans un immeuble au fond d’une petite impasse du centre-ville. Ici, c’est une autre ruche qui s’active, à l’aide de tissus, de ciseaux et de fils. Pour de très gros spectacles, l’atelier peut avoir à réaliser jusqu’à 300 costumes sur mesure. Solistes, choristes, danseurs, figurants… chacun doit avoir son habit! Il doit être visible de loin, adapté aux différentes corpulences, et aux performances physiques et artistiques qu’il faudra montrer sur scène. Souvent on ne les voit même pas, tant elles paraissent naturelles. Et pourtant, les perruques sont présentes dans plus de neuf spectacles sur dix. Le théâtre du Capitole, qui dispose de son propre atelier de fabrication, en a déjà 6 000 en stock! Pour fabriquer une perruque, on commence par prendre les mesures du visage, pour que la chevelure soit exactement à la taille du danseur ou du chanteur qui la portera. Ensuite, seulement, vient la fixation des cheveux: cheveux humains le plus souvent, lavés et teints, que le théâtre achète et façonne à sa façon. Une seule consigne: que la perruque soit confortable. Et surtout… qu’elle ne tombe pas! 16. L’auteur dit que les décors sont fabriqués dans un quartier éloigné parce que (qu’)… 1) leur fabrication dérange le personnel du théâtre. 2) il y a peu d’espace au théâtre pour leur fabrication. 3) les spectateurs se plaignent souvent de travaux. 4) la fabrication de décors doit rester en secret.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Bienvenue dans la grande fabrique de l’opéra! La manifestation «Tous à l’opéra» devient de plus en plus populaire. Au programme, il y a des événements gratuits et accessibles à tous dans vingt-six théâtres de toute la France: répétitions publiques, découvertes des ateliers «costumes» et «maquillages», visites des coulisses, rencontres avec les professionnels. C’est une belle occasion pour mieux comprendre comment est préparé un spectacle, pour voir le travail des professionnels du théâtre. Quand on a la chance d’habiter une ville qui abrite un opéra, on sait forcément situer ce grand bâtiment, qui domine souvent l’une des places principales du centre. Mais trop peu de personnes osent franchir ses portes… Souvent parce que l’on ne sait simplement pas ce qui s’y passe! La caverne d’Ali Baba… Alors, nous avons décidé d’aller taper à la porte du théâtre du Capitole, l’un des plus grands opéras d’Europe. Et notre première surprise était celle-ci: il n’y a pas une, mais des portes, s'ouvrant chacune sur une multitude de métiers, et des milliers d’accessoires et d’outils: pots de peinture, panneaux de bois, rouleaux de tissu, perruques, crayons de maquillage… Car dans une maison d’opéra, c’est le spectacle qui fait la différence! Et, pour cela, il faut mettre la main, et même les deux mains, à la pâte. Opéra et ballet sont au programme. Avant de commencer cette visite, retenons qu’une maison d’opéra abrite deux types de représentations: le ballet, un spectacle de danse exécuté par une troupe de danseurs et de danseuses, et l’opéra, un mélange de chant, de théâtre, de musique et même, parfois, de danse. Le talent de tous ces chanteurs et ces danseurs est le plus souvent exceptionnel. Mais celui des costumiers, des maquilleurs, des décorateurs, des peintres, des menuisiers… qui travaillent dans l’ombre, l’est tout autant. En fait, chacun à sa façon apporte sa pierre à la construction d’un spectacle qui n’a qu’un but: celui d’émerveiller nos yeux et nos oreilles! Le théâtre de Toulouse se trouve place du Capitole, en plein centre-ville. Mais c’est dans un quartier éloigné, à Montaudran, que sont créés tous les décors qui vont donner l’illusion au spectateur de plonger dans un autre monde. Le local de Montaudran est immense car, de la place, il en faut! Les décors peuvent faire 16 mètres de long sur 9 de haut. Et, pour les fabriquer, il faut une quinzaine de personnes hautement spécialisées: ingénieurs, dessinateurs, menuisiers, serruriers, peintres. Place aux costumes! Nous quittons l’immense hangar des décors pour pénétrer dans un immeuble au fond d’une petite impasse du centre-ville. Ici, c’est une autre ruche qui s’active, à l’aide de tissus, de ciseaux et de fils. Pour de très gros spectacles, l’atelier peut avoir à réaliser jusqu’à 300 costumes sur mesure. Solistes, choristes, danseurs, figurants… chacun doit avoir son habit! Il doit être visible de loin, adapté aux différentes corpulences, et aux performances physiques et artistiques qu’il faudra montrer sur scène. Souvent on ne les voit même pas, tant elles paraissent naturelles. Et pourtant, les perruques sont présentes dans plus de neuf spectacles sur dix. Le théâtre du Capitole, qui dispose de son propre atelier de fabrication, en a déjà 6 000 en stock! Pour fabriquer une perruque, on commence par prendre les mesures du visage, pour que la chevelure soit exactement à la taille du danseur ou du chanteur qui la portera. Ensuite, seulement, vient la fixation des cheveux: cheveux humains le plus souvent, lavés et teints, que le théâtre achète et façonne à sa façon. Une seule consigne: que la perruque soit confortable. Et surtout… qu’elle ne tombe pas! 17. Pour de grands spectacles, … 1) on loue des costumes dans des ateliers spécialisés. 2) on fait fabriquer des costumes pour chaque acteur. 3) les acteurs fabriquent eux-mêmes des costumes. 4) on loue des costumes dans le musée du théâtre.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Bienvenue dans la grande fabrique de l’opéra! La manifestation «Tous à l’opéra» devient de plus en plus populaire. Au programme, il y a des événements gratuits et accessibles à tous dans vingt-six théâtres de toute la France: répétitions publiques, découvertes des ateliers «costumes» et «maquillages», visites des coulisses, rencontres avec les professionnels. C’est une belle occasion pour mieux comprendre comment est préparé un spectacle, pour voir le travail des professionnels du théâtre. Quand on a la chance d’habiter une ville qui abrite un opéra, on sait forcément situer ce grand bâtiment, qui domine souvent l’une des places principales du centre. Mais trop peu de personnes osent franchir ses portes… Souvent parce que l’on ne sait simplement pas ce qui s’y passe! La caverne d’Ali Baba… Alors, nous avons décidé d’aller taper à la porte du théâtre du Capitole, l’un des plus grands opéras d’Europe. Et notre première surprise était celle-ci: il n’y a pas une, mais des portes, s'ouvrant chacune sur une multitude de métiers, et des milliers d’accessoires et d’outils: pots de peinture, panneaux de bois, rouleaux de tissu, perruques, crayons de maquillage… Car dans une maison d’opéra, c’est le spectacle qui fait la différence! Et, pour cela, il faut mettre la main, et même les deux mains, à la pâte. Opéra et ballet sont au programme. Avant de commencer cette visite, retenons qu’une maison d’opéra abrite deux types de représentations: le ballet, un spectacle de danse exécuté par une troupe de danseurs et de danseuses, et l’opéra, un mélange de chant, de théâtre, de musique et même, parfois, de danse. Le talent de tous ces chanteurs et ces danseurs est le plus souvent exceptionnel. Mais celui des costumiers, des maquilleurs, des décorateurs, des peintres, des menuisiers… qui travaillent dans l’ombre, l’est tout autant. En fait, chacun à sa façon apporte sa pierre à la construction d’un spectacle qui n’a qu’un but: celui d’émerveiller nos yeux et nos oreilles! Le théâtre de Toulouse se trouve place du Capitole, en plein centre-ville. Mais c’est dans un quartier éloigné, à Montaudran, que sont créés tous les décors qui vont donner l’illusion au spectateur de plonger dans un autre monde. Le local de Montaudran est immense car, de la place, il en faut! Les décors peuvent faire 16 mètres de long sur 9 de haut. Et, pour les fabriquer, il faut une quinzaine de personnes hautement spécialisées: ingénieurs, dessinateurs, menuisiers, serruriers, peintres. Place aux costumes! Nous quittons l’immense hangar des décors pour pénétrer dans un immeuble au fond d’une petite impasse du centre-ville. Ici, c’est une autre ruche qui s’active, à l’aide de tissus, de ciseaux et de fils. Pour de très gros spectacles, l’atelier peut avoir à réaliser jusqu’à 300 costumes sur mesure. Solistes, choristes, danseurs, figurants… chacun doit avoir son habit! Il doit être visible de loin, adapté aux différentes corpulences, et aux performances physiques et artistiques qu’il faudra montrer sur scène. Souvent on ne les voit même pas, tant elles paraissent naturelles. Et pourtant, les perruques sont présentes dans plus de neuf spectacles sur dix. Le théâtre du Capitole, qui dispose de son propre atelier de fabrication, en a déjà 6 000 en stock! Pour fabriquer une perruque, on commence par prendre les mesures du visage, pour que la chevelure soit exactement à la taille du danseur ou du chanteur qui la portera. Ensuite, seulement, vient la fixation des cheveux: cheveux humains le plus souvent, lavés et teints, que le théâtre achète et façonne à sa façon. Une seule consigne: que la perruque soit confortable. Et surtout… qu’elle ne tombe pas! 18. Une bonne perruque est celle qui… 1) est faite de peaux d’animaux sauvages. 2) se tient bien sur la tête d’un acteur. 3) correspond à la couleur des yeux d’un acteur. 4) peut être portée pendant plusieurs spectacles.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 12. Quel trait de Léa attire le plus Camille? 1) Son calme. 2) Sa façon de courir. 3) Ses cheveux longs. 4) Son rire.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 13. Comment les lycéens se préparent-ils d’aller au lycée? 1) Ils font bien leurs devoirs. 2) Ils s’habillent soigneusement. 3) Ils prennent leurs vélos. 4) Ils se réunissent pour aller ensemble.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 14. Pourquoi Camille dit que l’arrivée au lycée est «une nouvelle représentation chaque jour»? 1) Les lycéens changent de vêtements tous les jours. 2) Les amis de Camille inventent toujours quelque chose. 3) Les élèves et les professeurs organisent un théâtre au lycée. 4) Chaque élève joue un rôle.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 15. Pourquoi Camille se considère-t-elle comme spectatrice? 1) Elle n’a pas de rôle. 2) Elle n’aime pas jouer. 3) Elle n’est pas sûre d’elle. 4) Elle ne veut pas devenir actrice.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 16. Quelle question Camille ne s’est-elle pas posée? 1) Elle ne sait pas si elle est jolie. 2) Elle n’est pas sûre qu’elle soit douée pour les études. 3) Elle ne sait pas ce qu’elle doit faire. 4) Elle n’a pas d’idée sur la profession qu’elle va choisir.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 17. Pourquoi Vanessa est-elle pour Camille une vraie star? 1) Vanessa tourne dans les publicités de shampoings. 2) Vanessa prend part aux défilés de mode. 3) Vanessa est toujours parfaite. 4) Vanessa travaille comme modèle.

Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 18. Quelles sont les relations entre Vanessa et Camille? 1) Elles s’entendent bien. 2) Elles sont des amies très proches. 3) Elles sont comme des sœurs. 4) Elles sont rivales.

Nous avons (faire) le devoir.

Tu as (prendre) mon livre.

Vous êtes (venir) chez Olga hier.

Elle est (partir) à la gare.

Nous avons (mettre) nos costumes.

Le professeur a (lire) ma dictée.

Il a (dire): "Bonjour!"

J'ai (vouloir) dessiner ton portrait.

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