Mettez les verbes entre parenthèses au présent. Exemple: Je (se coucher) trop tard - me couche.
Mettez l’article partitif ou la préposition «de».
Mettez l’article correct ou la préposition «de».
Mettez les phrases au passé composé. Exemple: Il ne s’endort pas vite. - Il ne s'est pas endormi vite.
Trouvez la traduction des verbes pronominaux.
Traduisez du russe en français. 1. Утром мы едим хлеб с маслом и пьём чай. 2. Моя бабушка тоже пьёт чай. А дедушка чай не любит, он пьёт кофе с лимоном и ест омлет. 3. Они часто покупают овощи, они любят овощи. 4. Мы купили хлеб. Хлеб свежий. 5. Яйца вкусные? Они свежие? 6. Мама купила десяток яиц. 7. Передайте мне хлеб, пожалуйста.
Traduisez du russe en français. 1. Я ложусь довольно поздно. 2. Oни готовятся к празднику. 3. Bы ошибаетесь. 4. Bы часто встречаетесь.
Trouvez la fin de la phrase.
Mettez l’article convenable.
Mettez les verbes entre parenthèses au passé composé. Exemple: Tu (se reposer) bien - t'es reposé.
Complétez le dialogue avec les mots pris dans le menu:

Установите соответствие между текстами A – G и заголовками 1 – 8. Занесите свои ответы в таблицу. Используйте каждую цифру только один раз. В задании один заголовок лишний. 1. Goûter la capitale 2. Le bon bilan du festival 3. Je n’ai plus le temps… 4. Le mode de vie à la campagne 5. Avoir une bonne orthographe 6. Le début du voyage vers le Nord 7. Une belle histoire sur écran 8. Sur tous les tons A. Chaque jour, les Américains de plus de 18 ans passent en moyenne 5 h 09 sur Internet, contre 4 h 31 en moyenne devant leur poste de télévision. Au total, le temps que les Américains passent sur tous les médias confondus augmente considérablement, passant de 10 h 46 à 11 h 52 par jour depuis 3 ans. Le chiffre brut peut faire peur: on serait tenté de se demander quand les Américains travaillent, mangent, se parlent… B. Pendant le choix de candidature, une partie de l'attention des employeurs portée aux fautes d'orthographe dépend en réalité du métier exercé: «L'employé va-t-il être amené à beaucoup écrire? Sera-t-il en contact avec des clients?» On n'attend pas le même niveau d'orthographe d'un carrossier et d'une secrétaire. Le plus souvent les responsables laissent de côté les candidatures «avec trop de fautes» même pour des postes de terrassiers ou de manœuvres. C. Le long-métrage de Jean-Pierre Jeunet est le second plus gros succès international d’un film français après «Intouchables». Sortie sur les écrans en avril 2001, l’histoire d’Amélie Poulain, cette petite serveuse montmartroise, qui adore casser la croûte des crèmes brûlées et faire du bien autour d’elle, a fait l’effet d’un rayon de soleil. C’est un film magique, drôle et qui sent bon le bonheur et un grand moment de poésie. D. Le public est resté avide de propositions inattendues, même si la crise l’a incité à se tourner prioritairement vers les spectacles gratuits. Ils ont sillonné les rues, les places et les ponts de la capitale. Venus de tout près ou de très loin, les musiciens, danseurs, comédiens ou clowns invités par le festival Paris Quartier d’été ont rencontré 38 000 spectateurs de Paris, dont 14 500 sur le payant, ce qui affiche un bon résultat. E. Ah, le jambon de Paris! Il existe bien une cuisine parisienne et Leslie Gogois, journaliste culinaire et cuisinière, entend le prouver dans son livre «Les Cuisinières de Paris». En 52 recettes, elle démontre que la capitale de la France – capitale des bistrots, brasseries, restaurants 3 étoiles ou non — est aussi le creuset d’une tradition culinaire à l’adresse des simples «ménagères» en quête de menus pour le déjeuner ou le repas du soir, en famille. F. À mesure que l’on remonte le long des côtes norvégiennes, c’est un monde toujours plus nordique, voire arctique, qui se dévoile. Passé le cercle polaire, on aborde assez vite à Tromso. «Un enfant aimé est généralement nommé», dit un proverbe norvégien. Cette cité doit être follement aimée puisqu’elle a suscité beaucoup de surnoms: capitale du nord, port de l’Arctique, porte du Grand Nord… G. La vie dans l’espace rural ne s’invente pas. On ne pense pas aux villes définies comme «urbaines rurales». Vivre dans le monde rural, c’est apprendre à reconnaître les légumes de saison sur le marché, c’est s’intéresser au producteur, c’est connaître son rythme de vie, la dureté de son travail, la férocité des gelées inattendues ou de la sècheresse récurrente. C’est tenter d’avoir une idée de la marche du monde au plus près du potager et du verger et des étables.
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Cantines et restaurants tentent de réduire le gaspillage en cuisine Du pain, des plats préparés encore sous plastique, des fruits pas très frais, des morceaux de poulet… dans les poubelles des restaurants et des cantines, on trouve beaucoup de trésors alimentaires qui pourraient сonnaître une deuxième vie. En matière de lutte contre le gaspillage alimentaire, la restauration n’a pour l’instant aucune obligation. La situation va rapidement changer pour les cantines (écoles, entreprises, hôpitaux…). Comme les supermarchés, la restauration collective devra donner ses produits invendus à des associations caritatives. Cette obligation s’appliquera dans les prochains mois, quand l’ordonnance de la loi fixant ce principe sera publiée. Quelques pionniers ont déjà commencé ce combat pour consommer moins et d’une manière plus responsable. Depuis quelques années, l’entreprise Sodexo fait ramasser les produits alimentaires dans ses cantines en France par Les Restos du cœur qui les redistribuent aux personnes en difficulté. Elior, qui exploite des restaurants d’entreprise dans l’Hexagone, vient de signer un partenariat avec les Banques alimentaires. Des initiatives qui trouvent vite leurs limites. «Concernant les plats frais, on ne peut donner que ceux restés en chambre froide, pas ceux qui ont été présentés au public même si personne n’y a touché», rappelle Judith Laloupo, en charge de la responsabilité sociale et environnementale d’Elior. Aussi les géants du burger (McDonald’s, Burger King…) ne sont-ils pas autorisés à distribuer leurs produits fabriqués à la demande, puisqu’ils ont une durée de vie limitée à une dizaine de minutes. De plus, le ramassage de ces produits, qui ne peut pas se prévoir longtemps à l’avance, ne fonctionne pas toujours très bien. «Parfois, on appelle Les Restos du Cœur et, à cause du manque de camions ou de bénévoles disponibles, l’association ne peut pas récupérer nos invendus», reconnaît Lydie Breton, directrice de l’innovation sociale chez Sodexo France qui, l’année dernière, a tout de même redistribué 95 tonnes d’invendus. Mais le monde de la restauration en est persuadé: la lutte contre le gaspillage alimentaire se gagnera d’abord en cuisine, en adaptant les portions ou en développant des recettes qui exploitent toutes les parties d’un produit. Quelques petits restaurateurs ont adopté de bonnes pratiques. Par conviction autant que par souci de leur porte-monnaie. «Utiliser toutes les parties d’un produit permet de faire des économies. Quand je fais des steaks de saumon, j’utilise la chair restante pour préparer d’autres plats. Mais ce comportement n’est pas encore largement diffusé chez les chefs», raconte Jean Terlon, propriétaire du restaurant Saint-Pierre, dans l’Essonne. Les géants de la restauration collective privilégient une approche plus systématique. Dans quelques pays pilotes dont la France, Sodexo commence à équiper ses cantines de tablettes permettant de calculer tout ce qui est jeté en salle ou en cuisine sans être consommé. De son côté, Elior ne met au menu que des recettes ayant reçu une note de 7 sur 10 auprès des consommateurs, car si le public apprécie, il y aura moins de gaspillage. En salle, il faut apprendre aux clients à ne pas prendre plus de nourriture qu’ils ne peuvent consommer. Ainsi, Sodexo expose de grands conteneurs transparents où tout le pain gaspillé de la semaine est stocké. Une façon de sensibiliser les clients à ce phénomène. Mais pas de doute, dans la restauration, la route sera encore longue pour que la lutte contre le gaspillage alimentaire porte vraiment ses fruits. 17. Que font certains restaurateurs pour diminuer le gaspillage alimentaire? 1) Ils achètent des produits moins chers. 2) Ils utilisent des recettes traditionnelles. 3) Ils cuisinent en jetant le moins possible. 4) Ils renoncent à utiliser de la viande.
Сomplétez avec les bonnes formes du verbe "Prendre".